La Guadeloupe étant un département d’outre-mer français (DOM), la monnaie locale en Guadeloupe est l’euro (EUR).
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Gosier, Guadeloupe
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La Guadeloupe étant un département d’outre-mer français (DOM), la monnaie locale en Guadeloupe est l’euro (EUR).
Vous pouvez utiliser votre carte de crédit comme n’importe où en France.
La Guadeloupe est une destination assez onéreuse, les chambres de standing oscillant entre 200 et 350 € la nuit, et dans les 130 € pour une nuit dans un petit hôtel. La vie est plus chère qu’en métropole, d’en moyenne 16%. On trouve néanmoins de bons produits de saison peu chers sur les marchés : particulièrement des fruits tropicaux délicieux.
Le marchandage est de rigueur sur les marchés, comme au Grand Marché de Pointe-à-Pitre.
Comme partout en France, le pourboire est optionnel mais bienvenu, surtout dans un contexte économique difficile pour les petits salaires sur l’île.
La TVA est fixée à 8,5% dans les Départements d’Outre-Mer, et donc en Guadeloupe également.
Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €).
Elle couvre les risques suivants :
Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.
Le taux de criminalité est faible en Guadeloupe comparé aux îles anglophones des Antilles voisines : la vie y est tranquille, même si quelques vols à l’arrachée restent possibles. La délinquance existe dans certains quartiers comme partout en France, avec une incidence supérieure à la moyenne. Il faut donc rester vigilant sans tomber dans la paranoïa. Certains secteurs de Beauperthuy, de Boissard et Carénage à Pointe-à-Pitre, de Mare-Gaillard et de la Marina au Gosier sont à éviter, en particulier la nuit.
Les coraux
Le lagon grouille de vie, avec des poissons, mais aussi des coraux. Il est important de ne pas les toucher, d’abord parce qu’ils sont urticants et coupants (en cas de blessure, il faut mettre une pommade spéciale au risque de voir la plaie s’infecter), mais aussi parce que ce sont des organismes vivants très sensibles qu’il faut absolument préserver, au risque de déséquilibrer l’écosystème auquel ils participent.
Les requins.
La Guadeloupe est connue pour abriter plusieurs espèces de requins : longimane, tigre, mako, Caraïbes, soyeux, citron et marteau, mais ils évoluent assez loin des côtes et les attaques sont très rares. La dernière, en décembre 2020, s’est soldée par le décès d’un touriste de 38 ans des suites d’une morsure d’un requin tigre. C’est la seule en plus d’une décennie. Évitez de nager près des zones où se concentrent poissons et oiseaux marins après les pluies, quand l’eau est trouble. Ne portez pas de bijoux ou d’accessoires brillants qui pourraient attirer les requins. Ne vous aventurez pas dans l’eau à la tombée de la nuit, quand ils sont plus actifs.
Les risques naturels.
Le plus grand risque encouru est le risque d’ouragan, entre juin et novembre, durant l’hivernage. L’archipel de la Guadeloupe n’est cependant que rarement touché par des cyclones. Le dernier date de 2023 – l’ouragan Tammy – et les fréquences sont en général tous les 7 à 8 ans. Des tempêtes cycloniques ont lieu tous les 3 ou 4 ans.
Des précautions sont nécessaires : préparez-vous à changer ou même interrompre ou annuler votre voyage, si un ouragan ou une tempête cyclonique survient pendant votre séjour. Tenez-vous informé des prévisions météorologiques régionales pendant vos vacances, suivez les instructions de sécurité des autorités locales pour vous mettre à l’abri.
Des inondations, coulées de boue et glissements de terrain peuvent aussi se produire dans les endroits avec des ravines, engendrant des dégâts matériels et des coupures de courant. Il ne faut évidemment pas s’aventurer dans des zones à risque lorsqu’il pleut très fort.
