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Chichen Itza,Yucatán, Mexique, Amérique Latine

mexique
Infos pratiques avant de partir

Argent

Visuel non contractuel

La monnaie locale au Mexique est le peso, noté MXN ou plus communément $. On trouvera actuellement en circulation des pièces de 10, 20, 50 centimes (centavos), de 1, 2, 5, 10 et 20 pesos, ainsi que des billets de 20, 50, 100, 200, 500 et 1 000 pesos. Attention, les plus grosses coupures ne sont pas toujours acceptées, les établissements n’étant pas tous en mesure de rendre la monnaie. Il faut également être prudent face à l’augmentation de faux billets en circulation dans le pays, notamment les billets de 50 $. Si la texture ou la transparence du billet vous semblent suspectes, ne l’acceptez pas et demander à le changer.
Les dollars américains sont acceptés dans les régions les plus visitées du pays, dans les établissements et opérateurs habituellement fréquentés par les touristes.

Les principales cartes de crédit (Visa, Eurocard, Mastercard) sont acceptées. Pour payer par carte au restaurant, à l’hôtel ou dans les commerces, assurez-vous au préalable que c’est bien possible, le paiement en espèces restant la norme.
Pour retirer de l’argent liquide avec sa carte bancaire, on privilégiera les distributeurs automatiques (cajeros) situés à l’intérieur des établissements bancaires, qui ne risquent pas d’avoir été « trafiqués ». Attention, il est préférable de ne pas multiplier les petits retraits, car des frais s’appliquent pour chacun d’entre eux. Il y a d’abord une commission prélevée par votre banque – vérifiez les taux appliqués auprès d’elle. Certaines banques en ligne proposent des cartes bancaires sans frais à l’étranger.  Il y a également une commission prélevée par la banque mexicaine, qui équivaut en général à un montant d’entre 2 et 4 € par retrait, peu importe son montant.
Le plafond de retrait varie selon la banque entre 5 000 et 8 000 $ par jour. Pensez également à prévenir votre banque en France, pour qu’elle augmente vos plafonds de retrait, en cas d’imprévu pendant le voyage.
Nous vous conseillons également, dans la mesure du possible, de laisser votre carte de crédit en sécurité dans le coffre-fort de votre hôtel ou à la réception dans une enveloppe scellée, et d’emporter avec vous uniquement des espèces.

En février 2025, le taux de change était le suivant : 1 € = 21 $ et 10 $ = 0,45 €.
Les chèques de voyage doivent être changés dans des bureaux de change ; ils ne sont pas acceptés dans les magasins. Outre la commission de 1 ou 2 % et un taux de change parfois moins intéressant que des retraits aux distributeurs, il n’est pas toujours facile de trouver un bureau de change dans les endroits plus reculés du pays.
Les bureaux de change (casas de cambio) se trouvent principalement dans les grandes villes et région touristiques du Mexique. Le taux de change appliqué y est sensiblement le même que dans les banques. Celles-ci sont ouvertes généralement de 9 h à 16 h du lundi au vendredi, plus rarement le samedi matin.
De nombreux établissements, ainsi que certains particuliers acceptent le paiement en euros, cependant il est recommandé de faire du change dans la monnaie locale. Nous vous conseillons d’attendre les conseils du guide local pour le change.

Le coût de la vie est environ deux fois moins élevé au Mexique qu’en France. Les inégalités sociales sautent aux yeux et une large majorité de la population vit dans des conditions précaires – le salaire minimum étant à environ 10 € par jour.
Par conséquent, le Mexique est une destination relativement bon marché pour les visiteurs européens. Les petits budgets pourront se loger dans des auberges de jeunesse pour 10 à 15 € la nuit en dortoir, ou dans des hôtels de première catégorie tout à fait corrects pour 30 à 40 € la chambre double. Pour des hébergements plus confortables, compter 40 à 60 € ; 80 € lorsqu’on penche vers le boutique-hôtel, et à partir de 150 € (et bien plus !) pour un luxueuse chambre dans une hacienda historique.
Pour les repas, comptez environ 5 € pour un déjeuner dans une fonda typique, avec sa cuisine traditionnelle bon marché, et à partir de 12 € pour un restaurant avec une cuisine plus élaborée.
Comme souvent, les prix auront tendance à grimper un peu à Mexico D.F. et dans les régions les plus touristiques.
Les transports, notamment la location de voiture et le carburant, seront le poste de dépense pour lequel on verra le moins de différence avec ce qui a cours en Europe.

