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Lac Louise, parc national de Banff, Alberta, Canada

canada
Infos pratiques avant de partir

Argent

Visuel non contractuel

L’unité monétaire utilisée au Canada est le dollar canadien (CAD). Il existe des billets de 5, 10, 20, 50 et 100 CAD existent, ainsi que des pièces de 1 et 2 CAD, et de 5, 10 et 25 cents.  Le taux de change en janvier 2025 était de : 1 CAD = 0,67 € ; 1 € = 1,5 CAD.

Une carte de crédit internationale est indispensable car elle vous sera demandée dans les hôtels pour garantir le règlement des extras (téléphone, minibar, repas, etc.) et servira de caution pour votre location de véhicule. La plus largement acceptée est la carte Visa International mais aussi Mastercard et American Express. Ne quittez pas l’hôtel sans avoir vérifié le montant débité.
Pour les locations de voitures, une carte de crédit à débit différé est indispensable.
Le paiement par carte étant le plus fréquent et quelquefois le seul possible dans certains d’endroits, nous vous conseillons dans la mesure du possible d’avoir une carte sans frais de paiement à l’étranger avec vous et de payer par carte autant que possible pour éviter des frais de retrait, souvent élevés.

Les frais de retrait sont dans les 2 USD au Canada, auxquels il faut ajouter les frais de retrait facturés par votre banque (certaines garantissent des retraits gratuits suivant un plafond). Changer de l’argent en liquide peut s’avérer intéressant mais il existe peu de bureaux de change, hormis dans les aéroports et les grands centres touristiques. Vous pouvez néanmoins changer votre argent dans les banques, à condition de présenter votre passeport.

La vie est chère au Canada pour des touristes français, en raison des niveaux de salaires élevés. Les hôtels coûtent un minimum de 100 CAD par nuit et peuvent grimper jusqu’à 300 à 400 CAD. On peut néanmoins manger sur le pouce pour 10 à 15 CAD, bien souvent en “take away” (à emporter) sans frais supplémentaires. Au restaurant, en revanche, il faut compter 20 à 25 CAD le midi, de 30 à 40 CAD le soir. Il faudra également ajouter au prix affiché les taxes et le service, la note grimpe vite. Les activités gratuites ne manquent pas, comme la randonnée, mais les excursions restent assez onéreuses. L’essence, en revanche, coûte moins cher au Canada qu’en France (environ 1,05 €/l). 

Le marchandage n’est pas une pratique courante, mais les petits artisans peuvent éventuellement ne pas vous faire payer les taxes si vous payez vos achats en espèces.

Le pourboire est une véritable institution au Canada, il est même obligatoire car le service n’est jamais compris. Dans les bars, restaurants, taxis ainsi que pour les transferts (navette ou privés), il est d’usage de laisser un pourboire de 15 à 20 %.
Si vous effectuez un circuit, le guide et le chauffeur canadiens s’attendent également à un geste de votre part, à condition, bien entendu, qu’ils vous aient donné satisfaction. Le montant de ce pourboire reste à votre entière discrétion. Il est toutefois d’usage de donner 4 à 5 CAD par personne et par jour au chauffeur et 4 à 5 CAD par personne et par jour au guide ou 7 à 10 CAD pour le chauffeur-guide. Pour les excursions, prévoir 3 à 5 CAD par personne pour une demi-journée et 8 à 10 CAD par personne pour une journée.

Comme aux États-Unis, une taxe d’environ 5 à 15 % sera systématiquement ajoutée selon chaque province du Canada, en plus du montant total de la facture quel que soit l’achat (vêtements, souvenirs, cartes postales, repas, etc.). Dans les restaurants, il faudra également payer le service de 15 %. Lorsque vous commandez, il faut donc majorer les prix de 20 à 30 % pour connaître le coût final, sortez vos calculettes !

Assurances

Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €). 
Elle couvre les risques suivants :

  • Garantie Pandémie (dont Covid-19)
  • Frais médicaux à l’étranger
  • Assistance rapatriement
  • Garantie annulation
  • Garantie retard de transport
  • Garantie bagages et matériel de sport
  • Garantie interruption de séjour

Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.

