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Dômes bleus de la cathédrale de Cuenca, Équateur
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La monnaie équatorienne, le sucre équatorien (ECS), a été remplacée par le dollar américain en mars 2000. Évitez les grosses coupures, préférez des billets de 1 à 20 USD dans les boutiques de souvenirs et sur les marchés. Des dollars équatoriens existent et sont identiques aux dollars américains, sauf qu’ils portent l’effigie de personnalités locales. Les pièces américaines et équatoriennes de (1, 5, 10, 25 et 50 cents) sont utilisées indifféremment.
Dans les restaurants, hôtels et boutiques haut de gamme, vous pouvez payer par carte bancaire. Mais il peut être plus avantageux de payer en espèces, car les frais de paiement par carte peuvent s’élever à 5 ou 10 %.
On trouve des distributeurs automatiques de billets dans toutes les grandes villes et dans des localités moyennes, mais ils sont parfois hors service ou vides. Le change d’euros en dollars peut s’effectuer dans les banques et, à un taux légèrement supérieur, dans les bureaux de change (les casas de cambio), situés dans les quartiers commerçants de Quito, Guayaquil et Cuenca. Il est recommandé de privilégier les distributeurs des grands centres commerciaux, mieux sécurisés que ceux de rue.
La dollarisation (qui date de mars 2000) a causé une augmentation du coût du niveau de vie en Équateur, mais la destination reste encore assez bon marché. Un dîner pour deux dans un bon restaurant coûte entre 20 et 30 USD.
Le marchandage est de mise sur les marchés d’artisanat et dans les petites boutiques touristiques.
En général, les restaurants haut de gamme ajoutent à l’addition une taxe (12%) et le service (10%). Si vous êtes satisfait, vous pouvez laisser 5% supplémentaires pour le serveur. Lors d’une croisière dans les îles Galápagos, il est de mise de laisser aux membres de l’équipage 10 à 20 USD par client et par jour.
Dans un groupe, prévoyez environ 5 USD par personne et par jour pour un bon guide professionnel et la moitié pour le chauffeur. En principe, on arrondit au chiffre supérieur avec les chauffeurs de taxi, sur une course facturée au compteur.
Les Galápagos ont fortement augmenté la taxe d’entrée dans le parc national, ce qu’ils n’avaient pas fait depuis 25 ans. Au 1er août 2024, elle est passée de 100 à 200 USD par visiteur étranger, et à 100 USD par enfant de moins de 13 ans – l’objectif étant de stabiliser le flux d’entrée sur l’archipel afin de protéger son fragile écosystème.
Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €).
Elle couvre les risques suivants :
Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.
Risque de vols et d’agressions. Malheureusement, l’Équateur connaît une hausse de criminalité liée au narcotrafic et à l’extraction minière illégale. Si aux Galápagos, il n’y a aucun problème de sécurité, ni dans les villages d’Amazonie ou au pied du volcan Chimborazo, les villes de Guayaquil et Quito sont dangereuses. Soyez particulièrement vigilants lorsque vous vous déplacez dans les rues de ces villes. Le risque de vol et d’agression est élevé, en particulier la nuit. Manta et Cuenca ne sont pas épargnées par la délinquance. Il est conseillé de se déplacer en visite guidée pour éviter de prendre des risques.
Risque volcanique. L’Équateur compte plusieurs volcans actifs, dont les volcans Sangay et Reventador. Leur ascension est interdite, ainsi que toute approche du cône terminal. Le volcan Cotopaxi, après 18 mois de fermeture, est ouvert au public, dans des conditions restrictives. L’Institut Géophysique de l’École Polytechnique Nationale (IG_EPN) établit une surveillance de leur activité. Il faut impérativement respecter les mesures de sécurité prises par les autorités locales.
Risque sismique. L’Équateur est situé sur une zone sismique. Le long de la côte, des risques de tsunami existent.
