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Parc national de Namib-Naukluft, Sossusvlei, Namibie

namibie
Infos pratiques avant de partir

Argent

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L’unité monétaire est le dollar namibien. Il existe des billets de 10, 20, 30, 50, 100 et 200 N$. Le cours de celui-ci est indexé sur celui de son voisin d’Afrique du Sud, d’ailleurs le rand sud-africain est également accepté partout en Namibie. Mais on vous rendra la monnaie en dollar namibien. Attention : en sortant du pays, veillez bien à dépenser ou échanger tous vos dollars namibiens car vous ne pourrez pas le faire hors du pays.
L’€ s’échange généralement autour de 19 et 20 NAD. Le taux de change étant fluctuant, il est à consulter à l’approche de votre voyage pour bien connaître le taux en cours.

Les cartes de crédit sont acceptées dans les villes, aux abords et dans les parcs nationaux, dans les parcs comme les restaurants et boutiques dédiés aux touristes. Dans les petites villes en revanche, il faudra avoir de la monnaie car les cartes bancaires ne sont pas acceptées systématiquement. Mais des distributeurs de billets (ATM) se trouvent partout, même dans les petites stations-services perdues dans le désert, une vraie facilité de paiement.
Si vous prenez des chèques de voyage, sachez que la commission retenue à l’achat peut être importante. Les eurochèques ne sont pas acceptés.

Vous pouvez changer des devises à l’aéroport international de Johannesburg (en Afrique du Sud), de Windhoek ou aux banques de Windhoek et de Swakopmund. Nous vous conseillons de vous munir d’euros car le change des dollars est beaucoup moins avantageux. Mais le plus simple est de retirer directement des dollars namibiens dans un distributeur.

La population namibienne est relativement pauvre, seule une infime frange de la population est privilégiée. En qualité de touriste, vous en faites clairement partie. Mais la Namibie est une destination adaptée à tous les budgets pour les safaris : on peut camper dans un camping communautaire à 10 USD par nuit comme dans des lodges à plusieurs centaines d’euros par nuit. Vous pouvez louer un 4×4 tout équipé et ne payer que la location et l’essence en autotour. Il faut compter entre 21 et 22 N$ par litre d’essence en Namibie, une location de voiture dépendra du modèle : de la simple berline au 4×4 tout équipé.

Si le marchandage n’est pas de mise dans les boutiques en ville où les prix sont affichés, il est nécessaire dans les petites boutiques d’artisanat et sur les marchés, comptez 30 % du prix.

Il faut compter 10% de service dans la note finale de votre restaurant, obligatoire comme dans les pays qui fonctionnent à l’anglo-saxons car elle fait partie du salaire des employés. On peut ajouter un « tips » pourboire en plus. Le pompiste attend aussi un pourboire de 20 à 50 N$ et idem pour les gardiens de parking. Il est d’usage de donner des pourboires au guide de safari de 100 à 200 N$ par nuit par adulte passé dans le lodge.

Assurances

Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €). 
Elle couvre les risques suivants :

  • Garantie Pandémie (dont Covid-19)
  • Frais médicaux à l’étranger
  • Assistance rapatriement
  • Garantie annulation
  • Garantie retard de transport
  • Garantie bagages et matériel de sport
  • Garantie interruption de séjour

Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.