À savoir

Le Canada est une destination très sûre pour les visiteurs, dans les grandes villes comme dans les campagnes. La criminalité existe néanmoins en raison de la présence d’armes à feu dans les quartiers pauvres et les rivalités entre gangs, comme aux États-Unis. Des fusillades par arme à feu existent, dans une moindre mesure qu’aux États-Unis, mais les touristes ne sont pas concernés. Les pickpockets peuvent éventuellement sévir dans les transports en commun et les lieux très fréquentés dans les grandes villes (Montréal, Toronto, Vancouver), mais pas plus que dans n’importe quelle ville occidentale.
Les Canadiens roulent prudemment sur les routes et respectent les règles. Le plus grand danger au Canada vient des animaux sauvages, orignaux et ours notamment. Les orignaux peuvent vous surprendre sur la route (le nombre d’accidents est très élevé), notamment en mai lors du dégel. Le sel, dont raffolent les ruminants, s’accumule sur les routes en hiver, puis se dépose sur les bas-côtés avec la pluie au printemps, attirant ainsi les herbivores. Il n’est pas rare d’en surprendre près des voitures et des habitations de la tombée de la nuit au lever du jour. Les mamans avec leurs petits peuvent charger et se révéler très agressives, mieux vaut garder ses distances et toujours bien regarder autour de vous dans ces horaires.
Les ours, grizzlis et ours bruns, sont fréquents dans les parcs nationaux de fin mai à début septembre, mais aussi autour de grandes villes comme à Vancouver. Mieux vaut randonner avec une bombe à poivre et faire un peu de bruit pour signaler sa présence et faire fuir les potentiels ours, au lieu de les surprendre par erreur.

Aucune condition physique particulière n’est nécessaire pour visiter le Canada, il faut simplement être bien équipé en hiver pour se prémunir contre le froid.

Ne comparez pas la partie francophone du Canada à la France, ni sa partie anglophone aux États-Unis. Ne soyez pas surpris, voire abasourdi quand quelqu’un vous dit “bonjour” au moment de partir : c’est le sens de “au revoir” au Québec. N’oubliez pas le pourboire vital pour le personnel, évitez de râler à tout va comme n’importe quel Français, c’est considéré comme impoli.

Demander l’autorisation à une personne avant de la filmer ou photographier de près, d’autant plus pour un mineur, il faut si possible l’autorisation des parents. Il est souvent interdit de filmer ou photographier des bâtiments officiels publics gouvernementaux, fédéraux ou de la police, pour des raisons de sécurité.

Lors des visites et excursions, le pourboire est une véritable institution en Amérique du Nord. Prévoir 4 à 5 CAD pour le guide, 3 à 4 CAD pour le chauffeur, 3 CAD pour les guides locaux, par jour et par personne.

La faune rencontrée au Canada, notamment dans les grands espaces et les parcs nationaux sauvages, est typique du sous-continent nord-américain. On peut citer le castor, qu’on retrouve le long des cours d’eau en train de construire inlassablement des barrages et tailler des arbres. Les cervidés sont très fréquents dans les forêts et aux abords des routes et habitations au Canada, en particulier le cerf de Virginie, le caribou, et l’orignal. Les ursidés sont très nombreux également dans les parcs nationaux du pays, ours bruns comme grizzlis. Ils peuvent être croisés accidentellement ou lors d’excursions, principalement entre la fin mai et le début septembre. Dans ces forêts vivent également des meutes de loups, qu’on peut entendre hurler à la mort au crépuscule de très loin ! Les ratons laveurs peuvent également être rencontrés fortuitement au Canada. Dans les eaux glacées de l’Atlantique comme du Pacifique à ces latitudes, on retrouve bien évidemment les baleines, notamment la baleine bleue, ainsi que le béluga et le rorqual à bosse.

Bagages

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Tout dépend de la saison ! En hiver, misez sur des vêtements techniques contre le froid : manteau et pantalon de ski, sous-vêtements thermolactyls, pulls chauds, chaussettes de ski, gants, bonnet, écharpe, cagoule, et même chaufferettes pour réchauffer les doigts et orteils si vous devez monter dans des latitudes polaires pour observer des aurores boréales.
Au printemps et en automne, n’oubliez pas une veste de type Gore-Tex étanche et doublée pour couper le vent et la pluie, tout en conservant dans vos affaires des vêtements chauds pour les soirées encore froides. En journée, vous pouvez opter pour un pantalon léger ou un short certains jour, ainsi qu’un maillot de bain et des sandales ou tongs.
En été, il faut penser à des vêtements légers et courts pour les journées chaudes, et des vêtements plus chauds pour les soirées, pulls et coupe-vent, surtout dans les régions polaires du pays. N’oubliez pas un puissant anti-moustiques, car ils sont particulièrement coriaces.

Munissez-vous d’une bombe à poivre contre de potentiels ours sur votre chemin, d’une lampe frontale pour votre étape de camping, et, si vous campez, d’un duvet très chaud ainsi que d’un tapis de sol bien isolant, car les températures même en été sont froides sous tente.

On peut trouver tous les types de médicaments au Canada bien sûr, mais comme en France beaucoup nécessitent une ordonnance médicale. Mieux vaut se prémunir de médicaments contre la douleur et la fièvre (Doliprane, Paracétamol), de pansements anti-ampoules et d’un baume à lèvre contre le froid.

