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Amboseli National Park - Elephants

kenya
Infos pratiques avant de partir

Argent

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La monnaie au Kenya est le shilling kényan.
Début 2025, 1 € s’échange entre 132 et 134 KES. Le taux de change étant fluctuant, il est à consulter à l’approche de votre voyage pour bien connaître le taux en cours.
Il existe des coupures de 50, 100, 200, 500 et 1000 shillings kényans et des pièces de 5, 10 et 20 shillings (mais vous en verrez rarement). En 2019, de nouveaux billets représentant les Big Five, les cinq plus gros animaux de la savane (éléphant, buffle, lion, léopard et rhinocéros) sont entrés en circulation. Les dollars américains sont tout à fait utilisés dans le pays et acceptés partout : hôtels, restaurants, magasins de souvenirs… Veillez à avoir donc des dollars avant d’arriver, c’est très pratique, particulièrement des petites coupures en dollars pour les pourboires. Vous pouvez retirer des shillings dans les distributeurs sur place. Attention, avant de sortir du pays, veillez bien à dépenser ou échanger tous vos shillings kényans en euros ou en dollars, car cette monnaie n’est pas exportable.
Les chèques de voyages sont vivement déconseillés car acceptés (presque) nulle part.

Les principales cartes de crédit (Visa, Eurocard, Mastercard) sont acceptées dans la plupart des hôtels et lodges situés dans les parcs nationaux et dans les grandes villes comme Nairobi, mais pas toujours dans les petites villes.

Les agences bancaires sont ouvertes généralement de 8h30 à 16h, du lundi au vendredi. Des distributeurs de billets (ATM) en shilling kényans sont disponibles partout dans les grandes villes et les sites touristiques. On trouve des bureaux de change à l’aéroport et dans les hauts lieux touristiques, mais il est préférable d’arriver directement avec des dollars plutôt que des euros car ils sont acceptés partout sans besoin de les échanger pour payer. Dans certains hôtels, les prix sont d’ailleurs directement affichés en dollars. On vous rendra la monnaie en dollars ou en shillings.

Si la vie au Kenya est bon marché pour le pouvoir d’achat moyen des Européens, les touristes ne sont pas soumis aux mêmes tarifs. Pour visiter le Kenya, les services sont même assez chers, voire très chers en haute saison. Transferts privés, safaris, lodges, avions charters pour atteindre les parcs nationaux… c’est un tourisme de luxe qui s’adresse à une clientèle fortunée, hors routards qui se déplacent en transport en commun ou broussards invétérés de l’Afrique en totale autonomie dans son 4×4 pour manger et dormir dans les camps de brousse rudimentaires. L’accès aux parcs nationaux nécessitant de gros 4×4 adaptés à des terrains très accidentés, ces sorties sont forcément onéreuses. Les entrées de parc pour adultes sont de 60 à 70 USD par adulte et par jour. Un safari avec le véhicule et le logement coûte entre 200 et 500 € par personne et par jour. Le prix varie en fonction du standing de l’hébergement et du circuit. Les restaurants dans les lodges proposent des prix similaires à ceux en Europe mais la demi-pension ou la pension complète sont compris dans les packages de safaris, tout comme les transferts et les safaris proprement dits, deux par jour en général, matin et soir.

En magasin, les prix sont affichés et il n’est pas possible de marchander. En revanche, dans les petites boutiques d’artisans et sur les marchés, le marchandage est de mise, variant de 30 à 50 % du prix.

Les pourboires sont de mise pour les chauffeurs-guides de safari, car le système qui prévaut ici est « à l’américaine ». On donne généralement entre 5 et 10 USD par jour et par personne au chauffeur. Le salaire dépend énormément de ces pourboires, il ne faut pas faire l’impasse.

La TVA est prise en compte dans les prix affichés. Cependant pour les restaurants et les bars, il faudra ajouter le service, toujours dans un système basé sur le modèle anglo-saxon. Donc, il faut compter 10 % de service obligatoire au passage en caisse, mais on peut aussi laisser un pourboire en plus, optionnel.