À savoir

La Namibie est un pays assez sûr, comparativement à ses voisins : rien à voir avec l’Afrique du Sud. On fera néanmoins attention dans les grandes villes, particulièrement à Windhoek, la capitale ; spécialement le soir, où les vols peuvent être signalés. Évitez de vous éloigner des lieux animés, par exemple dans des petites rues désertes. Ne vous promenez pas avec des objets de valeur en ville. Faites attention à vos poches sur les marchés car les pickpockets agissent dans les lieux bondés ou près des distributeurs d’argent. Prenez des taxis officiels de la ville, pas de taxis clandestins. Ne pas laisser d’objets en vue dans la voiture garée.
Le plus grand danger en Namibie vient de la route : les accidents sont fréquents car la conduite locale n’est pas prudente, les routes (ou plutôt les pistes en majorité) sont quelquefois en aussi mauvais état que les véhicules et les grandes lignes droites dans le désert donnent envie d’appuyer sur l’accélérateur tout en ayant sa vigilance qui baisse.
L’autre danger vient des animaux : dans un pays de brousse, ils circulent librement. Des éléphants comme des buffles et des hippopotames la nuit surtout, et même parfois d’autres grands mammifères de la savane comme des lions ou des léopards surpris dans la lumière des phares au crépuscule peuvent se trouver en bord de route ou traverser sans crier gare. Sans compter les nombreuses antilopes. Il est tout à fait déconseillé de conduire de nuit pour ces raisons, et de toute façon les routes sont désertes, personne ne s’y aventure car la réaction des animaux aveuglés par les phares des voitures est imprévisible et la distance de visibilité réduite.
Renseignez-vous sur l’état des routes que vous allez emprunter, car beaucoup sont en mauvais état et beaucoup sont impraticables pendant la saison des pluies. Pendant et après, l’eau et la boue sont déjà présentes sur certaines routes pour lesquelles un 4×4 est nécessaire, surtout dans la bande de Caprivi près du delta de l’Okavango au Botswana et des Chutes Victoria.

Il peut faire très chaud et très froid en Namibie – pays désertique – surtout à la fin de l’été austral et pendant la saison des pluies, quand les températures oscillent entre 40°C… et 0°C ! Il faut boire beaucoup d’eau et pouvoir supporter de grosses chaleurs suivies de grand froid la nuit.

À faire : aider une voiture en panne en bord de route au milieu du désert. Dans les pays de brousse comme la Namibie, la solidarité sans faille est de mise entre véhicules car il y a peu de passage sur certaines routes et vous-même vous seriez heureux d’être dépanné par d’autres voitures si cela vous arrive. Prévoir deux roues de secours et de l’eau en provision en bonbonne de 5 L en cas de panne.
Ne pas faire : s’approcher des animaux sauvages surpris en bord de route, particulièrement les éléphants, buffles et hippopotames nombreux dans la région du Zambezi par exemple, qui n’hésitent pas à charger.
En safari, suivre les ordres des guides : ne pas descendre du véhicule, sauf dans des temps et espaces prévus, ne pas se lever, crier, s’agiter devant les animaux. En « walking safari » suivre le ranger armé et le guide en file indienne, rester silencieux et ne pas courir.

Prendre une photo de personne de près à la volée est – comme partout – assez mal vu. Demandez l’autorisation pour éviter une situation désagréable. De loin, aucun problème pour prendre des clichés. Dans certaines tribus visitées, on vous demandera de la petite monnaie pour prendre des photos de portraits de personnes.

Le premier safari commence très tôt le matin, vers 5 h au point du jour, jusqu’à 8 h avec une pause-café dans la brousse quand le jour est levé. Puis le second safari a lieu en fin d’après-midi vers 16 h jusqu’à 20 h quand il fait nuit noire. Le lever du jour comme le crépuscule sont les meilleurs moments pour surprendre les grands prédateurs notamment, qui sont plus actifs lorsque les températures sont plus douces qu’en journée. Plus actifs pour aller boire, comme tous les animaux de la savane, et plus actifs pour chasser. Le guépard chasse de jour, tandis que le léopard chasse de nuit et le lion autant de jour que de nuit.

On voit beaucoup d’éléphants, de lions et de guépards en Namibie, réputée pour ses grandes plaines désertiques. Les antilopes sont nombreuses, surtout les oryx, symboles du pays. Les léopards sont plus rares car ils aiment les aires boisées et montagneuses. Les autres animaux de la savane s’observent aussi au sein des parcs nationaux. Les cycles de la nature sont imprévisibles et les incidences des conditions climatiques sur l’écosystème peuvent modifier le déroulement de votre circuit. Bien que l’itinéraire soit établi en fonction de la richesse de la faune, aucune garantie ne peut être donnée quant à l’observation de telle ou telle espèce.