Mis à part sur les marchés artisanaux, le marchandage n’est pas une pratique très usitée au Mexique. Cependant, si vous craquez pour un confortable hamac à Playa del Carmen ou pour un alebrije coloré à Oaxaca, vous pourrez tout à fait essayer d’en négocier le prix, avec plus ou moins de succès en fonction de votre maîtrise de l’espagnol, de votre paiement en pesos ou non et, bien sûr, de votre capacité de persuasion. Attention de toujours proposer un prix correct lorsqu’il s’agit d’un objet artisanal qui fait preuve d’un réel travail et savoir-faire.

Les Français, habitués au service tout inclus, sont précédés d’une réputation de pingres lorsqu’ils voyagent à l’étranger. Pour faire mentir ce cliché tenace, il faut bien avoir en tête qu’il est d’usage au Mexique de laisser un minimum de 10 % à 15 % (ou plus si l’on est particulièrement satisfait) de la note en guise de pourboire dans les restaurants et les cafés. Ce pourboire est un revenu non négligeable pour les serveurs qui n’ont généralement pas de salaire fixe. Si vous payez par carte bancaire, pensez bien à remplir la case « propina » (ou « tips »). Attention, certains établissements touristiques ont pris l’habitude de remplir d’office la case pourboire. Vérifiez bien la note pour être sûr de ne pas laisser plus que ce que vous aviez prévu.

Une taxe de séjour sera facturée à l’arrivée et doit être réglée à la réception de l’hôtel. Le montant de cette taxe est de 28,87 pesos, soit environ 1,5 USD par chambre et par nuit.
L’IVA, équivalent de notre TVA, s’élève à 16 %. Pour vos achats effectués sur le sol mexicain, cette taxe pourra être remboursée jusqu’à 65 %. Pour en savoir plus sur les conditions de remboursement, rendez-vous sur le site https://www.taxfree.com.mx/.

Assurances

Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €). 
Elle couvre les risques suivants :

  • Garantie Pandémie (dont Covid-19)
  • Frais médicaux à l’étranger
  • Assistance rapatriement
  • Garantie annulation
  • Garantie retard de transport
  • Garantie bagages et matériel de sport
  • Garantie interruption de séjour

Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.

À savoir

Le Mexique est précédé d’une réputation sulfureuse pour ce qui a trait à la sécurité. Narcotrafic, kidnappings, féminicides émaillent trop souvent les actualités nationales. Si les recommandations du Ministère des Affaires étrangères (https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/) sont parfois un peu alarmistes pour certains pays, on les lira avec plus d’attention dans le cadre d’un voyage au Mexique, et certaines régions sont même vraiment à déconseiller. Le littoral du Golfe du Mexique, certains États de la côte Pacifique (Colima, Jalisco, Michoacan, Guerrero) ou du Nord (Sinaloa, Chihuahua ou la région de Tijuana) sont les régions les moins sûres du pays, avec certaines zones de non-droit contrôlées par les cartels.
Les touristes sont rarement visés par le crime organisé. Ils pourront néanmoins être victimes, ici comme ailleurs, de pickpockets et autres arnaqueurs fréquentant les spots les plus touristiques du pays. Les règles de bon sens sont de rigueur : ne pas se balader seul en pleine nuit dans des quartiers mal fréquentés, ne pas exhiber bijoux et montres de grande valeur, ne pas laisser son smartphone sur un coin de table, etc. En cas d’agression, n’opposer aucune résistance ; les armes à feu sont plus courantes et plus utilisées qu’en Europe.
Il est recommandé de laisser ses papiers (passeport, réservations, etc.) dans le coffre-fort de son hôtel et de n’emporter que les copies scannées avec soi. De même pour la carte de crédit, il est préférable qu’elle reste en sécurité à l’hôtel. La plupart des transactions au Mexique se font en espèces et l’une des agressions possibles vis-à-vis des touristes étrangers consiste en un kidnapping express pour faire la tournée des distributeurs d’argent. Si vous n’avez pas votre carte bancaire sur vous, cette petite virée n’aura aucun intérêt pour l’agresseur.
Attention également à ne pas vous retrouver impliqué dans l’achat, la consommation ou le trafic de drogue. Au Mexique, c’est un sujet plus sensible qu’ailleurs et les peines encourues sont très sévères.
En cas d’urgence, contactez le 911.

Si le Mexique est une destination hautement culturelle, offrant une variété incroyable de sites archéologiques, de villes coloniales et autres institutions muséales de premier plan, les richesses naturelles du pays sont source d’un véritable tourisme d’aventure. Plongée dans les cenotes ou dans les eaux translucides de la Riviera maya, sports nautiques, ascension de volcans, randonnée… il faudra une bonne condition physique pour épuiser toutes les possibilités offertes !
Pour le reste, mis à part les personnes particulièrement sensibles au mal des montagnes (plus de 40 % du territoire se situe à plus de 2 000 m d’altitude), qui devront prendre le temps de s’acclimater, aucune condition physique particulière n’est requise.