Assurances

Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €). 
Elle couvre les risques suivants :

  • Garantie Pandémie (dont Covid-19)
  • Frais médicaux à l’étranger
  • Assistance rapatriement
  • Garantie annulation
  • Garantie retard de transport
  • Garantie bagages et matériel de sport
  • Garantie interruption de séjour

Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.

À savoir

Il existe une menace terroriste liée à la présence de groupes Shebab au Kenya, mais tout comme en France finalement avec l’État Islamique, cette menace n’est pas tangible en voyage.
Le plus grand danger au Kenya est néanmoins lié à la route : l’état des routes et les conduites accidentogènes des chauffeurs de bus et de camions quelquefois en piteux état en sont la principale cause. En voyage avec Kuoni, vos transferts sont assurés par des chauffeurs prudents chevronnés et à bord de véhicules luxueux et sûrs, donc pas de préoccupation à avoir de ce c côté-là.
Côté sécurité, la vie étant difficile pour les Kenyans, dont 17% de la population vit avec moins de 1,9 USD par jour, les vols de subsistance surtout, peuvent se produire envers les touristes qui comparativement sont très riches. D’une autre main, les Swahilis étant profondément accueillants et honnêtes, les voleurs n’agissent jamais à la vue des populations, au risque de se faire lyncher directement sur place par la foule s’ils se font prendre en flagrant délit, car le vol est très mal vu par les habitants.
En safari en pleine brousse, il n’y a absolument aucun risque. Dans les villages visités non plus, vous serez chaleureusement accueilli. C’est en ville que les risques sont les plus élevés : à Nairobi surtout. En journée et dans les endroits animés, il est très rare de se faire voler, sauf les pickpockets dans les marchés bondés. En revanche, avant de vous aventurer seuls vers des zones périphériques peu touristiques, renseignez-vous, car ces lieux peuvent parfois être utilisés pour “cueillir” les touristes, hors de la vue de la population. Évitez les signes ostentatoires de richesse (montres de luxe, bijoux en or et pierres précieuses, appareils photos et smartphones) en ville si vous êtes seuls, et ne vous isolez pas dans des rues désertes. Il faut se déplacer la nuit en taxi, obligatoire à Nairobi où la criminalité est élevée.  Il est conseillé d’utiliser une application qui préétablit le prix et surtout crée une traçabilité de la voiture et du chauffeur, évitant ainsi les taxis clandestins et le risque de kidnapping ou de vol. Vous n’avez absolument rien à faire dans les quartiers pauvres de Kibera et de Pangani à Nairobi, où l’insécurité est très élevée.
Des règles s’imposent en safari, qu’il est crucial de respecter pour le bon déroulement et la sécurité de tous. Il est absolument interdit de descendre du 4×4, des temps de pause sont prévus sur les trajets des moments de lunch aussi, car la brousse est dangereuse. Il ne faut pas s’agiter ou crier à proximité des animaux, la voiture est ouverte et l’idée c’est que les animaux n’entendent que le ronflement familier du moteur. Les chauffeurs-guides sont formés pour vous expliquer toutes les règles et s’approcher suffisamment des animaux amicaux sans les déranger ou les provoquer. En safari à pied, il faut scrupuleusement suivre les règles et les ordres du guide et du ranger (scout) armé du parc national qui vous accompagne. En premier lieu, ne jamais courir. Rester en file indienne et éviter de parler lorsque vous vous approchez des animaux. En respectant les règles de sécurité élémentaires, il n’y a aucun danger. De même dans les lodges, il est de coutume de se faire escorter dès que le jour tombe pour aller dans sa chambre. Des animaux sauvages peuvent rôder dans l’obscurité et cette escorte n’est pas optionnelle. En règle générale, un rendez-vous est donné à une heure précise pour venir vous chercher et vous emmener à votre chambre, ou un talkie-walkie est donné à chaque guest pour appeler un garde.

Il peut faire très chaud au Kenya, particulièrement en janvier et février avant la saison des pluies, lorsque le taux d’humidité est élevé. Les conditions de safaris peuvent être pénibles pour les personnes fragiles et sensibles à la chaleur. Dans ce cas, il faudra privilégier des chambres climatisées en lodge confortable. Les routes dans les parcs nationaux sont chaotiques et fatiguent le dos, malgré le confort optimal des 4×4.