Bagages

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En safari, il faut adopter des tons naturels : kaki, beige si possible, blanc par défaut, mais surtout pas de couleurs vives (en particulier le rouge), pour se camoufler dans la nature sans déranger visuellement les animaux. Et pas de noir ou de bleu, car ces couleurs en plus d’attirer la chaleur attirent les moustiques.
Suivant la saison, pensez à vous équiper correctement : il fait très froid la nuit pendant l’hiver austral (jusqu’à 0 °C), et le lodge vous fournira des couvertures pour dormir comme pour partir en safari le matin quand il fait encore nuit et que le vent froid vous fouette le visage. Mais il est indispensable d’emmener des vestes chaudes. L’été austral est plus clément mais c’est la saison des pluies, poncho obligatoire en cas de grosse averse.

Préférez un solide sac de voyage souple à une valise rigide. Éventuellement un grand sac plastique pour envelopper vos bagages et les protéger ainsi de la poussière.
Pensez également à emporter des jumelles pour l’observation des animaux ainsi qu’une lampe électrique pour les réserves. Durant la saison d’hiver, le bush, plus sec, permet une meilleure observation.

Emportez des sprays anti-moustiques tropicaux pour les vêtements et la peau achetés en pharmacie, crème solaire écran total et, le cas échéant, vos traitements médicaux. Prenez en cas de tourista des anti-diarrhéiques, du paracétamol et bien sûr, des antipaludéens prescrits par votre médecin.

Climat

On distingue trois saisons en Namibie, un pays désertique au climat très sec. L’hiver austral de mai à septembre pendant lequel les températures oscillent entre 20 et 30 °C en journée, mais peuvent descendre jusqu’à 5 °C la nuit. Puis vient l’été austral d’octobre à décembre avec des températures régulières de 30 °C en journée, et nettement plus clémentes la nuit (dans les 20 °C). Ces deux saisons sont très sèches. Vient enfin la saison des pluies de janvier à avril, chaude et humide. La Namibie devient un four à chaleur tournante en journée, avec des températures tutoyant les 4 °C, et frigo la nuit en frôlant le 0 °C !  Les pluies diluviennes ont par ailleurs tendance à provoquer des inondations, même dans les aires urbaines.
Il existe également une disparité de climat géographique. Sur la côte, les pluies sont rares mais les journées sont tempérées et les nuits fraîches. À l’intérieur du pays, les températures sont nettement plus élevées dans la journée ; les nuits restent fraîches grâce à l’altitude.
Les cycles de la nature sont imprévisibles et les incidences des conditions climatiques sur l’écosystème peuvent modifier le déroulement de votre circuit.

Conduire

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La conduite se fait à gauche, la signalisation est principalement en anglais. Le hors-piste est formellement déconseillé, le sable étant meuble, vous risquez de vous enliser très vite. Attention aux tempêtes de sable, il faut bien sûr lever le pied pour des questions de visibilité.
C’est un système à l’américaine : sur un croisement à 4 stops, le premier arrivé est le premier à passer, pas de priorité à droite ici. Les feux sont situés de l’autre côté de la route : en bon français ne traversez pas le carrefour pour vous positionner au pied du feu, il faut s’arrêter sur la ligne avant le passage piéton, comme aux États-Unis.