Dans un pays a grande majorité catholique et pratiquante, on veillera, par respect, à éviter de porter des shorts et autres tenues légères lors de la visite de lieux de culte. Il est également conseillé aux femmes de se couvrir les épaules d’un foulard.
Si vous avez quelques notions d’espagnoles, cela permettra de simplifier vos rapports avec les interlocuteurs locaux et d’évider certaines potentielles arnaques.
Veillez au respect des communautés autochtones, communautés qui souffrent encore aujourd’hui de nombreuses discriminations sociales.
Ne sous-estimez pas la force des piments ! Il en pousse une soixantaine de variétés au Mexique, et si certains sont tout à fait doux, d’autres peuvent réveiller les morts !
Ne consommez pas de drogue, non seulement pour ne pas risquer d’être mêlé à des histoires de trafic, qui pourraient être sanctionnées sévèrement, mais également pour ne pas encourager une industrie criminelle qui gangrène le pays en profondeur.
Ne donnez moins de 10 % de pourboire. Le pourboire est un élément important du revenu des serveurs. Un pourboire de 15 % est la norme et un service de qualité sera récompensé de 20 % de la note.

L’usage des appareils photos et caméras est généralement mal toléré par les minorités ethniques, et parfois totalement interdit sur les sites religieux. C’est par exemple le cas dans le petit village de San Juan Chamula, au Chiapas, peuplé à majorité d’Amérindiens et centre religieux notable où les chamans se livrent à des rites syncrétiques. L’endroit tire bien quelques dividendes de l’afflux touristique, mais les habitants sont farouchement opposés à devenir la cible des photographes, si bien qu’il est interdit d’y prendre des photos. La règle est clairement affichée.
Ailleurs, en cas de doute, il sera toujours préférable de demander leur avis aux personnes que l’on souhaite photographier.
Il est parfois nécessaire de payer une taxe de 30 pesos pour filmer sur les sites ; les photographies quant à elles ne sont pas payantes.

Attention à bien respecter les règles de visite sur certains sites archéologiques protégés. Depuis 2008, pour limiter l’érosion de certains d’entre eux, il est interdit de les grimper.
Pour la pyramide de Kukulcán, on ne manquera pas de venir l’admirer lors des équinoxes. Ces jours-là, le soleil s’aligne de telle sorte que la paroi de l’escalier nord projette une ombre qui ondule au fil des heures, comme si le serpent à plumes (Kukulcán pour les Mayas) s’enfonçait ou ressortait des entrailles de la terre.
Dans la région du Yucatán, la spécificité touristique locale est la plongée dans les cenotes. Ces puits naturels incroyables sont souvent aménagés pour recevoir les touristes, et les excursions à la journée ou la demi-journée dans ces piscines naturelles sont l’un des attraits de la région.

Bagages

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Le pays est immense et la diversité de ses climats est à l’image de la variété de ses paysages. Vous ne mettrez pas dans votre valise la même garde-robe selon que vous partiez en excursion sur les hauts plateaux du Chiapas ou que vous alliez « farnienter » sur les plages de Basse-Californie.
Une constante tout de même : le climat du Mexique offre une température plutôt clémente toute l’année et on pourra laisser sa doudoune en France. On privilégiera les vêtements légers, en coton, si possible à manches longues pour se protéger des moustiques. Le maillot de bain est bien évidemment indispensable pour tout séjour au Mexique.
On n’oubliera pas néanmoins de prendre une petite laine pour les soirées plus fraîches, dans les régions situées en altitude… et aussi pour les trajets en bus ! Comme dans toute l’Amérique latine, les chauffeurs de bus ont la fâcheuse tendance de bien insister sur la climatisation de leur véhicule.
Pour ceux qui partent pour un long voyage, il est bon de savoir que les services de laverie sont courants dans les établissements hôteliers et offrent un service rapide.

Pour plonger dans les cenotes ou sur les récifs de la barrière de corail caribéenne, n’hésitez pas à emporter avec vous masque et tuba. Cela vous évitera d’avoir à en louer à chaque fois. Nous vous conseillons d’emporter une lampe torche électrique pour la visite de certains sites. Toutes les régions du pays proposent leur lot de randonnées en pleine nature. Il est donc utile d’emporter de bonnes chaussures de marche pour pouvoir en profiter.

