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Montagne de la Table, Le Cap, Afrique du Sud
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Seul le rand est accepté en Afrique du Sud. Néanmoins le dollar et l’euro peuvent être acceptés au Cap. Il existe des coupures de 10, 20, 50, 100 et 200 rands en billet de banque, chaque billet représentant l’un des « Big Five » de la faune africaine. Il existe des pièces de monnaie de 5, 2 et 1 rand que vous verrez plus rarement.
Les cartes de crédits son acceptées dans de nombreux restaurants, lodges et parcs, c’est l’un des moyens de paiement le plus aisé en Afrique du Sud. Des artisans sur les marchés sont aussi équipés de terminaux à CB. Néanmoins, veillez à toujours avoir des espèces.
L’Afrique du Sud, c’est un peu « l’Amérique de l’Afrique ». Les banques locales sont nombreuses et les distributeurs d’argent (ATM) sont présents partout dans les villes comme dans les bourgades, souvent dans des centres commerciaux ou des stations-services. Les distributeurs sont modernes et fiables. Faites cependant preuve de vigilance et retirez dans des zones sûres. On trouve des bureaux de change également dans les villes et aéroports, mais à des taux variables et horaires d’ouverture plus réduits que celles des distributeurs, dont certains sont ouverts 24 h/24.
De manière générale, le coût de la vie est moins cher qu’en France pour un visiteur. On peut manger sur le pouce des sandwichs ou des burgers entre 5 et 10 euros, comptez 10 à 20 euros un plat dans un restaurant par exemple, le vin sud-africain est abordable et on peut dîner somptueusement pour 30 à 40 euros par personne à une bonne table locale. Les taxis sont aussi moins onéreux que dans les grandes villes françaises. Le prix de l’essence souffre de l’augmentation du tarif du baril depuis le début de la guerre en Ukraine ; il faudra donc prévoir un budget en conséquence en autotour.
En règle générale, en Afrique du Sud, les prix sont affichés dans bon nombre de boutiques, toutes celles situées dans des malls par exemple. Mais il est possible en revanche de marchander dans les échoppes à touristes et sur les marchés, où les prix ne sont pas affichés : une réduction d’environ 30% du prix initial peut souvent être obtenue.
Tradition anglo-saxonne oblige, on se doit en Afrique du Sud de laisser un pourboire, qui fait partie intégrante du salaire de l’employé. Il faut laisser entre 10 et 15% du montant total pour le service.
La taxe touristique la TOMSA est de 1% sur les revenus touristiques du pays. Des taxes de conservation sont appliquées pour chaque journée de 24 h passée dans les parcs nationaux, à partir de l’heure d’entrée à la porte, nommée « gate ».
Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €).
Elle couvre les risques suivants :
Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.
L’Afrique du Sud est un pays à l’américaine, où les autoroutes et les malls sont rois, où les stations-services sont les endroits les plus sûrs du pays, nuit et jour. Un bon point pour faire un autotour et s’arrêter à souhait sur la route. Mais l’Afrique du Sud est aussi connue pour son taux de criminalité élevé, qui concerne à 90% les townships, les quartiers pauvres des villes. En réalité peu de touristes sont concernés par un risque d’agression, les quelque 10% d’agression hors townships concernent les sudafricains riches vivant des banlieues dorées dans des quartiers résidentiels très calmes et propices à des cambriolages. Il convient de suivre des règles élémentaires pour ne pas se retrouver en situation de danger.
La première règle est de conduire uniquement de jour – d’ailleurs les routes sont désertes la nuit – et de prendre un taxi pour sortir dans les grandes villes la nuit. Les fameux « car-jacking », assaut de voitures, se déroulent en majorité de nuit, à des feux rouges ou dans des aires résidentielles calmes et peu passantes, dans des grandes villes ou des banlieues riches. Si vous roulez de nuit, vous serez souvent seuls avec des camions sur la route : en cas de panne il est difficile d’obtenir de l’aide d’une tierce personne et la visibilité n’est pas optimale. De plus, il n’est pas rare de croiser des animaux de brousse la nuit sur la route, la conduite est de ce fait dangereuse.