En croisière aux Galápagos ou sur la côte équatorienne, aucune condition physique particulière n’est nécessaire. Cependant, une bonne condition physique est indispensable pour s’aventurer dans les régions en altitude. La ville de Quito s’élève à 2 850 m d’altitude, dans la Sierra – la partie andine du pays, qui s’étend sur 800 km, de la frontière colombienne à celle du Pérou. Le circuit Cœur Équateur prévoit une nuit en refuge à 4 800 m d’altitude, au pied du volcan Chimborazo, et des trajets en pirogue en Amazonie où il fait chaud et humide. Les différences de températures pendant la nuit au refuge et des levers matinaux nécessaires à la bonne réalisation du programme nécessitent une bonne forme physique. Il est préférable de consulter votre médecin avant votre départ, particulièrement pour les personnes cardiaques.
Gardez vos distances pendant l’observation d’animaux pour ne pas endommager leur habitat, et suivez les instructions des guides naturalistes pendant les visites. Essayez de garder le silence pour rester attentifs aux bruits de la nature autour de vous.
Pour anticiper le mal des montagnes, hydratez-vous fréquemment en altitude et suivez les conseils de votre guide si vous ne vous sentez pas bien.
Pour photographier la faune et la flore en Équateur, pensez à prendre un appareil muni d’un zoom stable, particulièrement pour les oiseaux et reptiles furtifs ou cachés dans la forêt.
Comme partout, dans les villes et villages, ne photographiez pas des personnes sans leur consentement : de loin, il ne devrait pas y avoir de problème, mais de près, il faut établir une communication et demander l’autorisation, spécialement dans les communautés.
L’Équateur a développé un tourisme durable, social et vert en Amazonie et au pied des volcans de la Sierra andine, qui est mis en avant dans le circuit Cœur Équateur. La découverte de l’Amazonie en pirogue, la nuit en refuge à 4 800 m et les séjours dans des communautés familiales donnent une dimension humaine à ce circuit. Les îles des Galápagos, si éloignées des côtes, constituent une croisière à elles seules et offrent un voyage totalement différent du continent.
Faune locale. Dans la Sierra andine, on croise quantité de lamas au pied des volcans ocres, dont les llamingos, une espèce de petite taille endémique à l’Équateur. Vous observerez de graciles colibris dans la forêt équatoriale, et ce jusqu’en altitude. Il en existe 130 espèces sur les plus 300 qui existent dans le monde. Vous observerez le caïman et l’anaconda dans les eaux sombres du parc national Yasuni. Aux Galápagos, on vient admirer la tortue géante, dont il ne reste que 30 000 spécimens sur les îles de Santa Cruz, Isabela, San Cristóbal et Española. Elle peut faire jusqu’à 1,80 m de long ! Les iguanes marins sont assez imposants, et on en compte 50 000. Les baleines à bosse nagent dans les côtes équatoriennes.
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Votre valise devra être aussi polyvalente que vous. Prévoyez des tenues ultra légères dans les régions chaudes et humides, notamment lors d’une croisière aux Galápagos ou dans les régions basses de l’Équateur continentale en Amazonie. Pour vous protéger des moustiques (et donc du paludisme), pensez à prendre des vêtements longs pour les soirées à moins de 1 500 m d’altitude. A Quito, à 2 850 m d’altitude, les nuits sont fraîches, prévoyez donc des pulls.
En Amazonie, mieux vaut couvrir bras et jambes, même en journée, lorsqu’il fait très chaud. Le coton et le lin sont privilégiés, ainsi que des textiles anti-transpirant de randonnée. Dès que vous grimpez en altitude (notamment pour la nuit au refuge à 4 800 m d’altitude), l’air se rafraîchit drastiquement. Pensez à prendre un pull très chaud (type grosse polaire), un pantalon chaud, de bonnes chaussettes, des sous-vêtements thermiques, plusieurs couches de vêtements à superposer, des gants et un bonnet. Vous trouverez sur place de jolis pulls, écharpes et ponchos colorés en laine de lama à acheter sur les marchés.
