Étant un département d’outre-mer français (DOM), la monnaie locale en Martinique est l’euro (EUR).
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Rocher du Diamant, Martinique
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Étant un département d’outre-mer français (DOM), la monnaie locale en Martinique est l’euro (EUR).
Vous pouvez utiliser votre carte de crédit comme n’importe où en France.
La Martinique est une destination assez onéreuse, les chambres de standing oscillant entre 200 et 350 € la nuit, et dans les 130 € pour une nuit dans un petit hôtel. La vie est plus chère qu’en métropole d’en moyenne 14%. On trouve néanmoins de bons produits de saison peu chers sur les marchés : particulièrement des fruits tropicaux délicieux.
Le marchandage est de rigueur sur les marchés, comme au Grand Marché de Fort-de-France.
Comme partout en France, le pourboire est optionnel, mais bienvenu, surtout dans un contexte économique difficile pour les petits salaires sur l’île.
La TVA est fixée à 8,5% dans les Départements d’Outre-Mer, et donc en Martinique également.
Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €).
Elle couvre les risques suivants :
Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.
Le taux de criminalité est faible en Martinique comparé aux îles anglophones des Antilles voisines : la vie y est tranquille, même si quelques vols à l’arrachée restent possibles. La délinquance existe dans certains quartiers comme partout en France, avec une incidence supérieure à la moyenne. Il faut donc rester vigilant sans pour autant tomber dans la paranoïa. Le quartier de Trénelle à Fort-de-France est généralement déconseillé aux touristes.
Les coraux
Le lagon grouille de vie, avec des poissons, mais aussi des coraux. Il est important de ne pas les toucher, d’abord parce qu’ils sont urticants et coupants (en cas de blessure, il faut mettre une pommade spéciale au risque de voir la plaie s’infecter).
Les requins
La Martinique est connue pour abriter plusieurs espèces de requins : longimane, mako, Le soyeux, citron et marteau, mais ils évoluent assez loin des côtes et les attaques sont très rares. Il n’y a eu aucune attaque de requin en Martinique depuis plus d’une décennie. Évitez de nager près des zones où se concentrent poissons et oiseaux marins, après les pluies quand l’eau est trouble. Ne portez pas de bijoux ou d’accessoires brillants qui pourraient attirer les requins. Ne vous aventurez pas dans l’eau à la tombée de la nuit, quand ils sont plus actifs.
Les risques naturels
Le plus grand risque encouru est le risque d’ouragan, entre juin et novembre, durant l’hivernage. L’île de la Martinique n’est cependant que rarement touchée par des cyclones, bien que le dernier date de 2024. Les fréquences sont en général de 10 ans. Des tempêtes cycloniques ont lieu tous les 3 ou 4 ans en revanche.
Des précautions sont nécessaires : préparez-vous à changer ou même interrompre ou annuler votre voyage si un ouragan ou une tempête cyclonique survient pendant votre séjour. Tenez-vous informé des prévisions météorologiques régionales pendant vos vacances, suivez les instructions de sécurité des autorités locales pour vous mettre à l’abri.
Des inondations, coulées de boue et glissements de terrain peuvent aussi se produire dans les endroits avec des ravines, engendrant des dégâts matériels et des coupures de courant. Il ne faut évidemment pas s’aventurer dans des zones à risque lorsqu’il pleut très fort.
Les Antilles sont une terre sismique active, située au niveau de la zone de subduction des plaques nord-américaine et sud-américaine sous la plaque caraïbe. Le risque de tremblement de terre, et par conséquent de tsunami, existe sur les côtes. Les autorités sont employées à prévenir et protéger les populations et habituées aux exercices de scénarios catastrophes pour les anticiper.
Il n’y a pas de condition physique particulière à avoir pour se rendre en Martinique, une île aux températures clémentes et constantes toute l’année et aux normes de confort français.
Ne vous aventurez pas sur n’importe quelle plage de l’île : les contre-courants sont fréquents et les plages ne sont pas surveillées, les rendant donc parfois dangereuses.
Si vous partez en randonnée, les sentiers ne sont pas toujours balisés et les conditions climatiques peuvent changer rapidement, même en été. Préférez prendre un guide local. Utilisez des chaussures fermées pour vous prémunir en particulier des piqûres des fourmis de feu, qui provoquent de grosses réactions allergiques, qui grattent et gonflent. En cas de nombreuses piqûres, il faudra consulter un docteur.
Comme partout en France, on demande avant de filmer ou prendre quelqu’un en photo de près.