Le réseau routier est globalement bon, mais les pistes non goudronnées (qui représentent 65 % des routes), en dépit d’une maintenance constante, peuvent à certains endroits faire l’objet de dégradations importantes, particulièrement après la saison des pluies. Ces dégradations sont susceptibles de générer un certain inconfort et peuvent provoquer quelques pannes mécaniques.
Si les “routes C” des pistes de gravier constituent la majorité du réseau routier namibien devant les “routes B” goudronnées, elles sont bien entretenues, aplanies et pas trop caillouteuses. Sauf bien sûr les petites pistes ou “routes D” qui peuvent être carrossable en berline normale mais peuvent connaître certains tronçons difficiles, surtout après la saison des pluies. Les routes plus petites non B, C ou D nécessitent un 4×4 haut sur châssis. Attention en saison des pluies et juste après, certaines routes sont coupées de rivières temporaires. Mais pas d’inquiétude, en tant que touriste, vous n’irez jamais seuls au volant sur ce genre de piste.
Les travaux sur les routes étant monnaie courante en Namibie, en raison de l’érosion et de l’entretien permanent qu’elles nécessitent après la saison des pluies, renseignez-vous avant de prendre la route pour savoir si des feux de travaux temporaires vous ralentissent (quelquefois de 20 minutes chacun). D’excellentes cartes routières mises à jour régulièrement sont éditées par Tour and Safari Association of Namibia, en vente dans les stations essence et libraires, souvent plus fiables qu’un Google Maps approximatif dans les zones désertiques ou sauvages sans signal. En outre, il est difficile de se perdre sur des pistes bien balisées et souvent uniques dans l’immensité du désert.

Les boîtes à vitesses sont automatiques, et ce sont en majorité des 4×4. Donc sur piste, il faut le mettre en position 4 h, tandis que sur du sable mou, il faut passer en 4L, appuyer sur la touche à côté du volant bloquant le différentiel, et légèrement dégonfler les pneus entre 1.5 et 1.8 bars pour améliorer son adhérence. Crever est monnaie courante en Namibie vu l’état des pistes, vérifiez bien l’état de vos pneus avant de partir et faites-vous montrer en intégralité où est disposé le cric et les deux roues de secours.

La Namibie c’est l’aventure ! Particulièrement en autotour, car le pays est grand et désertique, avec seulement 2,5 millions d’habitants. Que ce soit en autotour ou en circuit organisé, les temps de trajet sont assez longs entre les étapes. Car mieux vaut parler de temps de trajet que de kilomètres lorsqu’on prend des pistes non goudronnées, quelquefois très sableuses.
Pour les trajets Windhoek > Otjiwarongo et Otjiwarongo > Parc national d’Etosha, comptez 2 h 30 de route. Attention, à partir d’Etosha, il faudra compter 4 h à 5 h de route par escale sans les pauses, d’Etosha au Damaraland, du Damaraland à Swakopmund, puis de Swakopmund à Sossusvlei et de Sossusvlei à Mariental aux portes du désert du Kalahari. En revanche, le dernier trajet de Mariental à Windhoek ne prend que 3h. Sans compter que la beauté des paysages à couper le souffle vous incitera à faire des pauses photos.
Pour l’autotour XXL, qui fait une boucle jusqu’à Fish River Canyon, le trajet Sossusvlei à Luderitz prend même 6 h 30 sans les pauses et le trajet, 5 h entre Luderitz et Fish River Canyon et enfin 4 h 30 de Fish River Canyon à Mariental.
Prévoyez de partir tôt le matin, d’autant plus qu’il faut garder en tête que les portes des parcs nationaux ferment tôt, et qu’il faut arriver au lodge une fois la porte du parc franchie et les formalités faites, avant 15 h, pour ne pas manquer le safari (game drive) de l’après-midi qui débute généralement à 16 h.

Les limites de vitesse sont les suivantes : 60 km/h en ville, 80 sur les pistes de gravier à 120 km/h sur les routes bitumées hors agglomération, il est cependant conseillé de ne pas dépasser les 80 km/h, 40 km/h dans les réserves et parcs naturels, en raison de la traversée possible d’animaux sauvages.

Pas de routes payantes en Namibie.

En ville, le stationnement est bien souvent gratuit mais le gardiennage est lui payant : contre quelques dizaines de dollars namibiens les gardiens surveillent les voitures, jour et nuit. Ne lésinez pas sur ce gardiennage, il fait vivre bon nombre de familles très modestes et votre voiture est en sécurité.