N’oubliez pas des chaussettes techniques qui évitent la transpiration et les ampoules, de bonnes chaussures de marche fermées et des bâtons de randonnée. Emportez un chapeau ou une casquette, ainsi qu’un maillot de bain pour la piscine. Enfin, et surtout, n’oubliez pas des vêtements de pluie, notamment de bons imperméables – pour le haut et pour le bas pendant la saison humide – spécialement pour l’Amazonie.
Complétez votre valise avec un chapeau ou une casquette, des lunettes de soleil, de la crème solaire à écran total et un répulsif anti-moustique tropical. Prenez également une paire de jumelles pour observer la faune marine des Galápagos, un appareil photo si possible avec deux objectifs – un grand angle et un zoom pour photographier la faune et la flore – et une lampe torche pour s’éclairer durant les coupures fréquentes.
Une petite trousse à pharmacie suffira : des pansements contre les ampoules, une crème pour les brûlures et coups de soleil, des lingettes désinfectantes, des compresses et des pansements, du paracétamol, et des anti-diarrhéique en cas de tourista. N’hésitez pas à désinfecter souvent vos plaies en forêt tropicale humide. Pensez également à vous faire prescrire de quoi lutter contre le mal aigu des montagnes, ainsi qu’un traitement contre le paludisme. Sachez que les pharmacies locales peuvent vous aider.
Comme son nom l’indique, l’Équateur est soumis au climat de type équatorial, caractérisé par des pluies importantes et une chaleur constante. En fonction de l’altitude et de la différence de milieux naturels, le climat n’est pas du tout le même dans la Sierra andine, en Amazonie sur la côte Pacifique ou dans les Galápagos. Deux saisons rythment néanmoins l’année : la saison sèche et la saison humide.
Dans la Sierra andine, en altitude, où se trouve Quito et Cuenca, la saison des pluies dure d’octobre à mai. Plus on grimpe, plus il fait froid et humide. En saison sèche, entre juin et août, le climat est tempéré et agréable, le soleil brille et le temps est idéalement clair pour apprécier de beaux panoramas. Les nuits restent néanmoins glaciales à plus de 2 500 m d’altitude.
En Amazonie équatorienne, il pleut beaucoup toute l’année, et la température est constante (autour de 25 °C). De novembre à février, les mois les plus ensoleillés, la pluie est moins forte.
Sur la côte Pacifique, c’est paradoxalement pendant la saison sèche de juin à octobre qu’il fait le moins chaud, en saison de la garúa, une brume épaisse qui enveloppe le littoral en journée. Elle limite les températures à environ 20 °C. Cette brume se forme au contact du courant marin froid de Humboldt et des terres chaudes de l’Équateur. En saison des pluies, de novembre à mai, le soleil brille franchement, alterné par des averses tropicales.
Dans les Galápagos, il règne un climat tropical aride, mais le climat n’est pas si chaud, tempéré par le courant de Humboldt froid. La saison sèche dure de mai à octobre. Les températures sont agréables et il fait sec, mais le soleil est voilé par la même brume que sur les côtes équatoriennes tempérant l’air à 22 °C en moyenne. L’eau est froide (18 °C). La saison chaude, s’étirant de novembre à avril, est la plus ensoleillée, chaude et humide. Les pluies sont fréquentes, mais seulement quelques ondées alternant de longues périodes ensoleillées. Mars est le mois le plus arrosé de l’année, il fait environ 25 °C et l’eau peut atteindre 28°C.
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Vous n’aurez pas à conduire en Équateur dans le cadre de circuits ou de croisières Kuoni, mais il est bon de savoir qu’on y conduit à droite. Les Équatoriens peuvent avoir une conduite parfois dangereuse, et la circulation est dense en ville. Les piétons sont invités à la plus grande prudence au moment de traverser les rues, y compris sur les passages piétons.
La Panaméricaine, qui traverse le pays, est en excellent état jusqu’à Cuenca. Les autres bonnes voies de circulation sont l’autoroute Guayaquil-Salinas et les routes principales Cuenca-Loja, de Guayaquil à Pedernales… Les villes principales sont reliées par des routes, et pour le reste, ce sont principalement des pistes difficiles et des routes trouées de nids-de-poule.