Les Antilles sont une terre sismique active, située au niveau de la zone de subduction des plaques nord-américaine et sud-américaine sous la plaque caraïbe. Le risque de tremblement de terre, et par conséquent de tsunami, existe sur les côtes. Les autorités sont employées à prévenir et protéger les populations et habituées aux exercices de scénarios catastrophes pour les anticiper. L’activité volcanique de la Soufrière est à considérer. Ce volcan actif de type explosif à nuées ardentes est très dangereux, et de formation récente (100 000 à 200 000 ans). Son activité actuelle est marquée par des fumerolles, des vapeurs sulfureuses et des sources chaudes sur différents points du sommet. Il culmine à 1 467 m d’altitude et sa dernière éruption date de 1977.
Il n’y a pas de condition physique particulière à avoir pour se rendre en Guadeloupe, une île aux températures clémentes et constantes toute l’année et aux normes de confort français.
Ne vous aventurez pas sur n’importe quelle plage de l’île : les contre-courants sont fréquents et les plages ne sont pas surveillées, les rendant donc parfois dangereuses.
Si vous partez en randonnée, les sentiers ne sont pas toujours bien balisés (sauf celui de la Soufrière) et les conditions climatiques peuvent changer rapidement, même en été. Préférez prendre un guide local. Utilisez des chaussures fermées pour vous prémunir en particulier des piqûres des fourmis de feu, qui provoquent de grosses réactions allergiques, qui grattent et gonflent. En cas de nombreuses piqûres, il faudra consulter un médecin.
Comme partout en France, on demande avant de filmer ou prendre quelqu’un en photo de près.
On vient profiter des magnifiques plages en Guadeloupe : à Port-Louis, l’Anse du Souffleur et l’Anse Bertrand, à Sainte-Anne la plage de la Caravelle et la plage de Bois-Jolan, au Gosier la plage du Petit-Havre et la plage de la Datch… mais il y en existe des dizaines d’autres.
Une excursion en bateau aux Saintes – composées de deux petites îles, Terre-de-Haut et Terre-de-Bas, ainsi que de 7 îlets inoccupés – sera un temps fort de votre séjour en Guadeloupe. Visitez ce véritable paradis terrestre préservé, avec notamment la Baie de Pont Pierre, qui est un site naturel classé. D’autres balades en bateau méritent de mettre les voiles : les îlets du Grand Cul-de-sac marin et de la Biche notamment.
La randonnée phare en Guadeloupe est l’ascension du volcan de la Soufrière, qui prend en moyenne 5 à 6 heures suivant un chemin bien balisé et sécurisé et de difficulté modérée. Autre sentier populaire : les (trois) Chutes du Carbet. L’itinéraire longeant le littoral de la Pointe des Châteaux de Anse à la Gourde offre des paysages panoramiques magnifiques et constitue aussi une belle randonnée.
Les spots de plongée sont nombreux en Guadeloupe, notamment parce qu’il s’agit d’un archipel. On peut citer la Réserve Cousteau, l’îlet Gosier, le Grand cul-de-sac marin, l’Augustin Fresnel, le Lagon de Saint-François et la Réserve de Petite Terre, le Sec Pâté…
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Prévoyez des affaires de plages (maillot de bain, paréo, tongs) et des tenues ultra légères et amples, en coton ou en lin de préférence, sur cette île des Caraïbes où il fait chaud et humide. Pour vous protéger des moustiques, pensez à prendre des vêtements couvrants (pantalons et t-shirts manches longues). Pour faire de la randonnée, prévoyez des vêtements anti-transpirants et des chaussures fermées. Emportez également des vêtements de pluie (de bons imperméables, haut et bas) en saison humide, ainsi qu’un chapeau ou une casquette. N’oubliez pas de prendre de belles tenues pour sortir le soir (robes, chemises, chaussures).
Prévoyez des lunettes de soleil, de la crème solaire, des répulsifs anti-moustiques pour zones tropicales, ainsi que votre matériel de snorkeling (palmes, masque, tuba). Le côte caribéenne est riche en lagons poissonneux, des chaussures d’eau seront nécessaires pour vous protéger des oursins et coraux. Pensez à prendre un petit sac à dos pour les excursions et les randonnées.