De jour, veillez à circuler avec attention, portières verrouillées et vitres fermées, sans jamais laisser d’objets de valeur visibles, même en roulant, surtout dans les villes et les banlieues où les mendiants et vendeurs ambulants sont très nombreux aux feux rouges. Sachez que sur l’autoroute, on trouve des restaurants, des distributeurs d’argent et tout ce qu’une aire peut proposer de services. Les centres commerciaux avec leurs grands parkings sécurisés sont aussi des endroits sûrs au bord des nationales et aux abords des villes, même les plus petites : toutes en sont pourvues.
Sachez que les centres des grandes villes ne sont pas sûrs, en particulier Johannesbourg et Durban, dans une moindre mesure pour Pretoria et le Cap. Si vous arrivez à l’aéroport International OR Tambo, prenez directement la direction de Pretoria, et soyez vigilants dans les zones de banlieue avant de rejoindre votre hôtel. Soyez également vigilants autour de Nelspruit, une ville assez grande que vous traverserez après la sortie du Kruger Park. Arrêtez-vous dans une station-service si besoin, elles sont très nombreuses sur cette route.
Eswatini est aussi une destination qui se conduit uniquement en journée, d’autant plus que le relief montagneux rend dangereuse la conduite de nuit. La pauvreté, encore plus marquée qu’en Afrique du Sud, engendre des risques d’agressions.
Soyez attentif et roulez les portes verrouillées et fenêtres fermées à Manzini et Mbabane, les deux grandes villes. Il est aussi indiqué par des panneaux le long de quelques routes de ne pas s’arrêter à cause des risques d’agression de « car jacking », même en journée.
En basculant d’Eswatini au Zululand, les routes et autoroutes mènent à Durban. Là encore, cette ville n’est pas très sûre, mais tellement intéressante à visiter ! Nous vous recommandons vraiment de prendre un guide local qui vous accompagnera et vous sécurisera, pour éloigner les personnes qui chercheront à vous vendre tout et n’importe quoi et de potentiels voleurs. Visitez éventuellement le front de mer, considéré comme très sûr en journée. Ne vous aventurez pas dans les rues de la ville avec vos objets de valeurs sans savoir où vous allez.
Le reste des routes est très sûr. La route du Petit Karoo et la route des vins, que vous parcourez en autotour avant votre arrivée au Cap, sont particulièrement sécurisées, en passant par Oudtshoorn, Franschhoek, Stellenbosch et Paarl, avant d’arriver au Cap. Via des autoroutes qui longent d’immenses townships dans lesquels vous n’entrez pas, vous arrivez directement dans la zone centrale et touristique. Dans les artères commerçantes, les plages, la vie est très animée au Cap de jour (Longstreet, le City Bowl, Camp’s Bay, Green Point, Sea Point), mais il est recommandé de circuler en taxi ou en bus par exemple pour relier le City Bowl, centre historique, à la plage de Camp’s Bay. On fera attention néanmoins de ne pas se retrouver dans les rues de Downtown, le quartier actif et des affaires de la ville, après les heures de bureaux quand il devient désert. On évite aussi les plages en pleine nuit et les rues écartées de l’animation nocturne. On fait garder sa voiture par des gardiens qui se trouvent partout autour des zones de sortie et touristiques.
Dans les camps et lodges au sein des parcs et réserves, il faut absolument écouter les directives des rangers pour de raisons de sécurité. La nuit, on ne se déplace qu’escorté d’un ranger lorsqu’on est en brousse, tout est prévu on vient vous chercher pour le dîner, car au cœur des parcs les animaux circulent en pleine nuit.
Dans les hôtels et les lodges, la sécurité est optimale, l’enceinte du complexe est close, souvent joliment arborée et protégée, ou alors en pleine nature dan sein de réserves et de parcs.
Aucune condition physique particulière n’est requise pour visiter l’Afrique du Sud.
Prêtez toujours attention à ce qui vous entoure, la vigilance est essentielle dans ce pays, sans tomber dans la paranoïa. N’hésitez pas à dire « bonjour » en langue locale : « sawubona » en Zulu, « molo » en Xhosa, « more » en afrikaans tout simplement « hello », que tout le monde comprend.
De loin, vous pouvez photographier ce que vous voulez. Mais de près, les habitants, particulièrement dans les townships, n’aiment pas être photographiés à la volée. Demander l’autorisation de prendre une photo au risque de vous voir signifier un geste de mécontentement ou d’un « No photo ».