En dehors des villes, les stations-services sont rares, il faut donc être prévoyant et remplir votre réservoir dès que vous le pouvez. Vous pouvez aussi avoir un jerrican d’essence en cas de station-service à sec ou de personne en panne sur la route… cela peut arriver très rarement. Le mieux est aussi de se renseigner avant son départ sur les possibilités de ravitaillement.

Si vous avez réservé une location de voiture auprès de notre partenaire, le bon d’échange vous est remis dans votre carnet de voyage.
Le conducteur doit être âgé de 18 ans minimum. Il doit être titulaire d’un permis de conduire depuis au moins 1 an.
Le permis de conduire international est obligatoire et vous sera demandé par la police en cas de contrôle.
Important : une empreinte de carte de crédit différé obligatoire au nom du conducteur principal vous sera demandée lors de la prise en charge du véhicule (la mention crédit doit être mentionnée sur votre carte bancaire). Il est indispensable de disposer du plafond nécessaire sur la carte de crédit du conducteur afin de sécuriser l’acompte au loueur, correspondant au montant de la location. Les cartes Visa et Mastercard de débit ne sont pas acceptées tout comme les Visa Electron ou Maestro.
À savoir : la date de prise du véhicule détermine le prix applicable à l’intégralité de la location. Il n’y a pas de remboursement en cas de location partiellement utilisée. L’heure de prise en charge du véhicule détermine son heure de retour. Un supplément sera à régler sur place en cas de retard. La réservation d’une catégorie de voiture porte sur une catégorie de véhicules et non sur un modèle précis. Toute option souscrite au moment de la prise en charge de la voiture sera facturée et taxée sur place.
Toute personne ayant eu une suspension de permis de conduire peut louer un véhicule en respectant un délai d’un an minimum après la récupération du permis. Les frais de stationnement sont à régler sur place. Tout conducteur contrevenant s’expose à une amende à laquelle le loueur peut adjoindre des frais administratifs.
Les conditions sont données à titre indicatif et peuvent être modifiées sans préavis.
Pour les prestations et frais additifs de type GPS, conducteur supplémentaire ou jeune conducteur, nous consulter.

Contacts utiles

Ambassade de France en Namibie. Elle est située au 24, Willemien Street à Windhoek. En cas de problème, les bureaux sont joignables de 8 h à 12 h 30 et de 14 h à 17 h 45 du lundi au jeudi et de 8 h à 13 h le vendredi. En dehors de ces horaires et cas d’urgence, il faut joindre le consulat général de France à Johannesbourg en Afrique du Sud au +264 61 27 67 00.
Le site officiel de l’Office de tourisme de Namibie est : www.visitnamibia.com.na, disponible en anglais. A Windhoek, les bureaux sont situés Haddy & Sam Nujoma Drive, Private Bag 13244 ; +264 61 290 6000 ; info@namibiatourism.com.na

Décalage horaire

En Namibie, le décalage horaire est de 0 h en été et de plus 1 h en hiver. Quand il est midi en Namibie, il est midi en été en France métropolitaine et 13 h en hiver.

Électricité

Le courant est de 220 volts avec des prises électriques sont de type D ou M (avec trois fiches rondes ou carrées). Un adaptateur est à prévoir. Vous trouverez dans le commerce en Europe des adaptateurs universels qui s’adaptent à tous les pays mais pas d’adaptateur spécifique à cette destination. Néanmoins, la plupart des hôtels sur place peuvent vous en fournir à la demande. Dans certains lodges de brousse, le courant est fourni par un groupe électrogène ou par des panneaux solaires, avec parfois, des coupures pendant la nuit.

Formalités

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Les formalités d’entrée et conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et susceptibles de modifications.