Pas de risque particulier à signaler au Mexique à part la diarrhée du voyageur (turista). On emportera donc avec soi une gourde filtrante et des pastilles pour purifier l’eau et la rendre potable de type Micropur.  Destination balnéaire oblige, on n’oubliera pas d’emporter de la crème solaire, voire de la biafine. Pour le reste, en plus d’un spray et d’une lotion anti-moustique, on pourra se munir d’un kit de premiers soins ou une trousse à pharmacie type contenant notamment du désinfectant, des pansements et compresses stériles, une bande, des ciseaux et des épingles ou du ruban adhésif, une pince à épiler pour les échardes, un thermomètre, du doliprane et/ou de l’aspirine.
Si vous suivez un traitement particulier, n’oubliez pas d’emporter avec vous une copie de vos ordonnances et la notice de vos médicaments. Celle-ci contient la formule chimique qui pourra permettre au pharmacien local de vous proposer un médicament similaire.

Climat

De mai à septembre, les températures sont très élevées et l’atmosphère humide dans le sud. Le climat est plus tempéré à l’intérieur des terres et la majorité du pays connaît des températures comprises entre 10 °C et 27 °C tout au long de l’année. On distingue deux saisons marquées : la saison sèche, de novembre à mai, et la saison des pluies, de juin à septembre. Si les températures baissent sensiblement pendant l’hiver, il ne fait véritablement froid que dans les régions les plus en altitude.
Cette alternance entre saison sèche et saison des pluies est la plus palpable dans la partie tropicale du pays, à savoir la péninsule du Yucatan et tout le sud du Mexique jusqu’au Pacifique. Le climat y est chaud et humide et les côtes sont régulièrement le théâtre de tempêtes tropicales et d’ouragans.
Le Nord du Mexique est une région semi-aride traversée par deux immensités désertiques : le désert de Sonora, couvrant le nord-ouest du Mexique et la péninsule de Basse-Californie, et celui de Chihuahua, qui s’étend sur plus de 630 000 km2. Le climat y est chaud et sec toute l’année, mis à part l’été, le long de la Sierra Madre occidentale et sur la péninsule de Basse-Californie, régions qui connaissent alors des pluies soutenues.
Le centre du pays est montagneux (plus de 40 % du territoire mexicain se situe à plus de 2 000 m d’altitude) et les températures fraîchissent en fonction de l’altitude. Il s’agit véritablement du poumon agricole du pays. Sur son plateau à 2 400 m d’altitude, Mexico D.F. jouit d’un climat clément toute l’année.

Conduire

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Le conducteur doit être âgé de 21 ans minimum. Il doit être titulaire d’un permis de conduire depuis au moins 1 an. Le permis de conduire international n’est pas obligatoire.
La conduite se fait à droite et la signalisation est indiquée en espagnol. Le code de la route est sensiblement le même qu’en France, mais son application par les conducteurs mexicains peut être variable : non-respect des feux rouges, des panneaux Stop, oublis de clignotants… Les automobilistes mexicains ne sont pas réputés pour leur « bonne conduite », et les accidents de la route sont malheureusement la principale cause de mortalité des visiteurs Français au Mexique.
Le taux d’alcoolémie maximal autorisé est de 0,8 g d’alcool par litre de sang.
On déconseille la conduite de nuit au Mexique pour éviter de croiser des véhicules aux phares défectueux ou éteints, des animaux au bord des routes (chiens errants), des conduites dangereuses et des braquages aux feux rouges.
En cas de problème sur la route (accident ou panne), il faut contacter Los Angeles Verdes, des dépanneurs qui dépendent du ministère du tourisme. On peut les appeler à tout moment au numéro gratuit 078.
De nombreux contrôles routiers émailleront votre parcours. La corruption étant présente au sein de la police, il pourra vous arriver d’avoir affaire à un agent désireux de vous soutirer quelques billets. Restez calme et souriant, prétextez que c’est la première fois que vous conduisez au Mexique et s’il insiste et que vous êtes sûr d’être dans votre bon droit, proposez d’aller payer l’amende au commissariat pour avoir un récépissé. Demandez-lui également son nom et son numéro d’identification. Montrez votre détermination, sans toutefois perdre votre calme. 

Les routes sont en très bon état et bien entretenues. C’est particulièrement le cas dans les régions les plus touristiques du pays, comme les États de la péninsule du Yucatan, et pour les axes routiers principaux. Des nids-de-poule sont néanmoins à signaler sur les axes secondaires.