On évitera de manger dans des restaurants totalement locaux, même un jus de fruit qui pourrait être préparé avec de l’eau non traitée et provoquer inévitablement une tourista carabinée. Les lodges et hôtels proposent d’excellents restaurants très sûrs où les chefs sont formés pour cuisiner pour des touristes occidentaux. Il existe aussi certains établissements populaires hybrides, qui appliquent des normes d’hygiène plus strictes, en particulier avec l’eau utilisée en cuisine, pour attirer à la fois locaux et touristes.
Les câlins, baisers insistants en public sont absolument à proscrire, car c’est irrespectueux pour les populations très prudes et souvent très religieuses, quelle que soit leur religion (la population est chrétienne à 80 %). On évitera les mini-jupes, les décolletés plongeants et les ventres à l’air dans les villages, même côtiers, et dans les villes. Un pagne ou un paréo est vite enroulé autour de la taille pour se promener tranquillement en respectant les mœurs locales.
Vous trouverez suivant vos arrêts en 4×4 souvent des vendeurs de souvenirs qui viendront devant vos vitres, ou à votre rencontre sur les lieux touristiques. Ils peuvent être nombreux et insistants. Refusez poliment et, si possible, avec patience : les conditions de vie locale sont difficiles.
Les sacs en plastique sont interdits au Kenya. Nous vous recommandons vivement de ne pas en mettre dans vos valises ou bagages à main. Les articles achetés à l’aéroport avant l’embarquement ne doivent pas être enveloppés dans ce type de sacs.
Toute personne retrouvée avec des sacs en plastique dans son bagage ou sur elle risque une lourde amende et une peine d’emprisonnement. Un bureau spécial dédié au contrôle est présent à tous les points d’entrée.
Le sac en plastique transparent de type Ziploc, utilisé aux aéroports pour contenir certains liquides, crèmes et gels, est autorisé dans les bagages, mais il doit rester en possession du visiteur.

Il est d’usage de s’équiper d’un appareil photo muni d’un zoom pour partir en safari, afin de pouvoir prendre des clichés détaillés des animaux observés, car on s’approche rarement très près d’eux. Les plus aguerris à la photo, les fameux bird watchers qui ciblent les oiseaux entre autres, sont munis de zooms gigantesques.

Dans les villages et sur les marchés. De loin, vous pouvez photographier ce que vous voulez. De près, les habitants n’aiment pas être photographiés à la volée. On demandera aux personnes l’autorisation de les photographier, au risque de recevoir un geste de mécontentement et un « no photo ». Certains groupes de chants et danses portant des tenues et maquillages pourront vous demander des pourboires pour les photographier. 
L’usage d’un drone au Kenya est formellement interdit et peut être sévèrement puni.

On vous dira souvent « pole pole », doucement, pour refléter le rythme local, « karibu » pour « bienvenue », « djambo » qui correspond à « bonjour » et « hakuna matata », soit « pas de problème » en swahili touristique.
En dépit de la maîtrise de la langue française, les chauffeurs-guides francophones peuvent parfois avoir un accent très prononcé.
Pour les safaris dans les réserves privées ou dans les zones dotées de tree lodges, les expéditions sont souvent encadrées par des chauffeurs-pisteurs anglophones, en raison de la clientèle internationale majoritaire. Ces guides anglophones sont également spécialisés dans le pistage et l’observation rapprochée de la faune.
Les chauffeurs-guides parlant français sont assez rares au Kenya. Cependant, Kuoni a sélectionné des experts francophones qui détaillent la vie sociétale des animaux ainsi que leurs descriptions physiques et naturalistes avec technicité. Ils ont donc un niveau de français assez élevé même si leur accent peut être marqué.  Il est très intéressant de poser des questions sur les comportements des animaux observés.
Les safaris compris dans le prix de votre lodge se déroulent deux fois par jour, très tôt le matin vers 5 h (il faut se lever aux aurores) et jusqu’à environ 8 h, lorsque le jour est totalement levé et le soleil encore léger, et le soir, au coucher du soleil, jusqu’à la tombée de la nuit. C’est à ce moment-là que les animaux sont les plus actifs et intéressants à observer.