Un visa est obligatoire pour les ressortissants français depuis le 1er avril 2025. Une pièce d’identité est nécessaire ainsi qu’un passeport dont la validité doit être de 6 mois après la date de retour. Le passeport doit également avoir 2 pages vierges successives.
Le E-visa pour la Namibie peut être demandé depuis le 3 mars 2025. Il autorise de multiples entrées, pendant 30 jours à partir de la 1ère date d’entrée déclarée lors de la demande.
Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire pour les voyageurs en provenance ou en transit d’un pays où la fièvre jaune existe à l’état endémique.
Attention, une attestation d’assurance séjour pourra être exigée à l’arrivée.

Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge. L’autorisation de sortie de territoire est obligatoire pour les mineurs français ou étranger résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site : www.Service-Public.fr
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.
Formalités pour tous les enfants de moins de 18 ans voyageant à destination ou en provenance ou transitant en Namibie. Attention, l’obtention des documents nécessaires peut prendre du temps, il est important de vous renseigner au moment de votre réservation.
Nous vous invitons à consulter le site du ministère des Affaires Étrangères afin de connaître la réglementation en matière code d’entrée et de sortie des mineurs en Namibie.
Des documents émis en anglais (originaux ou copies certifiées conformes à l’original) ou traduits en anglais par un traducteur assermenté devront être présentés lors de l’enregistrement et à l’arrivée en Namibie.
Pour tout vol en transit avec l’Afrique du Sud, merci de vous reporter aux formalités de l’Afrique du Sud concernant les enfants mineurs.

Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous vous êtes inscrits. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.

Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client.
DT Polio à jour et vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B, le tétanos et la typhoïde recommandés pour tous les pays. Traitement antipaludique recommandé.
Les voyageurs en provenance de pays où il existe un risque de transmission de la fièvre jaune doivent être en mesure de présenter, lors de leur arrivée, un certificat international de vaccination antiamarile (fièvre jaune). Cette obligation s’applique à tous les voyageurs en provenance de ces zones, y compris après n’y avoir effectué qu’un simple transit.

Hébergement

Vous pouvez dormir dans des camps rudimentaires si vous êtes équipés pour dormir et préparer vos repas. Il faudra prévoir des provisions de nourriture et d’eau. C’est le cas des touristes qui voyagent en gros 4×4 tout équipés avec la tente sur le toit et la cuisine intégrée. On peut aussi opter pour des guest houses à l’allemande (car la Namibie est une ancienne colonie allemande) ou à la sudafricaine, en formule B&B, demi-pension ou pension complète. Enfin, l’option la plus onéreuse est celle des lodges luxueux de safari où tout est compris, des transferts aux safaris en comptant les repas et même les boissons non alcoolisées.

Internet & téléphone

Les hôtels en ville sont dotés d’un bon réseau wifi. En revanche, dans les lodges de safari, le wifi est disponible dans le lounge, rarement dans les chambres. De plus, la connexion est limitée, plutôt adaptée aux téléphones qu’aux ordinateurs.

L’indicatif téléphonique de la Namibie est + 264. Il est très simple d’acheter une carte SIM locale à l’aéroport, à Windhoek ou à Swakopmund, puis de créditer la carte pour des appels et surtout utiliser des datas Internet, indispensables si vous conduisez en autotour. La couverture des téléphones mobiles est bonne dans les villes mais totalement inexistante dans le désert, hors téléphones satellites. Le réseau existe aussi dans les villages et les lodges. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez utiliser le réseau wifi pour appeler via WhatsApp.

Langues

La langue officielle en Namibie est l’anglais, adopté en 1990 à l’indépendance du pays car il était plus neutre que l’afrikaans ou l’allemand, mais seulement 3% de la population le parle. L’afrikaans (des Blancs d’Afrique du Sud) et l’allemand sont beaucoup utilisés, par les descendants de colons blancs. En réalité, la Namibie est un pays riche en diversité linguistique, avec autant de langues que de peuples. La langue la plus parlée est l’oshiwambo environ 50% de la population. Parmi les autres langues parlées figurent le herero, le khoïkhoï (par les Bushmen), le lozi, le kwangali et le tswana, ainsi que de nombreuses autres langues régionales.