On vient profiter des plages en Martinique. Les plus belles sont celles des Salines, de l’Anse-Couleuvre, de l’Anse Dufour, d’Anse-Noire, des Anses-d’Arlet et de l’Anse Michel. La Martinique compte 48 îlets qui recèlent de jolies plages sauvages qu’on visite soit en bateau, en kayak ou en stand up paddle. Les îlets Madame, Chancel, Thierry, Oscar et Chevalier sont les plus populaires. Entre les îlets Oscar et Thierry, on se baigne dans une piscine naturelle constituée par un lagon baptisé la Baignoire de Joséphine.
On vient également en Martinique pour plonger. Les spots les plus prisés sont la baie de Saint-Pierre, le cap Salomon, le rocher du Diamant ou l’Anse-Noire.
La Martinique compte près de 250 km de chemins de randonnée. Trois sites phares sont reconnus pour la beauté de leurs paysages : la presqu’île de la Caravelle, la Savane des Pétrifications et la Montagne Pelée, les plus emblématiques.
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Prévoyez des affaires de plages (maillot de bain, paréo, tongs) et des tenues ultra légères, en coton ou en lin de préférence, sur cette île des Caraïbes où il fait chaud et humide. Pour vous protéger des moustiques, pensez à prendre des vêtements couvrants (pantalons et t- shirts à manches longues). Pour faire de la randonnée, prévoyez des vêtements anti-transpirants et des chaussures fermées. Emportez également des vêtements de pluie (de bons imperméables, haut et bas) en saison humide, ainsi qu’un chapeau ou une casquette. N’oubliez pas de prendre de belles tenues pour sortir le soir (robes, chemises, chaussures).
Prévoyez des lunettes de soleil, de la crème solaire, des répulsifs anti-moustiques pour zones tropicales et votre matériel de snorkeling (palmes, masque, tuba). Le côte caribéenne est riche en lagons poissonneux, des chaussures d’eau seront nécessaires pour vous protéger des oursins et coraux. Pensez à prendre un petit sac à dos pour les excursions et les randonnées.
Une petite trousse à pharmacie suffira : des pansements contre les ampoules, une crème pour les brûlures et les coups de soleil, des lingettes désinfectantes, des compresses et des pansements, du paracétamol… Les pharmacies locales sont bien achalandées et vous pouvez consulter un docteur avec votre carte vitale, comme partout en France.
Il règne en Martinique un climat tropical humide. Les températures sont chaudes et stables toute l’année, comprises entre 22 et 30 °C, modérées par le vent des Alizées. Pendant la saison sèche, de décembre à avril, le soleil brille sans discontinuer : il ne pleut quasiment pas. La température moyenne est alors de 29 à 30 °C et la mer est à 26 ou 27 °C. L’eau est très chaude et connaît peu de différence avec l’air, on peut y rester des heures comme dans un bain. Il n’existe pas de réelle saison des pluies très intense. Pendant la saison humide de mai à novembre, les averses sont brèves et sont suivies par un beau soleil. En revanche, les températures sont plus chaudes, il peut faire jusqu’à 32 ou 33 °C en juillet, le cœur de la saison humide. La période cyclonique s’étend de juin à novembre. La température de la mer descend rarement en dessous de 26 °C.
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Les règles de conduite, de savoir-vivre et de bienséance s’appliquent exactement comme en métropole. Mais elles sont plus ou moins respectées, il faut donc être prudent, surtout sur les petites routes. Certains conducteurs doublent sans visibilité et font des queues de poisson. Les deux-roues sont assez dangereux : pas de casque, pas de lumières, non-respect des feux, vitesse excessive, et surtout wheeling (roue arrière). Il faut oser conduire sur des petites routes départementales étriquées de montagne avec des lacets serrés pour explorer l’intérieur de l’île.
Les grands axes de l’île sont bien entretenus, mais les routes secondaires s’abîment très vite en raison du climat tropical qui règne sur l’île. Vous pouvez rencontrer des nids de poule dans la chaussée, donc gare aux pneus ! Les pistes pleines de cailloux de l’Anse Trabaud, de Macabou, de Cap Chevalier, de Cap Macré et d’Anse Couleuvre se conduisent lentement. Autour des villes, le trafic routier peut être dense le matin ou le soir, les bouchons se forment. Pour éviter les embouteillages, ne roulez pas dans les directions sud-centre et nord-centre le matin et à ne roulez pas dans les sens inverses le soir. Évitez les zones commerciales. Longer la côte à travers les routes principales est aisé ; les routes de montagnes et les petits villages perchés, un peu moins.
Vous pouvez louer une voiture à boîte automatique ou manuelle.
Il faut 1 h à 1 h 30 en voiture pour atteindre le nord ou le sud de l’île depuis Fort-de-France.
Les limitations sont les mêmes qu’en métropole. 50 km/h en ville, 30 km/h dans les zones fréquentées, 80 km/h à 70 km/h sur les nationales et départementale, 110 km/h sur les 2×2 voies. Il y a 25 radars en Martinique, dont 5 radars tourelle récemment installés.