Les cycles de la nature sont imprévisibles et les conditions climatiques sur l’écosystème peuvent dérégler son déroulement.
Bien que l’itinéraire soit conçu pour maximiser vos chances d’observer toute la richesse de la faune, aucune garantie ne peut être donnée quant à la rencontre de telle ou telle espèce. Pour mieux profiter des safaris, vos déjeuners peuvent être remplacés par des pique-niques.
Pensez à emporter des jumelles pour l’observation des animaux. Durant la saison d’hiver, lorsque le bush est plus sec, l’observation de la faune sauvage est meilleure : Change les herbes sont moins hautes, les points d’eau rares et les déplacements d’animaux plus nombreux en conséquence. Cette période est idéale pour les safaris.

Bagages

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Nous vous recommandons d’emballer vos vêtements pour les protéger de la poussière.
Prévoyez des vêtements confortables, pratiques et adaptés à des journées chaudes et des nuits froides (pantalons et chaussures fermées sont recommandées). Pour les mois d’avril, mai, juin et novembre, ajoutez des vêtements de pluie. En safari, il faut adopter des tons naturels : kaki, beige si possible, blanc par défaut.  Évitez les couleurs vives, en particulier le rouge, pour se camoufler dans la nature sans déranger visuellement les animaux. De même, pas de noir ou de bleu, car ces couleurs en plus d’attirer la chaleur attirent les moustiques et surtout les mouches tsétsés. Elles sont présentes sur 23 % du territoire et peut transmettre la maladie du sommeil, assez présente au Kenya. Ces taons énormes peuvent piquer à travers les vêtements fins, c’est pourquoi des vêtements épais et couvrants sont vraiment recommandés : veste de safari à manches longues, pantalons couvrant les chevilles, etc. Les guides, bien informés des zones où les mouches tsétsés sont présentes, vous protègent au maximum de leur contact.

Pour des raisons de confort à bord des véhicules durant les safaris, il est fortement recommandé de ne se munir uniquement d’un sac de voyage souple par personne.
Nous vous recommandons d’emporter votre propre paire de jumelles pour profiter au mieux de vos safaris. Des chaussures de sport ou de randonnée, adaptées aux chemins poussiéreux, sont recommandées, surtout si vous prévoyez une randonnée pendant votre safari. Une batterie portable et une lampe torche ou frontale peuvent s’avérer utile la nuit, en camp ou en lodge.

Emportez des sprays anti-moustiques pour les vêtements et la peau, une crème solaire et, le cas échéant, vos traitements médicaux. Prenez des anti-diarrhéiques en cas de tourista, du paracétamol et des antipaludéens prescrits par votre médecin.

Climat

Le Kenya bénéficie d’un ensoleillement quasi permanent. La saison des pluies court d’avril à mai et de novembre à mi-décembre.

Conduire

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La qualité du réseau routier et des pistes n’est pas homogène : certaines portions de route sont très endommagées et cela peut avoir une incidence sur le temps de trajet et être éprouvant pour le dos.
Le kilométrage correspond à la distance entre les réserves et ne prend pas en compte les distances parcourues à l’intérieur des réserves, que ce soit pour rejoindre votre lieu d’hébergement ou lors des safaris.

Contacts utiles

Le site officiel de l’office de tourisme du Kenya est www.magicalkenya.com et il est très complet pour découvrir tous les sites naturels et touristiques du pays.
L’Ambassade de France au Kenya est située à Peponi Gardens à Nairobi (+254 207 605 555 ; www.ke.ambafrance.org). Elle est ouverte du lundi au jeudi de 8 h 30 à 17 h 00 et le vendredi de 8 h 30 à 12 h.
L’ambassade du Kenya en France est située 3 Rue Freycinet, Paris 16e (01 56 62 25 25 ; www.kenyaembassyparis.fr). Elle est ouverte du lundi au vendredi de 9 h à 13 h et de 14 h à 17 h.

Décalage horaire

Au Kenya, le décalage horaire est de plus 1 h en été et de plus de 2 h en hiver.
Quand il est midi au Kenya, il est 11 h en été en France métropolitaine et 10 h en hiver.