Climat

Le climat canadien est très variable d’est en ouest et du nord au sud du pays. Les villes côtières connaissent un climat océanique, tandis que celles à l’intérieur du pays sont soumises à un climat continental. Les températures, plus clémentes au sud, atteignent des extrêmes négatifs dès l’approche du pôle Nord. La Côte Ouest (Vancouver, etc.) bénéficie d’un microclimat agréable, situé entre l’océan Pacifique et les montagnes Rocheuses.  Les températures restent douces en hiver, entre 0 et 15 °C, mais il pleut beaucoup, tandis qu’en été le temps est ensoleillé et sec, les températures avoisinant les 25 °C. La Colombie-Britannique, dans la région de la Cordillère, ainsi que la région des Prairies (Winnipeg, Calgary) connaissent un climat continental très contrasté : très chaud en été ; glacial et venteux en hiver. Au nord, dans le Yukon, une enclave située dans l’Alaska américaine, le climat est polaire dans les régions en altitude avec des glaciers permanents.
La région des Grands lacs, vers Toronto, bénéficie d’un été chaud et humide en raison de courants d’air remontant du Golfe du Mexique, déclenchant quelquefois de violents orages. L’hiver est continental, car la région est encore à l’intérieur des terres, mais moins rude qu’au centre-ouest du pays. Ce qui n’empêche pas la région d’être touchée par des tempêtes de neige et des pluies verglaçantes. Sur la côte Est, où se situent le Québec, le fleuve Saint-Laurent et Terre-Neuve, les étés sont humides et moites, tandis que les hivers sont très enneigés, avec beaucoup de brouillard, en raison de fortes précipitations hivernales et de températures souvent négatives. Enfin, les zones subarctiques et arctiques se trouvent dans le « bouclier canadien », l’hiver domine avec des nuits polaires longues et glaciales, tandis que l’été offre des journées infinies rythmées par le soleil de minuit, mais toujours fraîches.

Conduire

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Le code de la route et la signalisation sont sensiblement les mêmes qu’aux États-Unis. Les feux de circulation sont donc positionnés en hauteur, de l’autre côté de l’intersection. Il n’y a pas de priorité à droite ; des stops existent au croisement, le premier arrivé a la priorité. On peut tourner à droite au feu rouge, sauf lorsqu’un panneau l’interdit, ce qui est le cas sur l’île de Montréal, où cette manœuvre est formellement proscrite. L’arrêt est obligatoire lorsqu’on suit ou croise un bus scolaire. Dans les villes où circulent des tramways (les streetcars), notamment à Toronto, les véhicules doivent faire un arrêt complet, au moins 2 mètres derrière la porte arrière, pour la sécurité des passagers.

Les routes sont en excellent état au Canada, avec de larges bas-côtés. Les distances sont très grandes et le réseau routier est de plus en plus éparpillé à mesure que l’on progresse vers le nord. Dans ces endroits reculés au pays, les routes sont en réalité des pistes et un 4×4 est plus que conseillé. Le Nunavut n’est pas relié au réseau routier canadien, ce qui implique de prendre un vol. En hiver, les autoroutes sont déblayées, mais il est recommandé de savoir conduire sur neige, et les pneus neige sont obligatoires dans certains endroits. Il est également conseillé d’avoir des chaînes dans le coffre.

Les boîtes de vitesses sont automatiques au Canada, les véhicules très larges et vastes, bourrés de domotique. Le système de verrouillage est souvent un “keyless” : il s’agit d’une petite carte électronique qui remplace la clef de voiture. Vous la placez dans votre sac à main ou vos poches, et elle détecte la voiture pour la déverrouiller et autoriser le démarrage.

Les distances et les temps de trajet sont infinis au Canada. Pour relier Montréal à Toronto, il faut compter environ 6 h (550 km). Il faudra au minimum 22 h pour rejoindre Winnipeg depuis Toronto (et encore en passant par les États-Unis, la route la plus courte). Il faut ensuite 13 à 14 h pour rejoindre Calgary depuis Winnipeg, et enfin 11 h entre Calgary et Vancouver. D’est en ouest, en empruntant les routes principales entre les grandes villes du sud du pays, il faut 40 h pour traverser le pays, de Québec à Vancouver ! Cette route transcanadienne, qui part de la Colombie-Britannique jusqu’à Terre-Neuve, est symbolisée par une feuille d’érable.

Au niveau de la réglementation, la limitation de vitesse est de 100 km/h sur les autoroutes (et peut atteindre 110 ou 120 km/h dans certaines provinces), de 70 à 90 km/h sur les routes régionales et de 50 km/h en ville.

L’autoroute est généralement gratuite, sauf pour la 407 au nord de Toronto, l’A30 Express au sud-ouest de Montréal, et la Cobequid Pass au nord-ouest de Truro en Nouvelle-Écosse. Une vingtaine de ponts à péage existent, incluant ceux reliant le Canada à son voisin américain. Beaucoup de péages (« tolls ») sont automatisés, on ne peut pas payer son péage en arrivant avec des dollars ou sa CB. Il existe par ailleurs plusieurs files de circulation, certaines étant réservées aux détenteurs d’un abonnement par paiement électronique. Nous vous invitons à ne pas emprunter ces voies sous peine d’une amende, en plus du règlement du péage, que vous devrez payer au loueur de voiture a posteriori. Nous vous conseillons de vous renseigner auprès de l’agence de location lors de la prise en charge du véhicule pour avoir plus d’informations quant au règlement des péages. Vous pouvez aussi prépayer en ligne vos péages en vous renseignant bien en amont.