Ambassade de France
Avenida 6 de Diciembre y Juan Boussingault, Bâtiment T6 – Quito
Numéro unique de téléphone 24h/24h : (+593) 2 294 38 00
www.ec.ambafrance.org
Portail du ministère du tourisme : www.turismo.gob.ec
En Équateur, le décalage horaire est de – 7 h en été et de – 6 h en hiver.
Quand il est midi en Équateur, il est 19 h en été en France métropolitaine et 18 h en hiver.
Le courant électrique est de 120 volts. Les prises sont aux normes américaines de fiche A (deux fiches plates) ; il est donc nécessaire de prévoir un adaptateur.
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Les formalités d’entrée et conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et susceptibles de modifications.
Pas besoin de visa pour un séjour en Équateur de moins de 3 mois. Pour se rendre aux Galápagos, l’obtention d’une autorisation spéciale est nécessaire. Nous consulter.
Il est obligatoire d’être en possession d’un passeport dont la validité doit être de 6 mois après la date de retour en France. Le passeport doit également avoir 2 pages vierges successives.
Tout voyageur doit présenter à son arrivée une attestation d’assurance maladie couvrant tout son séjour en Équateur. Ce contrat doit permettre de couvrir tous les frais en cas d’hospitalisation ou toutes autres dépenses de santé dans le pays. A défaut, le voyageur peut se voir refuser l’entrée dans le pays.
Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge. L’autorisation de sortie de territoire (AST) est obligatoire pour les mineurs français ou étranger résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site : www.service-public.fr
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom que le sien, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.
Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous êtes inscrits. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.
Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client.
Aucune vaccination n’est obligatoire, mais les vaccins DT Polio à jour et vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B et la typhoïde sont recommandés en Équateur. Le vaccin contre la fièvre jaune est recommandé dans les provinces d’Amazonie. Les voyageurs en provenance de pays où il existe un risque de transmission de la fièvre jaune (dont les pays voisins tel que le Pérou, Brésil, Bolivie…) doivent être en mesure de présenter, lors de leur arrivée, un certificat international de vaccination antiamarile (fièvre jaune). Cette obligation s’applique à tous les voyageurs en provenance de ces zones, y compris après n’y avoir effectué qu’un simple transit de plus de 12h.
Un traitement antipaludique est recommandé pour des séjours en dessous de 1 500 m où les moustiques sont nombreux, en particulier en Amazonie.
Les hôtels 3 ou 4-étoiles sélectionnés par Kuoni pour les circuits sont tous dotés d’une jolie piscine et d’un confort conforme aux standards internationaux. Les restaurants proposent des plats de cuisine locale comme internationale. Les services sont garantis : sécurité 24h/24, taxis, etc.
Le confort en croisière dépend de la catégorie de cabine choisie.
Il existe un tourisme durable en Équateur avec des hébergements originaux et charmants. Avec le circuit Cœur Équateur, la guest house dans la communauté Inti Sisa à Guamote est magnifique, avec beaucoup de bois chaleureux et tout le confort qu’on peut souhaiter. L’écolodge Itamandi, au cœur de la nature, est une véritable merveille, également dotée d’une piscine. Vous dormez également dans un refuge de montagne au sein d’une communauté à 4 800 m d’altitude.
Les hôtels, lodges, restaurants et même certains cafés sont équipés de wifi. Le réseau est en revanche souvent limité à la réception. Pour les addicts, il est possible d’acheter une carte sim locale et de charger du crédit internet, chez des opérateurs comme Claro, Movistar et CNT. Les cartes e-sim ne sont pas compétitives sur cette destination et les opérateurs français ne proposent pas de forfaits internet en package en Équateur. Le roaming est bien sûr hors de prix (pensez à désactiver l’option “Données à l’étranger” avant d’atterrir pour ne pas vous faire facturer).
L’indicatif téléphonique en Équateur est + 593. La couverture des réseaux cellulaires est excellente dans tout le pays, sauf bien entendu au cœur de l’Amazonie ou dans certaines zones isolées des Galápagos.