La grande majorité des véhicules qui circulent au Mexique viennent de son voisin américain. La plupart sont donc équipés d’une boîte de vitesse automatique.
Attention, la plupart du temps, les feux tricolores sont de l’autre côté du carrefour, en hauteur ; pensez donc à ralentir en amont !
On s’étonnera parfois aussi que le conducteur devant nous actionne son clignotant gauche mais ne tourne pas. Il nous signifie en fait que la voie est libre pour le dépasser en toute sécurité.

Attention à ne pas être trop gourmand : le pays est très vaste, faisant près de quatre fois la taille de la France, et il faudra bien planifier son voyage en amont pour ne pas perdre un temps fou sur les routes. Si vous voulez combiner certaines régions éloignées, l’avion sera alors le moyen à privilégier, d’autant que le carburant est cher et que des compagnies aériennes low-cost comme Volaris ou Viva Aerobus desservent de nombreuses villes à travers le pays.

La limitation de vitesse est de 110 km/h sur autoroute, 80 km/h sur route et 40 km/h en agglomération. Des dos d’âne assez raides (les fameux topes) permettent notamment de les faire respecter.

Les autoroutes à péage (cuotas) sont sensiblement mieux entretenues que les autoroutes gratuites (libres). Pour des raisons de sécurité, nous conseillons donc de les emprunter, même si leur prix est généralement plus élevé qu’en France.

La ville de Mexico D.F. a pris des mesures de restrictions de circulation dans ses rues longtemps avant que les enjeux climatiques ne deviennent un élément primordial de toute politique publique des transports. Il y a, depuis 1988, le dispositif « Hoy no circula » pour lutter contre la pollution qui recouvre la ville (que l’on pourrait traduire par « aujourd’hui ma voiture reste au garage »). En fonction de la couleur de sa vignette et du dernier chiffre de sa plaque d’immatriculation, chaque automobiliste est obligé de laisser sa voiture au garage l’un des 5 jours ouvrés de la semaine, et, depuis 2008, parfois aussi le samedi.

Les parkings (Estacionamientos, indiqués par un E) sont nombreux et leur prix n’est pas exorbitant. Mieux vaut s’y garer plutôt que de laisser sa voiture dans la rue.

Au Mexique, il n’existe que deux types d’essence, le Magna et le Premium, qui n’ont pas le même indice d’octane. L’agence de location de voiture vous indiquera quel carburant utiliser.

Contacts utiles

Le site internet de la Secretaría de Turismo Federal (https://visitmexico.com) sera d’une grande aide pour préparer son périple à travers les différentes régions du pays. Chacune d’entre elles dispose également de son propre office de tourisme, ce qui permettra des recherches encore plus précises. On citera par exemple le site https://visitayucatan.com/ pour découvrir toutes les richesses de la péninsule.
L’ambassade de France se trouve à Mexico D.F. (339 Campos Eliseos, Col. Polanco – https://mx.ambafrance.org/). Les 17 consulats de France répartis à travers le territoire sont listés sur le site de l’ambassade.

Décalage horaire

Le décalage horaire au Mexique est de :
– 7 h dans la majorité des États. Quand il est midi en France, il est 5 h du matin au Mexique
– 8 h dans certains États de l’ouest (sud de la Basse-Californie, Sonora, Nayarit et Sinaloa)
– 9 h dans le nord de l’État de la Basse-Californie
– 6 h dans l’état de la Quintana Roo (Riviera Maya)

Électricité

Le courant au Mexique est de 127 volts avec des prises à fiches plates. Prévoyez un adaptateur.

Formalités

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Les formalités d’entrée et conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et susceptibles de modifications.

Un formulaire appelé FMM doit être rempli : il comporte l’indication de la durée du séjour. Ce document doit être conservé et remis au service d’immigration à la sortie du territoire ou à la compagnie aérienne. En cas de perte, vous devrez vous acquitter d’une amende de 295 pesos (environ 14 euros) lors de votre sortie du territoire.

L’État du Quintana Roo, situé dans le sud du Mexique et dans la péninsule du Yucatán (incluant notamment Cancún et la Riviera Maya), a mis en place une taxe d’environ 271 pesos mexicain (soit environ 13 euros) pour tous les visiteurs y compris les enfants, à régler avant votre départ du Mexique.
Vous pouvez effectuer ce paiement en ligne, à tout moment, sur le site suivant : https://www.visitax.gob.mx/sitio/
Attention, en cas d’annulation de votre voyage cette taxe ne sera pas remboursable.
Vous devrez renseigner : le nombre de passagers, nom, âge et numéro de passeport de chacun et la date de votre retour.
Après avoir effectué votre règlement, un QR code vous sera envoyé et sera à présenter au moment de votre départ.
Nous vous conseillons d’effectuer cette démarche en amont, toutefois en cas de problème, des personnes à l’aéroport pourront vous aider.