Les chauffeurs-guides francophones des safaris utilisent un vocabulaire simple, basé essentiellement sur la faune et la flore. Ils vous expliqueront les modes de vie des sociétés d’animaux, comment distinguer les mâles des femelles, etc. En Afrique du Sud, on appelle les temps de safari en 4×4 le matin et le soir au crépuscule, avec un guide ranger, les « game drives », et dans la nuit, les « night drives » pour voir essentiellement les léopards, chasseurs nocturnes. On vous proposera aussi des « walking safaris » à pied, encadrés par des rangers armés, pour suivre les traces des animaux et découvrir la flore. Tous les lodges incluent ces activités dans leur prix de séjour. Il faut en revanche se lever tôt, en général vers 5h du matin, pour partir 3h en « game drive », prendre son petit déjeuner et faire une petite sieste après. Le soir, c’est à partir de 16 ou 17h qu’on embraque dans des camions ouverts.
Faune
L’objectif en safari est d’apercevoir les Big 5, les 5 animaux les plus dangereux de la savane : le lion, le léopard, l’éléphant, le buffle et le rhinocéros. En pratique, le léopard est un discret gros chat nocturne, difficile à voir, sauf pendant des « night drives » ou lorsqu’il dort dans un arbre en journée. Il faut donc être chanceux ! Les rhinocéros, braconnés depuis des années pour leurs cornes qui auraient des vertus aphrodisiaques en médecine chinoise, est malheureusement en voie de disparition. Il est très rare d’en apercevoir dans les parcs aujourd’hui. Un autre gros chat star des safaris n’est pas un big 5 : c’est le guépard ou cheetah. Il court dans les plaines et chasse en journée, il est plutôt facile à voir dans cet environnement. Les éléphants préfèrent les bosquets ou les forêts. Bien entendu, il y a aussi des centaines d’antilopes de familles différentes, des gnous, des girafes, des babouins, des phacochères, des mangoustes et des centaines d’oiseaux à observer.
Les cycles de la nature sont imprévisibles et les incidences des conditions climatiques sur l’écosystème peuvent dérégler son déroulement.
Bien que nos itinéraires soient établis en fonction de la richesse de la faune, aucune garantie ne peut être donnée quant à l’observation de telle ou telle espèce. Pour mieux profiter des safaris, vos déjeuners peuvent être remplacés par des pique-niques.
Pensez à emporter des jumelles pour l’observation des animaux et des zooms pour vos appareils photos.
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Voici nos recommandations pour bien préparer votre valise.
Prévoyez des vêtements confortables, pratiques et adaptés à des journées chaudes et des nuits fraîches en safari (pantalons, pulls et chaussures fermées sont recommandées), surtout au petit matin vers 5h, lorsque vous arpentez la savane en 4×4 ouvert, le vent est froid.
Nous vous recommandons d’emballer vos vêtements pour les protéger de la poussière.
En safari, il faut adopter des tons naturels : kaki, beige si possible, blanc par défaut, mais surtout pas de couleurs vives (en particulier le rouge), pour se camoufler dans la nature sans déranger visuellement les animaux. Et pas de noir ou de bleu, car ces couleurs en plus d’attirer la chaleur attirent les moustiques. Il n’y a pas de mouche tsétséen Afrique du Sud.
Si vous voyagez en hiver australe dans le sud du pays, prévoyez des habits de pluie et assez chauds, il peut faire froid et pluvieux au Cap. Si vous voyagez en été, il fait chaud comme sur nos côtes françaises.
Des chaussures de sport ou de randonnée que vous n’avez pas peur de salir de poussière sont recommandées, surtout si vous prévoyez une marche pendant votre safari. Une batterie de poche et une lampe torche ou frontale peuvent s’avérer utiles, la nuit en camp ou en lodge. De même une casquette pour les pauses au soleil et si possible un appareil photo avec un zoom et des jumelles pour voir les animaux en détail.
Emportez crèmes anti-moustiques pour les vêtements et la peau, crème solaire et, le cas échéant, vos traitements médicaux. Prenez en cas de tourista des anti-diarrhéiques, du paracétamol, des antipaludéens prescrits par votre médecin pour tout séjour au Kruger Park (et aux chutes Victoria en Zambie/Zimbabwe).