Il n’y a pas de restriction de circulation en ville, celles-ci étant conçues “à l’américaine”, mais certaines rues sont piétonnisées en été un peu partout dans le pays.

Attention le stationnement en ville est compliqué : il est autorisé d’un côté ou de l’autre de la chaussée selon le jour, payant selon la tranche horaire ou réservé aux résidents. Attention à la fourrière les jours de marché ! Des panneaux vous le diront mais il faut rester très vigilants. Interdiction de se garer devant une bouche à incendie également. Ne cherchez pas à feinter le système canadien : en quelques dizaines de minutes, une voiture qui ne paye pas ou est mal garée est détectée, on est loin du système français. Pour stationner plusieurs jours dans une grande ville canadienne, il existe des passes de stationnement temporaires achetables en ligne valable dans un secteur précis pour 24 h, 48 h ou une semaine.

En dehors des villes, les stations-services sont rares, il faut donc être prévoyant et remplir votre réservoir dès que vous le pouvez. L’essence est moins chère qu’en France, en moyenne 1,10 euros le litre.

Nous vous conseillons de bien lire le contrat du loueur ALAMO à la station avant de signer la prise en charge. Il est possible d’obtenir votre contrat de location rédigé en français, sur simple demande, au comptoir ALAMO. Si vous ne le demandez pas, le contrat sera rédigé sur place uniquement en anglais. ALAMO précalcule le montant des frais à régler sur place.préavis.

Âge minimum

Les conducteurs doivent avoir au minimum 25 ans et posséder un permis de conduire depuis plus d’un an. Les personnes de 21 à 24 ans peuvent conduire en réglant sur place une surcharge de 25 à 30 CAD par jour. Seules certaines catégories sont accessibles (nous consulter). Un conducteur âgé de 21 à 24 ans ne peut être déclaré que comme conducteur principal et non comme conducteur supplémentaire (supplément jeune conducteur à payer sur place).
Toute personne ayant eu une suspension de permis de conduire peut louer un véhicule en respectant un délai d’un an minimum après la récupération de son permis.
Les permis de conduire français, belges et suisses sont acceptés pour une durée limitée (variable selon la province ou le territoire, généralement trois mois) ; le cas échéant, vous devrez vous munir du permis international (généralement valide d’un à trois ans). Si vous désirez louer une voiture au Canada, il faut être âgé de 21 ans, voire 25 ans pour certains modèles, et être en possession d’une carte de crédit. Un permis de conduire est également requis pour pratiquer la motoneige et le quad, et le permis moto est obligatoire pour en conduire une.

Documents obligatoires

Il est nécessaire d’être en possession de son permis depuis plus d’un an, ainsi qu’un permis de conduire international (délivré gratuitement en préfecture) qui doit être présenté conjointement au permis de conduire français en théorie (mais en pratique personne ne le demande), d’une carte de crédit internationale à débit différé au nom du conducteur principal (Visa, American Express, Mastercard) et le passeport. La mention crédit doit obligatoirement figurer sur votre carte bancaire.
Conducteur supplémentaire : chaque conducteur doit présenter son permis de conduire français et son permis de conduire international lors de la prise du véhicule.

Caution

Une carte de crédit internationale à débit différé au nom du conducteur principal obligatoire. Le montant des suppléments à régler sur place (jeune conducteur, siège enfant, frais d’abandon, etc.), non inclus dans votre bon d’échange, sera débité lors de la prise du véhicule. Un réajustement pourra être effectué au moment de la remise du véhicule.

Bon à savoir

Les véhicules doivent être pris et rendus au même endroit, aux heures d’ouverture des agences. En dehors de ces horaires, des frais supplémentaires seront appliqués. Pour tout véhicule pris dans une agence et rendu dans une autre, des frais d’abandon sont à régler sur place. La durée de location de voiture s’entend par jour effectif (tranche de 24h). Tout dépassement d’horaire entraîne la facturation d’une journée supplémentaire.
La réservation d’une catégorie de voiture porte sur un groupe de véhicules et non sur un modèle précis. La capacité des coffres étant généralement limitée à 1, 2 ou 3 bagages selon les modèles, privilégiez des sacs de voyage souples. Les suppléments et options sont donnés à titre indicatif et peuvent être modifiés sans préavis. Toute option souscrite au moment de la prise en charge de la voiture sera facturée et taxée sur place. Les sièges enfants sont obligatoires jusqu’à l’âge de 6 ans dans la plupart des Etats.