Un visa n’est pas nécessaire pour un séjour de moins de 180 jours. Un passeport en cours de validité est obligatoire. Ce dernier doit avoir 2 pages vierges successives.
Attention : les voyageurs qui transitent par un aéroport américain pour se rendre au Mexique doivent se tenir informés de la législation concernant les conditions d’entrée aux États-Unis. Se reporter aux formalités des États-Unis.
A compter du 1er octobre 2022, les voyageurs français traversant la frontière dans le sens Mexique – USA devront être en possession d’un Esta en cours de validité.

Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous vous êtes inscrits. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.

Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge.
L’autorisation de sortie de territoire (AST) est obligatoire pour les mineurs français ou étrangers résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site https://www.service-public.gouv.fr/
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom que le sien, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.

Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client.
DT Polio à jour et vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B, le tétanos et la typhoïde recommandés pour tous les pays. Traitement antipaludique recommandé (Chiapas et Oaxaca).

Hébergement

En dehors des grandes villes et des stations balnéaires, l’offre hôtelière est plus limitée, avec des hôtels de petite capacité aux normes standards. Si la classification s’échelonne de 1 à 5 étoiles, il ne faudra néanmoins pas s’attendre au même niveau français de prestations à notation équivalente. Les niveaux de contrôle ne sont pas les mêmes.

Une taxe de séjour sera facturée à l’arrivée et doit être réglée à la réception de l’hôtel. Le montant de cette taxe est de 28,87 pesos, soit environ 1,4 USD/1,3 euros par chambre et par nuit.
Depuis le 1er avril 2021, une taxe de 271 pesos (13 euros) doit être acquittée par les visiteurs internationaux visitant l’État éminemment touristique du Quintana Roo. Cette VisiTax doit être payée avant de quitter le territoire sur le site internet https://www.visitax.gob.mx/sitio/

Amérique du Nord oblige, on retrouve de nombreux motels aux abords des villes. Ouvrez l’œil pour ne pas les confondre avec des albergues transitorios, qui se réservent par tranche horaire et dont l’accès se fait en toute discrétion pour abriter les échanges plus ou moins clandestins.
Dans un tout autre registre, les luxueuses haciendas seront l’occasion pour les plus chanceux de profiter d’un véritable décor historique. Ces anciennes exploitations agricoles édifiées durant la colonisation espagnole ont pour certaines été reconverties en hôtels de luxe, exhibant patios fleuris, murs colorés et mobilier d’époque.

Internet & téléphone

Les grandes villes et les régions touristiques proposent une connexion numérique tout à fait convenable. La plupart des établissements hôteliers et de plus en plus de restaurants ou cafés proposent le Wi-Fi gratuit. Pilotée par l’entreprise Telcel, propriété du milliardaire Carlos Slim, l’expansion du réseau 5G est en passe de devenir le plus important d’Amérique latine.

L’indicatif téléphonique international du Mexique est le +52 (taper 00 52). Suivra dans la numérotation l’indicatif régional (deux ou trois chiffres) puis le numéro du correspondant. Sur place, pour appeler d’un État à l’autre, on remplacera l’indicatif international par 01 (ou 045 si on appelle un portable).
Si la plupart des établissements proposent un numéro gratuit (qui commence par 01 800), l’utilisation de WhatsApp est très largement généralisée, notamment pour contacter les hôtels.
Pour éviter de payer des frais d’itinérance trop élevés (ils tournent autour de 10 à 15 €/Mo), le mieux est d’acheter sur place une carte SIM (ou eSIM, comme Holafly) prépayée avec des données et des appels illimités, que l’on pourra recharger si besoin. Rendez-vous dans les boutiques Movistar, Telcel ou AT&T, ou bien dans les supérettes Oxxo pour vous procurer ces chip. Ces cartes sont plutôt bon marché et plusieurs offres de forfaits sont possibles.

Langues

S’il n’y a pas de langue officielle au Mexique, l’espagnol est parlé par 99 % de la population. On recense également 68 langues indigènes, parmi lesquelles le náhuatl (Centre), le maya (Chiapas et Yucatán), le mixtèque et le zapotèque (Oaxaca) ou encore le tzeltal (Chiapas).
L’espagnol mexicain possède de nombreuses particularités régionales, notamment en ce qui concerne la prononciation, l’utilisation d’anglicismes et d’expressions typiques.

Quand partir ?