Le climat est contrasté et totalement différent entre le Sud près du Cap, et le Nord du Kruger Park, jusqu’à Durban. Le Cap jouit d’un climat méditerranéen, inversé par rapport à l’hémisphère nord. Les mois les plus chauds sont janvier et février avec des moyennes de 28 à 30°C, les mois les plus froids et pluvieux sont à l’inverse juillet et août (dans les 15 à 20°C). Le Nord a un climat plus frais également à cette saison, mais cela correspond à la saison sèche idéale pour voir les animaux en safari (il fait environ 18°C en moyenne). L’été est très chaud et humide (dans les 26°C en moyenne).
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Si vous choisissez de conduire vous-même un véhicule de location pour découvrir l’Afrique du Sud, il y a quelques petites choses à savoir.
Si vous avez réservé une location de voiture auprès de notre partenaire, le bon d’échange vous est remis dans votre carnet de voyage.
Le conducteur doit être âgé de 18 ans minimum. Il doit être titulaire d’un permis de conduire depuis au moins 1 an.
Le permis de conduire international est obligatoire.
Une empreinte de carte de crédit différée obligatoire, au nom du conducteur principal, vous sera demandée lors de la prise en charge du véhicule (la mention crédit doit être mentionnée sur votre carte bancaire). Il est indispensable de disposer du plafond nécessaire sur la carte de crédit du conducteur afin de sécuriser l’acompte au loueur, correspondant au montant de la location.
À savoir :
Les stations-services se trouvent partout sur les routes et autoroutes, sans aucun problème. Un pompiste s’occupera de faire le plein pour vous, et lavera vos vitres au passage. N’oubliez pas le pourboire.
La conduite se fait à gauche, la signalisation est principalement en anglais.
Le réseau routier est très bon (autoroutes et routes sillonnent le pays). À noter, quelques pistes en dehors des grands axes.
La limitation de vitesse est de 60 km/h en ville, 100 km/h sur les routes nationales, 120 km/h sur les autoroutes, 40 km/h dans les réserves et parcs naturels. De nombreux radars se trouvent sur les routes, respectez les limitations car les amendes sont immédiates (on vous arrête sur la route) et importantes.
De nombreux travaux ponctuent les trajets. Des feux pouvant durer quelquefois 10 minutes chacun sont à prévoir sur ces tronçons. Renseignez-vous en amont pour connaître la durée du trajet en conséquence.
La vitesse est limitée à 40 km/h et il y a même des radars au Kruger Park ! Veillez bien à prévoir vos temps de trajet car il faut être à l’heure pour votre arrivée au lodge et aux camps (une fois les portes fermées, vous devez payer une amende), particulièrement en autotour. Idem, il faut être à l’heure aux portes des parcs pour sortir dans les temps, sans accélérer plus que la vitesse autorisée.
Il est absolument interdit de sortir de votre véhicule dans les parcs en dehors des zones autorisées et sécurisées, en raison d’animaux pouvant être cachés dans la savane et les arbres.
La conduite est relativement aisée, mais il faudra bien suivre les GPS, circuler avec les portes et fenêtres verrouillées. Le système routier et de feux de circulation est le même qu’aux Etats-Unis. Veillez à ce que votre GPS ne vous fasse pas passer par des quartiers réputés dangereux en ville.
Numéro d’urgence : le 112
Police : le 10111
Le décalage horaire avec l’Afrique du Sud est de + 1 h par rapport à la France en hiver.
Pas de décalage horaire en été entre les deux pays.
Le courant, 220/230 volts, 50 cycles convient aux appareils électriques européens, mais les prises à trois broches exigent un adaptateur, en prêt dans les hôtels, pour les rasoirs et les sèche-cheveux.
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Les formalités d’entrée et conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et sont susceptibles de modifications à tout moment.
Pas de visa obligatoire pour un séjour de moins de 3 mois.
Vous devrez cependant être en mesure de produire un passeport valide au moins 1 mois après la date de votre retour (4 mois après la date de retour pour les enfants mineurs accompagnés). Le passeport doit avoir 2 pages vierges successives.
Une fiche de renseignement que vous trouverez sur notre site : www.kuoni.fr/fiche-renseignement
Cette fiche est indispensable pour notre prestataire.
Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous vous êtes inscrit. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.
Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge.
L’autorisation de sortie du territoire (AST) est obligatoire pour les mineurs français ou étranger résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site www.Service-Public.fr
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom que le sien, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.