L’espagnol est la langue officielle du pays : tout le monde le parle, mais les langues indigènes sont encore très pratiquées (quichua, shuar…). Les personnes travaillant au contact des touristes parlent anglais sans problème.
Comme son nom l’indique si justement, ce pays se situe sur l’équateur. Le site Mitad del Mundo (« milieu du monde ») permet d’ailleurs d’avoir un pied dans l’hémisphère nord et l’autre dans l’hémisphère sud. Selon la région de l’Équateur à visiter, il existe une période propice. Pour la cordillère des Andes, privilégiez la période entre juin et août. La saison des pluies est comprise entre octobre et mai et la température chute fortement, surtout en altitude. La côte Pacifique peut se visiter jusqu’en novembre, mois durant lequel le thermomètre affiche encore 20°C. La période de janvier à mai est idéale pour visiter les Galápagos, même si le climat est capricieux. Quant aux températures de la forêt d’Amazonie, elles sont stables autour de 25°C toute l’année.
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On peut déjeuner dans les restaurants en général entre midi et 15 h. Le soir, prévoyez de dîner assez tôt, les cuisines fermant souvent à 21 h 30.
Un menu du jour avec boisson coûte entre 3 et 5 USD dans les petits restaurants locaux. Prévoyez un budget européen si vous allez déjeuner ou dîner dans un restaurant de spécialités plus chic ou dans les hôtels.
La cuisine équatorienne se compose essentiellement de pommes de terre, bananes, yuca, riz, lentilles, poulet, porc, bœuf, poisson…. Le ceviche équatorien consiste de crevettes cuites puis marinées dans du citron, oignon, tomate, orange et coriandre. Il est souvent accompagné de popcorn de maïs ou de patacones, des chips de banane plantain verte aplatie et frits. L’encebollado est un plat de la côte Pacifique : il s’agit d’une copieuse soupe de poisson avec du manioc, des oignons et du piment. Le viche est une soupe préparée avec poisson, cacahuète, banane plantain, manioc, potiron, patate douce et fèves, que l’on accompagne de maïs (choclo) ou d’avocat (aguacate). Le locro est une soupe de pommes de terre avec avocat, fromage et graines de lupin. Vous trouverez parfois aussi la sopa de bolas verde : dans le bouillon, le chou et la banane plantain sont accompagnés de boulettes de bananes, oignons, fromage, petits pois et viande de bœuf. Autre soupe : le sancocho, où la viande (poulet ou autre) côtoie le manioc, les bananes plantain, le maïs et les fines herbes. Le corviche est une pâte épaisse constituée de banane, d’épices et de cacahuètes que l’on fourre de poisson. Les empanadas, d’origine argentine, se trouvent partout dans les rues.
Les circuits et croisières Kuoni en Équateur sont prévus en pension complète sauf exception certains jours.
Ne buvez pas l’eau du robinet, achetez des bouteilles d’eau purifiée.
Le risque de paludisme est plus élevé dans la province d’Esmeraldas (Nord-Ouest) et dans la région amazonienne à l’Est (provinces de Pastaza et Morano Santiago). Il est en revanche inexistant en altitude dans la Sierra ou dans les Galápagos. L’Amazonie est réputée pour sa biodiversité et abrite aussi de nombreux insectes : mieux vaut donc porter des vêtements couvrants pour ne pas se faire piquer. Attention aux risques de surinfections de petites blessures en milieu tropical. Veillez à toujours bien désinfecter vos plaies.
Le risque de tourista existe en mangeant dans des petits restaurants locaux.
En ville, les bus sont déconseillés : les chauffeurs conduisent souvent de manière dangereuse, et peuvent avoir des accidents. Les passagers peuvent se faire voler leurs valeurs. L’utilisation de taxis enregistrés et clairement identifiés ou de VTC (Uber) est recommandée, ou via l’application Easy Taxi, populaire en Équateur. Ne prenez jamais un taxi clandestin.
Les vols intérieurs peuvent être sujet à des modification ; les programmes sont alors adaptés selon la meilleure alternative possible.