Une petite trousse à pharmacie suffira : des pansements contre les ampoules, une crème pour les brûlures et coup de soleil, des lingettes désinfectantes, des compresses et des pansements, du paracétamol… Les pharmacies locales sont très bien achalandées et vous pouvez consulter un médecin avec votre carte vitale, comme partout en France.
Il règne en Guadeloupe un climat tropical humide. Les températures sont chaudes et stables toute l’année, comprises entre 22 et 30 °C, modérées par le vent des Alizées. Pendant la saison sèche, de décembre à avril, le soleil brille sans discontinuer : il ne pleut quasiment pas. La température moyenne est alors de 29 à 30 °C et la mer est à 26 ou 27 °C. L’eau est très chaude et connaît peu de différence avec l’air, on peut y rester des heures comme dans un bain. Il n’existe pas de réelle saison des pluies très intense. Pendant la saison humide, de mai à novembre, les averses sont brèves et sont suivies par un beau soleil. En revanche, les températures sont plus chaudes, il peut faire jusqu’à 32 à 33 °C en juillet, qui est le cœur de la saison humide. La période cyclonique s’étend de juin à novembre. La température de la mer descend rarement en dessous de 26 °C.
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Les règles de conduite, de savoir-vivre et de bienséance s’appliquent exactement comme en métropole. Mais elles sont plus ou moins respectées, il faut donc être prudent, surtout sur les petites routes. Certains conducteurs doublent sans visibilité et font des queues de poisson. Les deux-roues sont assez dangereux : pas de casque, pas de lumières, non-respect des feux, vitesse excessive, et surtout wheeling (roue arrière). En Guadeloupe, la mortalité routière est trois fois plus élevée qu’en métropole en raison de la vitesse excessive et du non-port des ceintures de sécurité.
Vous emprunterez des petites routes départementales étriquées de montagne aux lacets serrés pour explorer l’intérieur de l’île, dominé par des pitons volcaniques. La “route de la traversée”, reliant Petit-Bourg à Pointe-Noire en Basse-Terre, porte bien son nom. Elle passe à travers une forêt dense et est très sinueuse : il faut éviter d’y conduire la nuit.
Les grands axes de l’île sont bien entretenus, mais les routes secondaires s’abîment très vite en raison du climat tropical qui règne sur l’île. Vous pouvez rencontrer des nids de poule dans la chaussée, donc gare aux pneus ! Autour des villes, le trafic routier peut être dense le matin ou le soir, avec des bouchons qui se forment, surtout dans la zone économique du Jarry. Longer la côte à travers les routes principales est aisé ; les routes de montagnes et les petits villages perchés, un peu moins.
Vous pouvez louer une voiture à boîte automatique ou manuelle.
Depuis Point-à-Pitre, il faut 1 h pour atteindre Vieux-Fort à l’extrémité sud de l’île principale de l’archipel, mais aussi 1 h pour atteindre l’Anse Bertrand à l’extrémité nord.
Les limitations sont les mêmes qu’en métropole. 50 km/h en ville, 30 km/h dans les zones fréquentées, 80 km/h à 70 km/h sur les nationales et départementale, 110 km/h sur les 2×2 voies. Plus de 60 radars ont été installés sur les routes guadeloupéennes, pour faire face au nombre important d’accidents.
Il n’y a pas d’autoroute et pas de péage en Guadeloupe.
Il existe une rue piétonne à Pointe-A-Pitre, près du marché de Saint-Antoine.
Les règles sont les mêmes qu’en métropole.
En Guadeloupe, il y a encore des pompistes et toutes les stations ne sont pas équipées de machines automatiques ouvertes 24 h/24. Beaucoup de stations ferment vers 21 h. Il faut donc éviter de faire le plein le soir.
Offices de Tourisme officiel des îles de Guadeloupe : www.lesilesdeguadeloupe.com.
Le décalage horaire en Guadeloupe est de – 5 h en hiver et de – 6 h en été. Quand il est midi en Guadeloupe, il est 17 h en hiver et 18 h en été en France métropolitaine.