Il n’y a pas d’autoroute ni de péage en Martinique
Il y a une rue piétonne à Fort-de-France.
Les règles sont les mêmes qu’en métropole.
En Martinique, il y a encore des pompistes et toutes les stations ne sont pas équipées de machines automatiques ouvertes 24 h/24. Beaucoup de stations ferment vers 21 h. Il faut donc éviter de faire le plein le soir.
Office de tourisme officiel de la Martinique : www.martinique.org/fr.
Le décalage horaire en Martinique est de – 5 h en hiver et de – 6 h en été. Quand il est midi en Martinique, il est 17 h en hiver et 18 h en été en France métropolitaine.
La Martinique est alimentée en courant alternatif de 220/240 volts à 50 hertz. Les prises sont les mêmes qu’en métropole.
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Pour les ressortissants français, il faut être en possession d’un passeport ou d’une CNI (Carte nationale d’identité) en cours de validité. Le permis de conduire n’est pas valide pour prendre l’avion depuis la métropole.
Les enfants doivent être en possession d’une carte d’identité ou d’un passeport en cours de validité.
On trouve autant des auberges de jeunesse pour les routards en sac à dos que des petits B&B, des hôtels modestes, et des adresses de charme. Et surtout, on y trouve de très beaux établissements de luxe aux mêmes standards et exigences de service qu’en métropole – le charme exotique de la mer des Caraïbes en plus. Une taxe de séjour est à régler sur place, directement auprès de chaque hôtel, d’un montant de 0,90 € à 3 € par nuit selon la catégorie.
Le WiFi est très bon dans les hôtels, un peu moins présent dans les restaurants et cafés de l’île. Mais un mobile français fonctionne ici avec des datas Internet déduites du forfait EU/DOM compris avec votre abonnement, en 4G normalement, voire en 3G dans les zones reculées.
L’indicatif téléphonique en Martinique est +590 pour appeler de l’étranger et non le +33. Mais pour tout appel depuis un portable français ou un fixe (indicatif régional 05), on utilise la numérotation à 10 chiffres française habituelle sans préfixe international.
Plus de 90% des Martiniquais parlent créole, car c’est leur langue maternelle, mais près de 95% de la population maîtrise le français (soit environ 330 000 Martiniquais), langue officielle administrative apprise à l’école depuis le primaire. Le créole martiniquais, tout comme le créole guadeloupéen, est né d’un mélange entre le français et les langues d’Afrique de l’Ouest importées par les esclaves.
La haute saison touristique en Martinique correspond à la saison sèche, de décembre à avril. C’est une période onéreuse et les bouchons sont fréquents, mais le soleil y est éternel ! C’est aussi le temps des festivals, des grandes fêtes et de nombreuses manifestations culturelles. En saison des pluies, les ondées sont agréables et ne gênent en aucun cas les moments de farniente car elles sont légères et suivies d’un grand soleil.
L’inconvénient vient de la saison des ouragans au cœur de la saison humide, de juillet à novembre. Durant cette période, des tempêtes tropicales peuvent dégénérer. Le cœur de la saison des pluies peut aussi être synonyme d’inondation saisonnière : les routes sont alors impraticables. Ce n’est donc pas la bonne saison pour vous y rendre.
La mi-saison, de mai à fin juin, est calme, reposante, moins chère, et peu risquée. C’est une excellente période pour se rendre en Martinique sans vivre les inconvénients de la haute saison.
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Les heures de repas sont similaires à celles de la métropole et la formule est identique : entrée, plat, dessert.
Pour un repas obtenu auprès d’un stand de street food, vous payerez entre 5 et 10 €. Dans les petits lolos (gargotes), les plats locaux avec des poissons, fruits de mer ou viandes coûtent entre 15 et 20 € dans les restaurants classiques. Dans les adresses de Grand Case (la capitale gastronomique de l’île), les prix sont en général 30% plus chers qu’en France.
Le colombo : plat antillais typique, le colombo est un mélange d’épices traditionnelles aux notes de curry, curcuma, piment de Jamaïque, poivre, coriandre… qui sert de marinade à des viandes ou poissons.
Le poulet boucané : la viande de poulet est marinée puis séchée, avant d’être cuite par enfumage sur une grille à l’étouffé. La viande peut ainsi se conserver plusieurs mois. Il est servi avec du riz.
Le féroce d’avocat : servi en entrée, c’est un mélange de morue, d’avocat et de farine de manioc.
Le ti-nain morue : ce plat martiniquais typique nourrissait les esclaves coupeurs de canne à sucre dans les champs, un « plat du pauvre » constitué de bananes plantains « ti nains » cuites, de la morue et des feuilles de bois d’Inde.
Les lasagnes au lambi : ce sont des lasagnes assez déconcertantes, aux grands escargots de mer ! Ils peuvent aussi se déguster en fricassés ou en gratin.