Électricité

Le Kenya utilise le système Anglais en 240 V. Les appareils prévus pour le 220 V peuvent être employés sans risque. Les prises de courant sont à trois grosses fiches carrées. Pensez à emmener un adaptateur universel. Certains hôtels sont équipés de prises universelles mais rarement en lodge de brousse.

Formalités

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Les formalités d’entrée et les conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et susceptibles de modifications.

Un e-Visa est obligatoire via le site officiel de l’Ambassade : www.evisa.go.ke/evisa.html, car depuis 2021 il n’est plus possible d’obtenir son visa à l’arrivée aux frontières, même à l’aéroport à Nairobi. Plus aucun visa n’est délivré non plus dans les représentations diplomatiques du Kenya (ambassades), seul le e-Visa est possible. Il est à l’entrée unique, coûte 51 USD et il est valable 90 jours. Tout autre site que le site officiel n’est pas habilité à émettre des visas. Le processus d’obtention du visa peut prendre jusqu’à une semaine.
Il est obligatoire d’être en possession d’un passeport dont la validité doit être de 6 mois après la date de retour en France. Le passeport doit également avoir 2 pages vierges successives.

Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge. Et un e-Visa préalablement établi est aussi obligatoire pour les mineurs de plus de 16 ans. Les moins de 16 ans accompagnant leurs parents en visite touristique au Kenya en sont exemptés.  Les autorités tamponnent simplement leur passeport. L’autorisation de sortie de territoire est obligatoire pour les mineurs français ou étrangers résidant en France, voyageant hors du territoire national, et non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site : www.Service-Public.fr
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom que le sien, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.

Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous vous êtes inscrits. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.

Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client.
Le vaccin DT Polio à jour et les vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B, le tétanos et la typhoïde sont recommandés pour tous les pays.
Le vaccin contre la fièvre jaune et traitement antipaludique recommandés.
Les voyageurs en provenance de pays où il existe un risque de transmission de la fièvre jaune doivent être en mesure de présenter, lors de leur arrivée, un certificat international de vaccination antiamarile (fièvre jaune). Cette obligation s’applique à tous les voyageurs en provenance de ces zones, y compris après n’y avoir effectué qu’un simple transit.

Hébergement

Vous serez hébergés dans de beaux lodges à l’africaine très chics autour de Nairobi, aux abords des parcs nationaux, à l’intérieur des parcs. Ils ont tout le confort nécessaire et immanquablement une piscine, certains proposent même des plunge pool privatives.  L’hébergement dans les parcs nationaux se fait souvent en lodge tout confort. Le lounge est ouvert sur une plaine, en plein air et protégé par un toit de paille traditionnel. On peut généralement observer les herbivores s’abreuver face au lounge toute la journée. Les chalets sont dotés d’une terrasse privative pour observer les animaux passer sous sa fenêtre. Certains sont climatisés, d’autres ventilés. On peut aussi séjourner dans des camps de luxe, sous des tentes safari confortables et spacieuses, avec de vrais lits, une salle de bain privée, un restaurant mais pas de piscine. Ces camps sont souvent perdus au cœur des parcs, pourvus d’électricité solaire et de générateurs, mais pas toujours de wifi, car ils sont au cœur de la nature et donc plus rudimentaires que les lodges aux entrées de parc.
Les séjours sont en général all inclusive, allant jusqu’aux boissons non alcoolisées incluses. Il faudra payer ses verres et bouteilles de vin additionnelles, et les pourboires pour les employés des lodges si vous le souhaitez. Une taxe de séjour de 2% s’applique mais elle est automatiquement incluse dans le prix.
Du fait de la capacité d’hébergement volontairement limitée dans les réserves ou parcs, et ceci afin de préserver la qualité et la quantité de la faune, il peut arriver qu’en dépit de réservations confirmées, il soit nécessaire de modifier l’ordre des étapes et de substituer un lodge ou un camp à un autre, de catégorie similaire.

Internet & téléphone

Les hôtels et lodges sont dotés de réseaux wifi. En ville et sur la côte la connexion ne pose aucun problème. Cependant dans les parcs nationaux, l’accès Internet est plus ou moins bon, plus ou moins rapide. Adapté davantage à une utilisation smartphone qu’un ordinateur nécessitant un gros débit et souvent limité au lounge commun ou à la bibliothèque, il est rarement présent dans les chambres.