La Guadeloupe est alimentée en courant alternatif de 220/240 volts à 50 hertz. Les prises sont les mêmes qu’en métropole.
On trouve des adresses de charme et surtout de très beaux établissements de luxe aux mêmes standards et exigences de service qu’en métropole – le charme exotique de la mer des Caraïbes en plus. Une taxe de séjour est à régler sur place, directement auprès de chaque hôtel, d’un montant de 0,90 € à 3 € par nuit selon la catégorie d’hôtel.
Le WiFi est très bon dans les hôtels, et un peu moins présent dans les restaurants et cafés de l’île. Mais un mobile français fonctionne ici avec des datas Internet déduites du forfait EU/DOM compris avec votre abonnement, en 4G normalement, voire en 3G dans les zones reculées.
L’indicatif téléphonique en Guadeloupe est +596 pour appeler de l’étranger, et non pas le +33. Mais pour tout appel depuis un portable français ou un fixe (indicatif régional 05), on utilise la numérotation à 10 chiffres française habituelle sans préfixe international.
Plus de 95% des Guadeloupéens parlent créole car c’est leur langue maternelle, mais près de 90% de la population maîtrise le français (soit environ 350 000 personnes), langue officielle administrative apprise à l’école depuis le primaire. Le créole gwada est né d’un mélange entre le français et les langues d’Afrique de l’Ouest importées par les esclaves. Il est parlé par environ 45 000 personnes strictement créolophones.
La haute saison touristique correspond à la saison sèche de décembre à avril. C’est une période onéreuse et les bouchons sont fréquents, mais le soleil y est éternel. C’est aussi le temps des festivals, des grandes fêtes sur l’île et de nombreuses manifestations culturelles. En saison des pluies, les ondées sont agréables et ne gênent en aucun cas les moments de farniente, car elles sont légères et suivies d’un grand soleil.
L’inconvénient vient de la saison des ouragans, au cœur de la saison humide, de juillet à novembre. Durant cette période, des tempêtes tropicales peuvent dégénérer. Le cœur de la saison des pluies peut aussi être synonyme d’inondations saisonnières : les routes sont alors impraticables. Ce n’est donc pas la bonne saison pour vous y rendre.
La mi-saison, de mai à fin juin, est calme, reposante, moins chère, et peu risquée. C’est une excellente période pour se rendre en Guadeloupe sans vivre les inconvénients de la haute saison.
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Les heures de repas sont similaires à celles de la métropole, et la formule est identique : entrée, plat, dessert. Dans un restaurant guadeloupéen, les nappes créoles et le Ti Punch en guise d’accueil sont fréquents.
Pour un repas obtenu auprès d’un stand de street food, vous payerez entre 5 et 10 €. On trouve des petits lolos (gargotes) particulièrement à la Pointe Marin, les Salines et Grand Case. Les plats locaux avec des poissons, fruits de mer moins nobles ou viandes dans des restaurants classiques coûtent entre 15 et 20 €. Dans les restaurants gastronomiques, les prix sont en général 30% plus chers qu’en France.
Le bokit : on en trouve à tous les coins de rue : le bokit est un sandwich copieux typiquement guadeloupéen, avec du poulet, du jambon, de la morue et des crudités, qui est frit. L’Angoulou est une autre version du sandwich local, non frit et dans un pain viennois brioché et rond.
Le colombo : ce plat antillais typique est un mélange d’épices traditionnelles aux notes de curry, curcuma, piment de Jamaïque, poivre, coriandre… qui sert de marinade à des viandes ou poissons.
Le poulet boucané : la viande de poulet est marinée puis séchée, avant d’être cuite par enfumage sur une grille à l’étouffé. La viande peut ainsi se conserver plusieurs mois. Il est servi avec du riz.
Le boudin créole : c’est un boudin noir, très épicé, mangé grillé ou poêlé, aux accents de thym, cive (entre la ciboulette et l’oignon), bois d’Inde et clou de girofle.
Les acras de morue : ces beignets frits de morue sont très populaires en Guadeloupe, relevés avec du piment frais.
