Toucan, Costa Rica

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Tendance : Le tourisme durable au cœur des préoccupations des voyageurs

A l’heure du tourisme de masse et du réchauffement climatique, voyager responsable devient une préoccupation majeure pour nombre de vacanciers. Réduire son impact environnemental ou générer des retombées économiques pour les populations locales : les enjeux sont multiples. Un voyage ou un séjour durable peut être éco-responsable, équitable, éthique, solidaire, social ou tout ça à la fois. De nombreux circuits Kuoni intègrent des activités et visites qui contribuent à préserver de fragiles écosystèmes. D’autres créent des retombées financières pour des communautés visitées, en supportant les plus démunis par des programmes d’éducation ou de formation. Beaucoup d’hôtels se sont eux aussi mis au vert et misent la gestion de leurs ressources et un approvisionnement local et de saison pour leurs restaurants.  

 

L’écotourisme : un geste pour la nature

Depuis des années, Kuoni intègre une dimension environnementale aux visites et aux activités de nombreux circuits proposés. Chaque participant contribue ainsi à la préservation de la biodiversité de la faune et flore locale, mais aussi de l’eau, si précieuse. Certains financent des fermes bio, des coopératives de producteurs ou des refuges pour la faune sauvage. D’autres favorisent des transports plus verts. En Inde, le circuit   Vibrant Rajastan inclut par exemple un parcours à vélo au cœur d’Udaipur et un trajet en train entre Jaipur et Agra, moins polluants que la voiture. Kuoni porte une attention particulière aux valeurs d’écotourisme, particulièrement dans des pays de safaris au cœur de parcs nationaux. Ainsi, le Circuit  Afrique du Sud grand format contribue par exemple aux projets labellisés Green Seat qui œuvre dans la préservation de la faune en danger, particulièrement des carnivores (lycaons, guépards, lions…), participe à la reforestation et supporte des projets communautaires d’artisans défavorisés.  

 

Un tourisme équitable et éthique

C’est un fait, le tourisme de masse a créé des inégalités dans de nombreux pays en développement, où les populations locales sont souvent exploitées et ne récoltent que des miettes du juteux marché touristique. Nombre de voyageurs veulent désormais intégrer une dimension éthique à leurs choix, en contribuant à des initiatives vertueuses de redistribution économique et de préservation des modes de vie de communautés locales. Chez Kuoni, le circuit  Paradis Sauvage  au Costa Rica s’inscrit dans une démarche éco-responsable en encourageant les initiatives locales de protection de la nature et d’éducation des enfants. Les coûts d’entrée perçus financent des écoliers et le reboisement de la région. Au Guatemala, le circuit Mayas d’hier et d’aujourd’hui soutient des acteurs engagés, comme la plantation bio de macadamia Valhalla. Une partie des bénéfices est reversée aux communautés rurales et à des actions de reforestation.  

 

Un tourisme social et solidaire

Partir à la rencontre des populations locales peut aussi signifier avoir un impact sur l’amélioration des conditions sociales de ses habitants, qui vivent bien souvent dans des régions très pauvres. Un moyen efficace de soutenir la formation de populations en difficulté ou la scolarisation d’enfants isolés. Le circuit Renouveau Vietnamien soutient par exemple des structures qui aident des jeunes défavorisés à apprendre un métier dans la cuisine ou l’hôtellerie. Des repas sont également prévus dans des institutions œuvrant pour les populations locales. Le voyage Sourire du Cambodge organise un dîner au restaurant Haven qui forme de jeunes adultes vulnérables, mais aussi un spectacle de cirque qui soutient de jeunes artistes. Le voyage finance aussi des associations qui permettent l’accès à l’eau courante de certains villages ou luttent contre l’illettrisme.  

 

Des séjours « vert(ueux) » dans des paradis lointains

Séjourner dans un hôtel labellisé qui réduit son impact environnemental devient un critère important dans le choix des voyageurs. Dans la brochure Sables de Kuoni, repérez les établissements distingués d’une feuille verte, qui s’engagent dans une démarche durable. Le label Travelife Gold qui souligne les efforts des acteurs du tourisme en matière de développement durable a distingué l’hôtel Sunrise Attitude à l’Île Maurice pour son engagement dans la gestion de ses déchets et le bannissement des plastiques à usage unique. Il met également à disposition en self selvice de la crème solaire minérale davantage protectrice des coraux et de la faune marine. Il mise aussi sur un approvisionnement en circuit court pour ses restaurants et un artisanat local dans ses boutiques. Travelife Gold a aussi labellisé l’hôtel Kuramathi Maldives, qui a ouvert en son sein un éco-centre pour sensibiliser les vacanciers et les élèves des écoles locales à la protection des océans.  

 

En Europe, des hôtels engagés dans la gestion de leurs ressources

Face à l’engouement des clients pour le tourisme durable, certains hôtels en Europe s’engagent désormais sur une gestion accrue de leurs ressources, en particulier leur consommation d’eau et la réduction de leurs déchets plastiques. Mais la réduction de l’énergie consommée est véritablement l’enjeu majeur des établissements aujourd’hui, autant pour des raisons économiques qu’environnementales. Beaucoup misent sur la production d’énergie renouvelable solaire, hydraulique, éolienne… Autre effort réalisé par bon nombre d’hôtels : un approvisionnement en produits bio et de saison provenant de fermes environnantes. Ainsi en Crète, le Grecotel LUXME Oasis & Aqua Park utilise de l’énergie solaire, recycle l’eau et les déchets et utilise des produits de nettoyage écologiques. En Croatie, le Valamar Meteor Hotel utilise une électricité 100% issue d’énergies renouvelables, gère ses déchets et se fournit localement pour ses restaurants. En Espagne, l’Iberostar Pinos Park, un établissement labellisé « Wave of change », s’engage à éliminer les plastiques à usage unique, à promouvoir la consommation responsable du poisson, à protéger les océans et les côtes et à réduire ses émissions de CO2.