Merci de bien vouloir téléphoner à la station la veille afin de fixer l’horaire de prise en charge, le numéro se trouvant sur votre bon d’échange.
La prise en charge du véhicule s’effectue le lendemain de votre arrivée au Canada. Les stations sont ouvertes tous les jours, de 9h à 16h30 (horaires pouvant varier le samedi) sauf les dimanches et jours fériés.
Prise en charge des véhicules entre 13h et 16h et restitution entre 9h et 11h. Voir forfait liberté EBDS qui permet une prise en charge et un retour en dehors de ces horaires. Nous vous conseillons vivement de vous pré-enregistrer sur le site www.rvcheckin.com. Cette démarche facilitera la prise en charge de votre véhicule et vous permettra d’obtenir des informations utiles avant votre départ.
Vous aurez une séance d’information vidéo (en français) sur le fonctionnement du véhicule à la station de départ.
Vous pouvez télécharger l’application Cruise America, Inc. (gratuite) sur votre téléphone portable ou consulter le site www.koa.com ou www.campingroadtrip.com répertoriant les campings au Canada avant votre départ. Nous vous conseillons de réserver votre emplacement dans les parcs nationaux si vous voyagez en haute saison.
Les sièges enfants ainsi que les GPS ne sont pas fournis, veuillez prévoir d’apporter les vôtres, il n’y a pas de location possible sur place. Nous déconseillons la location de motorhome dans les régions froides l’hiver. Celui-ci vous sera remis sans eau à bord afin d’éviter le gel des canalisations. Possibilité de louer des chaises de camping sur place (selon disponibilité) : 12 CAD par chaise.
En cas d’urgence, vous pouvez contacter l’assistance Cruise America 7 jours sur 7, 24h sur 24 au numéro suivant : +1 800 334 4110.

Le conducteur

Le conducteur doit avoir minimum 21 ans, et doit se présenter sur place muni du passeport et du permis de conduire tourisme B valable depuis plus d’un an, permis de conduire international ainsi que d’une carte de crédit internationale à débit différé au nom du conducteur principal pour régler la caution. La durée minimum de location est d’une semaine.
Conducteur additionnel : sans supplément.
Taxe environnementale obligatoire au Canada : 9,95 USD/CAD par location sera à régler sur place. Possibilité de louer un générateur avec supplément (8 USD/CAD par nuit à régler sur place). Possibilité de rachat de franchise ZDP (Zero Damage Plan) : 14,95 CAD par jour.
Possibilité de prendre un véhicule dans une station et de le restituer dans une autre moyennant des frais d’aller simple (de 250 à 750 CAD + taxes). Toutefois, nous vous conseillons vivement de prendre et rendre le véhicule au même endroit. Pas d’aller simple possible entre les États-Unis et le Canada.

Contacts utiles

Offices de Tourisme & Ambassades
Ambassade du Canada : 130 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris
01 44 43 29 00 – www.canada.travel
Bonjour Québec – 0800 90 77 77 (gratuit depuis la France)
info@bonjourquebec.com

Décalage horaire

Il existe 7 fuseaux horaires différents au Canada.
Au Québec ou à Toronto, dans l’Est canadien, le décalage horaire est de moins 6 h en hiver et en été. Quand il est midi au Québec, il est 18 h en France métropolitaine, que ce soit en hiver et en été. Le changement d’heure d’été n’intervient pas aux mêmes dates qu’en France, donc il peut y avoir 1 h de décalage en moins. Certaines zones restent en prime à la même heure toute l’année ! Difficile de s’y retrouver.
Montréal/Québec et Toronto : – 6 h
Winnipeg : -7 h
Calgary/Rocheuses : – 8 h
Vancouver/Victoria : – 9 h
Dans l’extrême nord-est, il y a moins de décalage horaire, -5 h pour Halifax et -4,5 h pour Saint-John’s.

Électricité

Le courant électrique au Canada est de 110 volts. Les prises sont constituées de deux fiches plates (comme aux États-Unis). Pensez donc à vous munir d’un adaptateur universel même si des prises internationales existent dans la plupart des hôtels.

Formalités

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Les formalités d’entrée et conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et susceptibles de modifications.

Un visa n’est pas obligatoire pour les séjours de moins de 6 mois. Un passeport en cours de validité est nécessaire. Le passeport doit également avoir 2 pages vierges successives.
L’AVE (Autorisation de Voyage Électronique) ou ETA en anglais est indispensable à l’embarquement, pour vous rendre au Canada comme pour y passer en transit international sans sortir de l’aéroport. Il correspond à l’ESTA américain. L’AVE coûte 7 CAN par personne, et est valable cinq ans ou jusqu’à l’expiration du passeport. Attention, de nombreux sites frauduleux existent sur la toile. Un seul est https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/visiter-canada/ave.html
L’AVE doit être impérativement remplie au nom de jeune fille d’une femme. À compter du 1er octobre 2022, les voyageurs traversant la frontière dans le sens Canada / USA doivent être en possession d’un passeport biométrique (obligatoire) et d’une ESTA en cours de validité.
Attention : Les voyageurs qui transitent par un aéroport américain pour se rendre au Canada doivent se tenir informés de la législation concernant les conditions d’entrée aux États-Unis et être munis d’une ESTA. Se référer à la fiche USA.

Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge. L’autorisation de sortie de territoire est obligatoire pour les mineurs français ou étranger résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site : www.Service-Public.fr
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom que le sien, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.
Formalités pour tous les enfants de moins de 18 ans voyageant à destination ou en provenance ou transitant au Canada. Attention, l’obtention des documents nécessaires peut prendre du temps, il est important de vous renseigner au moment de votre réservation.

Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous êtes inscrits. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.

Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client.
Aucune vaccination n’est obligatoire, mais les rappels DT Polio à jour et vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B, le tétanos et la typhoïde sont recommandés pour le Canada.

Formalités et douanes

Les ressortissants français, y compris les enfants, doivent présenter un passeport individuel biométrique ou électronique en cours de validité (ces passeports comportent sur la couverture le symbole de la puce électronique).
Le passeport d’urgence ou temporaire ne permet pas de se rendre ou de transiter au Canada sans visa.
À compter du 1er octobre 2022, les voyageurs traversant la frontière dans le sens Canada / USA doivent être en possession d’un passeport biométrique (obligatoire) et d’une ESTA en cours de validité.

Bagages

À la suite du renforcement de la sécurité dans les aéroports canadiens, les bagages peuvent être ouverts lors de votre transit. Par conséquent, si vous ne possédez pas un bagage récent disposant de la serrure TSA intégrée, nous recommandons de ne pas fermer les valises à clef ou par code lors de l’enregistrement des bagages. Si vous souhaitez tout de même verrouiller votre bagage, vous avez désormais la possibilité d’acheter dans le commerce des cadenas homologués TSA. Dans tous les cas, nous vous recommandons de ne pas laisser d’objets de valeur à l’intérieur de vos bagages enregistrés.
De plus, nous vous informons qu’il est strictement interdit de transporter des briquets ainsi que des boîtes d’allumettes ou des batteries au lithium dans les bagages aux États-Unis, et de rentrer sur le territoire avec des fruits et légumes importés. Dans les bagages à main, les liquides sont limités à 100 ml, et il faut vider entièrement votre gourde d’eau avant le contrôle sécurité. À défaut, vous devrez soit retourner au début de la file pour repasser le contrôle, soit laisser la gourde au poste de contrôle. Attention, on ne vous laissera pas boire l’eau restante à ce moment-là. Tous les équipements électroniques (téléphones, tablettes, ordinateurs, e-livres, consoles de jeux, appareils photos, caméscopes, etc.), prévus en bagage cabine, doivent être présentés chargés et en état de fonctionnement à l’embarquement.

Correspondance

Les formalités d’immigration et de douane s’effectuent lors de la première escale aux Canada, même lorsque vous avez un vol de continuation vers une autre ville américaine. Vos bagages, bien qu’étiquetés jusqu’à la destination finale, devront être récupérés pour le passage de la douane si vous prenez un vol domestique par la suite (appelé “clear check out” des bagages). Vous devez repasser au comptoir pour les enregistrer de nouveau sur le vol national.
En cas de problème avec vos bagages, vous trouverez le bureau de la compagnie aérienne (bagage office), à proximité des tapis roulants, pour effectuer votre déclaration.
En suivant les indications « Connecting flight”, vous rencontrez des écrans d’information sur les vols en correspondance. En face de chaque numéro de vol se trouve le numéro de la porte d’embarquement, celle-ci est clairement indiquée et il suffit de suivre les flèches.
Nous tenons à vous informer que les compagnies aériennes américaines ont renforcé les mesures de sécurité et le contrôle des documents passagers sur leurs vols, aussi bien à bord des avions que dans les aérogares desservies.

Hébergement

Beaucoup d’hôtels en dehors des villes sont de style motel, situés en bordure des routes et de confort simple. Ils disposent rarement d’un ascenseur ou d’une salle pour le petit déjeuner. Dans les villes, les chambres d’hôtels sont équipées d’un grand lit (140 à 180 cm) ou de deux lits doubles (120 à 160 cm).  Si vous avez choisi d’être hébergé en chambre triple ou quadruple, les 3e et 4e personnes partagent les lits existants. Un lit d’appoint (souvent un lit pliant de confort sommaire) peut être demandé moyennant un supplément de 20 à 30 CAD par jour, à régler directement à l’hôtel.

Certains hôtels, notamment dans les grandes villes, imposent le paiement de Resort fees (taxes hôtelières), qui ne sont pas toujours incluses dans nos prix et sont parfois à régler sur place. Le montant des taxes varie entre 10 et 50 CAD par chambre et par nuit.
Certains hôtels incluent le petit déjeuner pour 2 personnes maximum. S’il y a une 3e ou 4e personne partageant la chambre, le petit déjeuner sera à régler sur place.
Merci de ne pas tenir compte de ces informations pour les clients inscrits en circuits accompagnés.