Quand partir ?

C’est un pays désertique que l’on peut visiter toute l’année, mais la meilleure période pour se rendre en Namibie s’étend de mars à octobre. Cette période de haute saison touristique est la plus adéquate pour observer les animaux en constant mouvement à la recherche d’eau et pour les températures (fin de l’hiver austral plus doux puis été austral tempéré). Mais c’est aussi la plus fréquentée : les prix sont donc plus élevés et les 4×4 plus nombreux dans les parcs. Il y a moins d’exclusivité pendant les safaris.
La fin de l’été austral (novembre-décembre) est idéale si vous supportez la chaleur de plus en plus intense au fil du temps. L’eau se raréfie encore dans les parcs nationaux, les safaris sont spectaculaires et les lodges sont moins convoités à cette saison.
Pendant la saison des pluies de janvier à mars, il est toujours possible de faire des safaris mais certaines régions sont des plaines inondées inaccessibles (comme la bande de Caprivi). Le mois suivant la saison des pluies (avril) est aussi à considérer avec prudence : l’eau peut-être toujours présente, et certaines routes sont encore coupées par des cours d’eau temporaire, certaines pistes peuvent s’avérer boueuses ou meubles. Un 4×4 est fortement recommandé durant cette période.

Restauration & repas

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Comme dans les pays anglo-saxons, les Namibiens mangent très tôt. Vers midi pour le déjeuner et vers 18 h 30 ou 19 h pour le dîner. Attention de ne pas manquer les horaires sous peine de jeûner la nuit car les restaurants ne servent en général plus après 20h ! Cette situation n’arrivera pas en lodge où les horaires des repas sont plus extensibles et souples que dans les restaurants namibiens en ville mais vérifiez néanmoins les horaires prévus.

Les restaurants sont relativement bon marché comparés à ceux d’Europe, il faut compter 150 à 250 N$ en moyenne.

La cuisine namibienne est influencée par les spécialités allemandes et sudafricaines. Le braai (barbecue de viande) est roi comme dans le pays voisin. Ne manquez pas de goûter de la viande de gibier, principalement des antilopes (impala, oryx) et la viande d’autruche, très fine en goût.

Santé

Buvez de l’eau uniquement en bouteille, ayez toujours une bonbonne de 5L d’eau dans la voiture en cas de panne (pour les autotours). Lavez-vous également les dents avec de l’eau en bouteille de préférence.

Il y a très peu de risques de maladies en Namibie. Un seul est à prendre au sérieux : la malaria, spécialement si vous vous rendez en Namibie pendant et juste après la saison des pluies, lorsque les moustiques sont les plus nombreux. Sachez néanmoins que dans les lodges au cœur des parcs, le risque d’être contaminé est faible, c’est davantage en ville ou dans les villages que le risque est plus élevé. Idem les risques de tourista sont quasi nuls en lodge.

Transports

Il existe des taxis officiels à Windhoek donc le prix de la course depuis l’aéroport est fixe (350 N$). Le circuit organisé en Namibie compte des transferts en minivansde safari avec toit ouvrant (Toyota Quantum ou similaire) ou en véhicule camion de 4×4 de 14 places. Ce sont ? des véhicules tout confort et climatisés.
Pour le séjour en croisière en Afrique australe, vous prendrez un petit avion (ligne régionale) d’Afrique du Sud au Botswana pour atterrir à Kasane, avant de rejoindre votre lodge en transfert privatif au cœur du Parc National de Chobe. Le transfert sur l’île d’Impalila en Namibie sera donc terrestre en amont (depuis le Chobe NP), avant de prendre un nouveau vol régional depuis Kasane jusqu’au Lac Kariba (Zimbabwe). Attention au poids des bagages souvent limité de 15 à 20 kg maximum pour ce type d’avion. Privilégiez un sac souple de moyen format à une valise rigide énorme pour ne pas vous retrouver en surpoids de bagages.

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