Les acras de morue : ces beignets frits de morue sont très populaires en Martinique, relevés avec du piment frais.
Le boudin créole : c’est un boudin noir, très épicé, mangé grillé ou poêlé, aux accents de thym, cive (entre la ciboulette et l’oignon), bois d’Inde et clou de girofle.
Le migan de fruit à pain : fréquent sur les tables familiales mais peu sur les cartes de restaurant, le migan est un mélange de fruit à pain (un féculent proche de la pomme de terre), de giraumon (une courge locale) et de queues de cochon mijotées.
Le blaff de poisson : c’est une sorte de court-bouillon de thon, de thazard ou de vivaneau.
La langouste grillée est une grande spécialité de l’île à ne pas manquer, accompagnée d’une sauce créole persil-citron.
Le gâteau à l’ananas : il se mange à toute heure de la journée, on le retrouve dans les pâtisseries et boulangerie locales, mais aussi sur les marchés et en bord de plage. Le flan coco Antillais est un dessert phare des Antilles.
Le prix comprend le petit déjeuner, la demi-pension, la pension complète ou la formule tout compris selon le séjour choisi. En croisière, les voyages sont prévus en pension complète.
La qualité de l’eau et l’hygiène des aliments étant correctes en Martinique, on peut tout à fait boire l’eau du robinet comme partout en France.
Attention aux oursins et coraux quand vous marchez dans l’eau : si la mer est riche en fonds marins à explorer en plongée ou snorkeling, elle peut couper ! Des chaussures d’eau sont recommandées. Si vous vous entaillez le pied avec un corail, rendez-vous en pharmacie pour acheter une crème antibactérienne spécifique, car le corail est vivant et peut créer des infections – ce n’est pas une plaie ordinaire.
Si vous marchez sur un oursin, rendez-vous le plus vite possible chez un docteur ou dans un hôpital pour vous faire retirer les piquants.
Veillez à ne pas vous baigner dans des eaux douces stagnantes, des risques de parasitose existent. Ne marchez pas pieds nus dans la boue, pour les mêmes raisons.
Ne vous allongez pas dans le sable sans un tapis de plage, il y a un risque de larves migrantes cutanées.
La chaleur nécessite une bonne hydratation, une crème solaire de protection écran total et un chapeau ou une casquette. Dans les Antilles, le soleil tape très fort, donc gare aux insolations et aux coups de soleil.
En Martinique, la malaria a été éradiquée dans les années 1950. En revanche, le climat tropical maritime de l’île favorise la prolifération des moustiques tigres qui piquent en journée jusqu’en début de soirée et qui peuvent transmettre notamment la dengue. Il est donc important de se protéger efficacement des piqûres. À la plage et sur les bords de mer, les moustiques sont rares, car ils n’aiment pas le vent. Dès que vous vous enfoncez dans un endroit protégé du vent, en forêt ou dans les habitations où la chaleur s’agrège, ils peuvent être nombreux, particulièrement en saison des pluies. En 2023 et début 2024, une grosse épidémie de dengue a frappé la Martinique. Près de 70% des cas de dengue importée en métropole viennent de Guadeloupe et Martinique. Les virus chikungunya et Zika, véhiculés comme la dengue par le moustique tigre, sont moins présents. Les répulsifs sont plus que fortement recommandés pour se protéger. Notez que l’utilisation combinée d’un anti-moustique et d’une crème solaire réduit l’efficacité de cette dernière. Veillez donc à les appliquer à des moments différents de la journée.
Les morsures de serpents et araignées sont très rares. Certaines plantes exotiques telles que le mancenillier sont en revanche très toxiques en Martinique. Cet arbre fait partie de la famille des euphorbiacées et il est considéré comme le plus dangereux au monde ! Il est marqué au niveau du tronc d’un trait, d’une croix rouge ou d’un panneau de signalisation pour prévenir du danger et de sa toxicité. Il est hautement toxique, du tronc aux feuilles en passant par les fruits. Il provoque vomissements, diarrhée, maux de tête, en cas de faible contact, une éruption cutanée et en cas d’ingestion, peut même provoquer un œdème de Quincke. Même en vous abritant sous cet arbre pendant la pluie, vous pourrez avoir une importante éruption cutanée. Gare aux enfants jouant à proximité, les « pommes » de ce fruit ont l’air inoffensives mais sont toutes aussi toxiques : il ne faut surtout pas les toucher, encore moins les porter à la bouche.
Il existe un réseau de 63 lignes de bus interurbains qui desservent différentes régions de l’île principale depuis Fort-de-France, dont les tickets sont à 1,45 € l’unité.
Les deux croisières Kuoni passant par la Martinique prévoient une halte à Fort-de-France respectivement en voilier et en yacht.