Le Mexique se visite toute l’année. En hiver, les températures baissent rarement en dessous des 10 °C, sauf dans les déserts du Nord ou les villes d’altitude. On distingue deux saisons marquées : la saison sèche, de novembre à mai, et la saison des pluies, de juin à septembre. Les pluies peuvent être parfois violentes mais ne durent le plus souvent qu’une heure ou deux. Attention aux ouragans et autres tempêtes tropicales si vous êtes sur la côte Pacifique ou Caribéenne entre juin et novembre.
La haute saison touristique a lieu, contrairement à la France, entre décembre et mars/avril, avec comme point d’orgue la Semana santa qui précède Pâques. Pensez à réserver si vous êtes dans une région touristique à cette période. Le spring break, soit les vacances de printemps des lycéens et étudiants américains, est à éviter à tout prix si vous cherchez le calme ! Les plages du Mexique, celles de Cancún en premier chef, sont prises d’assaut par des vagues de fêtards. Les vacances d’été européennes et nord-américaines constituent la saison intermédiaire, tandis que la période creuse s’étale d’avril à juin, période de fortes chaleurs au cours de laquelle certains établissements touristiques profitent de faire relâche.
Parmi les festivités incontournables d’un séjour au Mexique, le Día de los Muertos du 2 novembre permet aux familles d’honorer la mémoire de leurs disparus d’une manière haute en couleurs et joyeuse. Les cimetières s’animent, s’illuminent et s’ornent de squelettes en papier mâché, de fleurs de cempasuchil, de calaveritas en sucre, de copal. Ces festivités sont particulièrement à voir à Pátzcuaro, dans le Michoacán.
Ceux qui se trouvent à Mexico D.F. un 15 septembre ne manqueront pas de se rendre sur la place du Zócalo pour entendre sonner les cloches et voir le feu d’artifice qui commémorent le début de la guerre d’indépendance du Mexique.

Restauration & repas

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De nombreux marchés et échoppes de rue animent les artères des villes mexicaines et il n’y a pas d’heure pour déguster quelques tacos bien chauds sur le pouce. Mais en règle générale, on peut compter sur 3 repas par jour et des horaires plus tardifs qu’en France. Le desayuno (petit déjeuner) se prend entre 7 h et 10 h, la comida (déjeuner), plutôt copieux, rarement avant 14 h et parfois jusqu’à 17 h, et enfin la cena (dîner), repas plus léger, autour de 21 h (les affamés pourront se rassasier dès 19 h).

On pourra profiter des délices de la cuisine mexicaine sans se ruiner. Comptez environ 5 € pour un déjeuner dans une fonda typique et sa cuisine traditionnelle bon marché, la moitié pour manger des antojitos (en-cas) sur le pouce dans une échoppe de rue, et à partir de 12 € pour un repas dans un restaurant à la cuisine plus élaborée. On pourra s’autoriser également quelque bon dîner dans des restaurants plus haut de gamme, dans lequel les plats de cuisine gastro sont affichés à partir de 15 €.
N’oubliez pas d’ajouter aux prix affichés le pourboire que vous laisserez au serveur, pourboire de 10 % minimum, et 15 % conseillé. Si vous réglez par carte, pensez bien à remplir la case « propina » (ou « tips ») sur la note. Assurez-vous aussi que le service n’est pas déjà inclus (pratique qui se développe dans les régions les plus touristiques).

La gastronomie mexicaine a été reconnue patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO en 2010, c’est dire si elle est riche et dépaysante et si le sujet est vaste !
On s’en tiendra ici à la base de la cuisine mexicaine, avec au premier rang la célèbre tortilla, une galette de maïs que l’on va garnir de viande, de légumes, de coriandre, de fromage parfois, pour élaborer tacos, burritos, fajitas, quesadillas et autres enchiladas. On retrouve le maïs (il en existe près de 70 variétés au Mexique !) dans la confection des tamales, une purée de maïs cuite à l’étouffée dans des feuilles de maïs. Les haricots noirs sont aussi un ingrédient ou accompagnement (frijol refrito) de base de la cuisine mexicaine, tout comme l’avocat, divin quand il est préparé en guacamole.
Parmi les sauces d’accompagnement les plus populaires, on peut citer le mole poblano, une sauce épicée à base de piments séchés et de cacao qui accompagne à merveille le poulet, ou encore le pico de gallo à base de tomates coupées en dés, d’oignon, de citron et de piments jalapeños.
En règle générale, faites attention aux piments (chiles) ! Il en existe plus d’une soixantaine au Mexique et certains sont très piquants. Si vous n’aimez pas la cuisine épicée, précisez « no picante » au moment de commander votre plat.
Au rayon des desserts, on citera les beignets sopapillas, ou le typique gâteau tres leches et sa génoise imbibée de lait concentré sucré.
Pour arroser tout ça, on préfèrera un délicieux licuado (jus de fruits préparé avec du lait), à l’agua de fruta, excellente elle-aussi mais à base d’eau et de glace, qui pourrait causer une turista.
On pourra terminer son repas par un petit verre de tequila, l’alcool mexicain par excellence, fruit de la distillation de l’agave bleue ou par un trait de mezcal, une autre eau-de-vie d’agave.