Les fricassés de ouassous : ce sont des crevettes d’eau douce impressionnantes et délicieuses, fricassées dans de l’huile ou du beurre rouge (condiment créole), tomates, piment, ail, oignon, cives et feuilles de bois d’Inde et accompagnées de bananes plantains, patates douces, riz, ignames…
La qualité de l’eau et l’hygiène des aliments étant correctes en Guadeloupe, on peut tout à fait boire l’eau du robinet comme partout en France.
Attention aux oursins et coraux quand vous marchez dans l’eau : si la mer est riche en fonds marins à explorer en plongée ou snorkeling, elle peut couper ! Des chaussures d’eau sont recommandées. Si vous vous entaillez le pied avec un corail, rendez-vous en pharmacie pour acheter une crème antibactérienne spécifique car le corail est vivant et peut créer des infections – ce n’est pas une plaie ordinaire.
Si vous marchez sur un oursin, rendez-vous le plus vite possible chez un docteur ou dans un hôpital pour vous faire retirer les piquants.
Veillez à ne pas vous baigner dans des eaux douces stagnantes, car des risques de parasitose existent. Ne marchez pas pieds nus dans la boue, pour les mêmes raisons.
Ne vous allongez pas dans le sable sans un tapis de plage, il y a un risque de larves migrantes cutanées.
La chaleur nécessite une bonne hydratation, une crème solaire de protection écran total et un chapeau ou une casquette. Dans les Antilles, le soleil tape très fort, donc gare aux insolations et aux coups de soleil !
En Guadeloupe, la malaria a été éradiquée dans les années 1950. En revanche, le climat tropical maritime de l’archipel favorise la prolifération des moustiques tigres qui piquent en journée jusqu’en début de soirée et qui peuvent transmettre notamment la dengue. Il est donc important de se protéger efficacement des piqûres. À la plage et sur les bords de mer, les moustiques sont rares, car ils n’aiment pas le vent. Dès que vous vous enfoncez dans un endroit protégé du vent, en forêt ou dans les habitations où la chaleur s’agrège, ils peuvent être nombreux, particulièrement en saison des pluies. C’est pendant cette saison que le risque de contracter la dengue est le plus important. Près de 70% des cas de dengue importée en métropole viennent de Guadeloupe et Martinique. Les virus chikungunya et Zika, véhiculés comme la dengue par le moustique tigre, sont moins présents. Les répulsifs sont plus que fortement recommandés pour s’en protéger. Notez que l’utilisation combinée d’un anti-moustique et d’une crème solaire réduit l’efficacité de cette dernière. Veillez donc à les appliquer à des moments différents de la journée.
Les accidents de type morsures de serpents et araignées sont encore très rares. Certaines plantes exotiques telles que le mancenillier sont en revanche très toxiques en Guadeloupe. Cet arbre fait partie de la famille des euphorbiacées et il est considéré comme le plus dangereux au monde. Il est marqué au niveau du tronc d’un trait, d’une croix rouge ou d’un panneau de signalisation pour prévenir du danger et de sa toxicité. Il est hautement toxique, du tronc aux feuilles en passant par les fruits. Il provoque vomissements, diarrhée, maux de tête, en cas de faible contact, une éruption cutanée et en cas d’ingestion, peut même provoquer un œdème de Quincke. Même en vous abritant sous cet arbre pendant la pluie, vous pourrez avoir une importante éruption cutanée. Gare aux enfants jouant à proximité, les « pommes » de ce fruit ont l’air inoffensives mais sont toutes aussi toxiques : il ne faut surtout pas les toucher, encore moins les porter à la bouche.
Il existe un réseau de bus interurbains qui dessert différentes régions de l’île principale depuis Point-à-Pitre, dont les tickets varient de 1,5 à 3 €. Des lignes de ferries relient toutes les îles de l’archipel entre elles.
Les deux croisières Kuoni passant par la Guadeloupe prévoient respectivement une halte à Deshaies (en voilier) et une halte aux Saintes (en yacht).