Internet & téléphone

Tous les hôtels, aéroports, ainsi que de nombreux restaurants et cafés disposent d’un réseau WiFi. Les opérateurs français proposent des options et packages de data au Canada très avantageux. Pensez à les souscrire avant votre départ. Si ce n’est pas le cas, désactiver l’option “itinérance à l’étranger” pour ne pas avoir des frais de roaming exorbitants à l’arrivée. Certains hôtels facturent l’accès à un WiFi haut débit.

L’indicatif téléphonique au Canada est + 1. La couverture téléphonique est excellente dans les grandes villes et dans la moitié sud du pays. Dans le nord en revanche, seul un téléphone satellite fonctionne.

Langues

Les langues officielles sont l’anglais (majoritairement dans toutes les provinces) et le français (exclusivement dans la région de Québec, avec l’anglais dans le Nouveau-Brunswick). Néanmoins, des communautés francophones sont présentes dans toutes les provinces du pays. Dans le Nunavut, l’anglais, le français, l’inuktitut et le inuinnaqtun sont les langues officielles. Il existe plus de 70 langues autochtones au Canada, regroupées en une douzaine de familles linguistiques. Cependant, l’acculturation forcée des Inuits a entraîné une marginalisation et une perte de ces langues localement. À ces langues s’ajoutent celles des immigrants, nombreux, qui vivent au Canada. Cette nation cosmopolite compte près de 200 langues étrangères parlées sur son territoire.

Quand partir ?

Le Canada peut se visiter toute l’année, particulièrement les villes du sud du pays, comme Montréal, Québec, Toronto, Vancouver… les plus grandes et les plus touristiques.
Dans le nord du pays, les aurores boréales sont visibles à leur maximum en novembre, décembre et janvier, au plus près du solstice d’hiver le 21 décembre, lorsque la nuit est la plus longue. Préférez novembre et décembre pour bénéficier à la fois d’un ciel potentiellement plus dégagé (trop de nuages empêchent de les observer), des températures polaires plus supportables qu’en janvier et février, d’un champ magnétique fort et d’une nuit polaire longue qui donne du contraste aux couleurs.  En hiver, le ski est roi au Canada ! On vient profiter de magnifiques stations de ski ouvertes toute la saison. On peut aussi faire des randonnées en ski de fond, en raquettes ou patiner sur des lacs gelés.
L’été, au contraire, c’est le soleil de minuit qui prédomine dans le nord, la nuit n’est jamais noire, toujours crépusculaire en juin et juillet. C’est une saison de festivités, car c’est aussi la haute saison touristique, qui culmine de fin juin à fin août, pendant les vacances scolaires de l’hémisphère nord. C’est la saison de la randonnée, du camping, des sports nautiques. En juin, la multitude de moustiques peut rendre le voyage désagréable. La seconde quinzaine de juillet est la plus onéreuse, car c’est la plus demandée par les Canadiens (l’équivalent de la première quinzaine d’août en France).
En automne, il existe le fameux “été indien”, immortalisé par ses milles couleurs flamboyantes, offrant un temps doux et ensoleillé. C’est une arrière-saison très agréable. Au printemps, c’est la saison de la récolte du sirop d’érable, les journées sont ensoleillées, les paysages fleuris, mais les températures restent encore fraîches, carrément froides en mars et avril.

Restauration & repas

Visuel non contractuel

Les Canadiens mangent plus tôt que les Français, en particulier le soir, vers 18 h ou 18 h 30 : un héritage british bien ancré, qui fait sens lorsque les journées sont très courtes. Certaines régions très rurales peuvent même dîner à 17h en hiver ! Les horaires varient sensiblement selon la saison, et on peut dîner plus tard en été quand le soleil ne se couche jamais. Le brunch est très populaire le week-end partout dans le pays, jusqu’à environ 15 h.
Les plats surf & turfs, populaires en Amérique du Nord, peuvent paraître une hérésie pour un Français : mélanger de la viande et du poisson, mais c’est aussi un choix populaire au Canada.

Pour manger sur le pouce ou en “take away” (à emporter), de la street food ou dans des restaurants communautaires (asiatiques notamment), il faut compter entre 10 et 15 CAD. Au restaurant, sachant qu’il faut ajouter les taxes et le service, il faut prévoir un budget de 20 à 25 CAD minimum, le soir de 35 à 40 CAD dans des restaurants basiques. La note peut monter jusqu’à 150 CAD par personne dans un restaurant gastronomique. Au prix indiqué sur le menu, il faut ajouter les taxes (entre 5 et 15 % de la note) et le service obligatoire (entre 10 et 15 %), sortez vos calculettes !