Santé

Pas de risque sanitaire majeur à signaler au Mexique à part la diarrhée du voyageur (turista). On achètera dans la mesure du possible de l’eau en bouteille (vérifier au restaurant qu’on vous apporte une bouteille bien scellée), on demandera ses boissons « sin hielo » (sans glaçons) et on épluchera les fruits et légumes. On pourra aussi emporter avec soi une gourde filtrante et des pastilles de type Micropur pour purifier l’eau et la rendre potable.
Pour le reste, une lotion anti-moustique et des vêtements amples permettront d’éviter au maximum les piqûres de moustiques, vecteurs d’infections (dengue, zika, paludisme) notamment dans les zones tropicales du pays.
Si vous suivez un traitement particulier, n’oubliez pas d’emporter avec vous une copie de vos ordonnances et la notice de vos médicaments. Celle-ci contient la formule chimique qui pourra permettre au pharmacien local de vous proposer un médicament similaire.
Pour ce qui est des vaccins, celui contre la fièvre jaune n’est pas obligatoire. Il est conseillé d’avoir son calendrier vaccinal à jour et l’institut Pasteur préconise la vaccination contre l’hépatite B, la rage et la typhoïde pour les voyageurs qui s’aventureraient dans des zones plus reculées.
Le gouvernement du Mexique n’impose aucune restriction liée à la pandémie de Covid-19 pour l’entrée sur son territoire.

Transports

Les portes d’entrées principales d’un voyage au Mexique depuis l’Europe sont les aéroports de Mexico (https://www.aicm.com.mx/) et de Cancún (https://www.cancunairport.com/). Étant donné la taille du pays, il sera parfois plus judicieux de privilégier un vol intérieur pour rallier une région éloignée plutôt que le bus ou la voiture. Le pays est plutôt bien desservi et des compagnies low-cost ont fait leur apparition, comme Volaris (https://www.volaris.com/) ou Viva Aerobus (https://www.vivaaerobus.com/es-mx/).
Pour des distances envisageables par la route, il faut savoir que le réseau de bus interurbains est très bien développé au Mexique, très utilisé et qu’il dessert la plupart des villes du pays. On recommandera particulièrement les compagnies ETN, Primera Plus (https://www.primeraplus.com.mx/) et ADO (https://www.ado.com.mx/) pour le confort et la fiabilité qu’elles garantissent. Si acheter des billets première classe reste plus cher, les avantages sont non négligeables pour des trajets qui peuvent parfois être longs : possibilité d’acheter son billet sur internet (sur le site de réservation https://www.busbud.com/fr par exemple), place attribuée, siège inclinable, parfois prise de courant ou écran individuel, toilettes à bord, trajets express…
Les trains de voyageurs n’existent pas : le réseau ferré sert essentiellement au transport de marchandises. Une exception est à noter cependant : le fameux train du Chepe (chemin de fer Chihuahua-Pacifique) qui relie les villes de Chihuahua et Los Mochis à travers des paysages spectaculaires de canyons (les Barrancas del Cobre notamment) et au fil des merveilles d’ingénierie (37 ponts et 86 tunnels !). Il est nécessaire de bien caler cette expédition en amont. Une version plus luxueuse et plus rapide (avec moins d’arrêts), le Chepe Express, est intégralement dédiée aux touristes (https://chepe.mx/).
À Mexico D.F., les taxis rose et blanc pullulent malgré la concurrence d’Uber, souvent plus confortable et garantissant un paiement plus sécurisé via son application. Pour des raisons de sécurité, évitez de héler un taxi dans la rue et préférez en appeler un par téléphone. On trouve de plus en plus dans les gares routières ou les aéroports des stations de taxis que l’on peut prépayer. Comptez environ 150 pesos (7 euros) pour la course de 30 minutes. Pour éviter les accrochages et la confusion, n’oubliez pas de vérifier que le chauffeur a bien lancé son compteur au démarrage de votre course. En dehors de la capitale, les taxis n’ont pas de compteur et il sera bon de négocier la course avant le départ pour éviter les mauvaises surprises.

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