À la suite d’une évolution de la réglementation sud-africaine en novembre 2019, les mineurs étrangers (âgés de moins de 18 ans et ressortissants de pays dispensés de visas) accompagnés de leurs deux parents, de l’un des deux ou d’une tierce personne, peuvent voyager en Afrique du Sud avec leur passeport valide uniquement. Le passeport doit être valide plus de quatre mois à partir de la date du voyage et comporter au moins deux pages vierges.
Par précaution, vous pouvez vous munir de l’information publiée par le ministère de l’Intérieur sud-africain (Department of Home Affairs) à imprimer ou à télécharger (en anglais).
Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client. Traitement antipaludique recommandé.
Un vaccin DT Polio à jour et des vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B, le tétanos et la typhoïde sont recommandés pour tous les pays.
Les voyageurs en provenance de pays où il existe un risque de transmission de la fièvre jaune doivent être en mesure de présenter, lors de leur arrivée, un certificat international de vaccination antiamarile (fièvre jaune). Cette obligation s’applique à tous les voyageurs en provenance de ces zones, y compris après n’y avoir effectué qu’un simple transit.
Pour ceux qui prévoient de combiner un voyage en Afrique du Sud avec une visite de l’ex-Swaziland, voici les informations complémentaires relatives aux formalités (par rapport aux formalités pour l’Afrique du Sud) :
Formalités d’entrée
Un visa n’est pas nécessaire pour un séjour de moins d’un mois en Eswatini. Vous devrez être en mesure de produire un passeport valide au moins 6 mois après la date de votre retour. Le passeport doit avoir 2 pages vierges successives.
Formalités sanitaires
Elles sont les mêmes qu’en Afrique du Sud. Il faut néanmoins prévoir un traitement antipaludique dans le district de Lubombo et dans les zones de basse altitude (essentiellement Big Bend, Mhlume, Simunye et Tshaneni).
L’hébergement s’effectue dans des hôtels en ville ou dans des lodges luxueux dans des parcs et réserves privées. Veillez à arriver à l’heure pour le check-in dans les parcs afin de réaliser le fameux « game drive » du soir à partir de 16 h ou 17 h.
Pour les autotours, nous vous conseillons de prendre une carte sim locale (par exemple Vodacom), pour avoir le GPS, et Internet en 3G ou 4G si besoin sur votre téléphone. On trouve des magasins de téléphonie à l’aéroport et dans les centres commerciaux du pays, il est facile de souscrire une puce avec des data Internet.
Les hôtels lodges et restaurants sont tous pourvus de wifi, avec une connexion plus ou moins bonne au sein des parcs nationaux et réserves privées.
Indicatif téléphonique de l’Afrique du Sud : + 27.
Il existe 11 langues officielles en Afrique du Sud, dont l’anglais, la langue administrative parlée par tous dès l’école primaire.
Il est conseillé de partir au Cap et dans sa région n’importe quel mois de l’année sauf l’hiver de juin à septembre ; pluvieux et froid, sauf si vous voulez observer les baleines près d’Hermanus (la saison s’étend de juin à décembre). Pour les safaris dans le Kruger Park, la saison optimale est la saison sèche d’avril à septembre. Les températures sont supportables mais chaudes, les herbes sont basses, et les animaux se déplacent davantage entre les points d’eau, il est plus facile de les observer. En saison humide, leur observation est plus aléatoire.
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Les restaurants sont tout à fait recommandables partout en Afrique du Sud, avec des mesures d’hygiène comparables à celles d’Europe. Évitez les gargotes néanmoins où aucune garantie ne peux être donnée sur la sécurité alimentaire. Les lodges au cœur des parcs s’occupent de la pension complète incluent dans le tarif.
Attention aux baignades dans les zones sans surveillance, sujettes aux requins. Préférez des plages surveillées avec une vraie sécurité (notamment celle de Muizenberg près du Cap). L’eau est très froide dans les environs du Cap attention aux malaises dans l’eau, entrez doucement.
Il n’y a pas de paludisme dans la région du Cap et du sud du pays en général. En revanche, dans le Kruger Park, il est vivement conseillé de prendre des traitements antipaludéens contre la malaria.
On privilégie les taxis et sociétés de VTC internationales comme Uber pour se déplacer dans les villes d’Afrique du Sud, spécialement Cape Town, Johannesburg, Pretoria ou Durban.