Le premier plat qui vient en tête quand on pense Canada est la « poutine » québécoise. Loin d’être un assemblage de grande gastronomie, c’est un plat populaire qui colmate les estomacs affamés par le froid polaire ! Il s’agit simplement de frites nappées de fromage et d’une sauce « gravy » (poutine régulière) ou sauce tomate à la viande (poutine italienne). Le bagel, comme chez le voisin américain, est populaire au Canada, et même cuit au feu de bois à Montréal. Il est fourré avec des assemblages salés, souvent de la viande ou du poisson fumé.  Les tourtières (des tourtes) sont des spécialités québécoises rurales, fourrées à la viande et aux légumes.
Ne manquez pas de goûter, dans le registre « street food » seulement en été, la guédille au homard : un hot-dog fourré d’une salade de homard à la mayonnaise aux herbes et aux câpres. C’est aussi à Vancouver qu’est né le japadog, hot-dog japonisant, en raison de la grande communauté asiatique de cette ville, avec des toppings exotiques affriolants : nouilles, algues nori, sauce teriyaki, wasabi. Dans le menu fusion asiatique, il faut absolument goûter le bœuf à la sauce piquante au gingembre de Calgary. Le Thunder Bay bon bon en Ontario est une recette de ribs panés (travers de porc) à la sauce soja et aux cinq épices.
Le maïs est très populaire au Québec et en Ontario, en août on mange les épis directement grillés. Les poissons et fruits de mer sont les stars des menus. En particulier, les saumons sauvages, et notamment ceux d’été, qui pullulent dans les rivières. On peut aussi commander des noix de Saint-Jacques, des huîtres, des crevettes, des homards et d’autres crustacés. Pays de trappeurs, le Canada est une nation de viandes, préparées à toutes les sauces pour surmonter l’hiver. Charcuterie, viandes grillées, les produits locaux sont délicieux, servis en quantités gargantuesques. Le Québec produit de nombreux fromages, un héritage de la tradition française. Le Paillasson de l’Isle d’Orléans est d’ailleurs le plus ancien fromage d’Amérique ! Le fromage le plus consommé est néanmoins pasteurisé et le cheddar est roi partout, comme aux États-Unis. Le petit déjeuner (appelé déjeuner) est composé de toasts ou de pain perdu, arrosés de sirop d’érable, accompagnés d’œufs, bacon, saucisses, pommes de terre et café.
Certains produits spécifiques méritent une dégustation : les fiddleheads, de jeunes pousses de fougères, autrefois mangées par les natifs, qui rappellent les asperges ou les haricots verts. Les myrtilles (appelées bleuets au Québec), sont consommées crues ou en vin cuit. Les airelles sont des fruits rouges également populaires dans les plats salés/sucrés de viandes de gibier et les desserts. La chicoutai, une framboise orange qui pousse dans les tourbières du Québec, est particulièrement intéressante !
Mais le produit incontournable reste le sirop d’érable, qui remplace sucre et miel dans beaucoup de desserts.  Il est aussi utilisé pour concocter des plats salés, comme le canard au sirop d’érable.

Les petits déjeuners sont rarement compris dans le prix de la nuit ; quand ils sont inclus, la quantité et la qualité des plats servis sont variables d’un hôtel à l’autre. Ils peuvent également être en formule à emporter (“take away”). De plus, un supplément peut être demandé sur place pour les 3e et 4e personnes occupant la chambre.
Les déjeuners sont souvent sous forme de légères collations, de sandwiches, de restauration rapide, etc. Les repas du midi dans les restaurants coûtent moins chers que ceux du soir. Comptez environ 30 CAD pour un déjeuner et 45 CAD pour un dîner (hors boissons, taxes et pourboires).
Attention : les repas sont plus copieux qu’en France ; prenez cela en compte quand vous commandez !

Santé

Il n’y a aucun risque de maladies infectieuses ou de risques sanitaires au Canada. L’eau du robinet est potable et gratuite, même dans les restaurants.

Transports

Le train (VIA Rail) dessert la majorité des provinces canadiennes. Mais les bus interurbains sont moins chers et plus nombreux. Dans les villes, les transports en commun sont bien pensés et développés, comprenant bus, métro et tramway. Il existe des passes pour une journée, plusieurs jours, le week-end ou la semaine, très pratiques et disponible à l’achat en ligne. Des systèmes de vélos et trottinettes en libre-service existent comme partout dans les pays occidentaux : à Vancouver, Toronto, Montréal. 
Les taxis sont légion au Canada, et les VTC, principalement Uber et Lyft, sont bien implantés dans toutes les grandes villes du pays.

Si vous avez des billets/E-tickets distincts pour les vols internationaux et les vols intérieurs réservés avec une compagnie nationale américaine ou canadienne, il vous sera demandé lors de l’enregistrement un supplément compris entre 25 et 50 CAD par bagage en fonction du nombre de bagages. Il en est de même dans le cas où les vols internationaux n’ont pas été observés chez Kuoni.
Ces tarifs étant donnés à titre indicatif et susceptibles d’être modifiés par la compagnie sans préavis, nous vous invitons à consulter le site de la compagnie aérienne avant votre départ.

Kuoni propose trois croisières sur la destination : deux reliant le Canada et les États-Unis (de Montréal à New York), assez classiques, de port en port. Ainsi qu’une croisière hivernale dans l’extrême nord-est du pays, permettant d’explorer le Saint-Laurent.

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