L’indicatif téléphonique au Kenya est + 254. On compose le numéro local avec le zéro, depuis la France en numéro international avec +254 sans le (0).  Le Kenya bénéficie d’une bonne couverture de réseau téléphonique et il est aisé de se procurer une carte SIM locale avec du crédit téléphone et data Internet à l’aéroport ou dans des boutiques en ville.

Langues

Les langues officielles sont le kiswahili et l’anglais, mais il existe 51 langues locales, correspondant aux nombreuses ethnies présentes sur le territoire.

Quand partir ?

Le climat étant équatorial, il y fait doux toute l’année et l’on peut s’y rendre à tout moment. On évitera la saison des pluies de fin mars à fin mai pour observer les animaux en safari (sous la pluie c’est évidemment compliqué) et éventuellement la petite saison des pluies en novembre. Néanmoins en moyenne saison, la réserve de Mara est beaucoup moins fréquentée, c’est donc plus agréable de visiter ce parc. La haute saison est définitivement juillet-août qui correspond, outre aux vacances scolaires des Occidentaux, à la grande migration des gnous au Kenya dans le parc national du Serengeti.

Restauration & repas

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Des plats swahilis, européens ou internationaux sont proposés dans les restaurants destinés aux touristes. La cuisine est à la croisée des influences africaines et arabes. Le plat national est le Nyama Choma, un plat de viande grillée au barbecue, classiquement du bœuf ou de la chèvre, mais qui peut être remplacé par du mouton. Le riz Pilau, préparé avec un cocktail d’épices (cumin, cardamome, poivre, cannelle), est un délicieux plat d’accompagnement proposé partout, souvent servi avec une salade de crudités kenyane appelée Kachumbari (tomate, oignon, coriandre, citron et piment). Les chapatis et les samoussas indiens font aussi partie intégrante de la gastronomie kényane. L’Ugali (une purée de maïs compacte) est l’accompagnement le plus populaire partout dans le pays. On trouve près du lac Victoria des poissons comme la perche du Nil (tilapia). Des lodges, qui affichent au menu des produits locaux principalement, très frais. Vous trouverez des plats aux épices locales typiques, entre 8 et 12 USD, des plats de grillades de poulet ou bœuf principalement dans les 20 USD. Les lodges rivalisent de bonne cuisine en buffet ou à la carte pour satisfaire leur clientèle.

Santé

On trouve quelques pharmacies rudimentaires souvent peu fournies en médicaments, avec quelques antibiotiques pour des problèmes de diarrhée notamment. En cas de maladie ou problème dentaire urgent nécessitant une consultation, rendez-vous sans hésiter à Nairobi dans une clinique privée.
Le paludisme (malaria) est présent au Kenya. On prendra donc un traitement prophylactique contre le paludisme prescrit par son médecin. On portera des habits longs le soir et le matin lorsque les moustiques transmetteurs de la maladie sont actifs, on évitera le noir et le bleu, on mettra du répulsif anti-moustique et on veillera à dormir sous une moustiquaire bien fermée et sans trou. Le vaccin contre la fièvre jaune est fortement recommandé. Il est préférable d’utiliser de l’eau en bouteille pour se laver les dents.

Transports

Des transferts privés sont organisés à bord de vans très confortables et climatisés avec des chauffeurs prudents. Les safaris se déroulent à bord de 4×4 dotés d’une glacière et de ports USB pour recharger les portables.

Il est possible de prendre des petits vols charters privés pour rejoindre des “airstrip”, des aérodromes au cœur des parcs nationaux, permettant d’économiser plusieurs heures, voire des jours, de trajet en 4×4 sur des pistes chaotiques.
La réglementation dans les aéroports du Kenya n’autorise pas les agents locaux à rentrer sous douane. Notre représentant est en conséquence tenu de se conformer à cette législation et les assistances fournies par celui-ci lors des arrivées et départs tant sur les vols internationaux qu’intérieurs ne pourront s’effectuer qu’aux sorties et entrées des aéroports.

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