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Parc national de Tortuguero, Costa Rica

costa-rica
Infos pratiques avant de partir

Argent

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La monnaie nationale au Costa Rica est le colón costaricien (CRC), qui se prononce « colones » au pluriel. Les billets de banque se divisent en 1 000, 2 000, 5 000, 10 000, 20 000 et 50 000 colones.
Des distributeurs automatiques sont présents dans les lieux touristiques (sauf à Tortuguero). Vous les trouverez dans les banques, les stations-services et certains supermarchés. 
Au départ de France munissez-vous uniquement de dollars américains, en espèces ou en chèques de voyage : ils sont acceptés presque partout. Pour des séjours dans des zones très reculées, il est préférable de se munir de colones, notamment dans les petits villages, plus utilisés que les dollars.
Taux de change : 1 € = 525 CRC.

Les cartes de crédit internationales sont acceptées partout dans les hôtels et les restaurants.

Les banques font le change sous présentation d’un passeport. Les horaires sont souvent en journée continue, généralement de 8 h à 16 h. Les dollars américains se changent facilement dans les banques et les hôtels.

Le niveau de vie au Costa Rica est assez élevé par rapport aux pays qui l’entourent, mais il reste légèrement avantageux par rapport aux prix français. Vous pouvez y manger pour environ 15 € dans un restaurant local. Les produits d’importation sont assez chers en raison d’une taxe élevée, et les produits locaux sont au contraire à prix bas.

Sur les marchés, vous pouvez marchander des souvenirs, c’est tout à fait d’usage. 

Les pourboires ne sont pas obligatoires au restaurant, car des frais de service sont inclus dans la facture finale. Mais il est bien venu d’en laisser, tout comme dans un taxi, en arrondissant aux 100 colones supérieurs.  Il faut en revanche laisser un pourboire aux gardiens des voitures dans les parkings des restaurants.

Les prix sont toujours affichés toutes taxes, dont 13% de TVA. Le service de 10% est également inclus dans les notes de restaurants.

Assurances

Aucune assurance ni assistance rapatriement n’est incluse dans nos voyages. Nous vous recommandons de souscrire notre assurance optionnelle Garantie Privilège afin de profiter de garanties optimales avant et pendant votre voyage avec notre assurance multirisque pour seulement 4,6% du prix de votre voyage (soit 92 € seulement pour un voyage à 2 000 €). 
Elle couvre les risques suivants :

  • Garantie Pandémie (dont Covid-19)
  • Frais médicaux à l’étranger
  • Assistance rapatriement
  • Garantie annulation
  • Garantie retard de transport
  • Garantie bagages et matériel de sport
  • Garantie interruption de séjour

Cette assurance doit impérativement être souscrite le jour de votre réservation.

À savoir

Le risque de vol.
Le Costa Rica est un pays plus sûr que ses voisins d’Amérique centrale, mais la criminalité est néanmoins relativement élevée. Il existe un risque de vol pour les touristes, qui constituent une cible financière intéressante. La police est active pour éviter les vols, principalement la police touristique, et les nombreuses sociétés de gardiennage privé sécurisent les espaces privés comme les hôtels et les restaurants, 24h/24h et 7j/7. Pickpockets, vols de sac à main sur la plage et dans les parcs nationaux, sont fréquents mais pas lorsqu’on se promène en groupe avec un guide. La côte caraïbe (Limón) et San José sont sans doute les lieux où les vols sont les plus nombreux, mais dans toutes les stations balnéaires et touristiques le risque existe. Il est conseillé de laisser son passeport à l’hôtel, de ne pas porter de bijoux de valeur et de ne garder qu’un peu de monnaie et sa carte bleue avec soi. Si vous vous promenez seuls dans les villes costariciennes, évitez la tombée de la nuit vers 17 h-18 h lorsque les rues commencent à être moins fréquentées, ne pas se promener dans des zones désertes. Il faut rester vigilant dans les lieux très fréquentés comme les marchés, garder son sac près de soi sur les terrasses de restaurants et dans les transports en commun.
Les risques naturels.
Pendant la saison des pluies – qui est relativement longue, de mi-mai à fin novembre – une tempête tropicale peut se transformer en ouragan. Il faut donc toujours s’informer sur les conditions météorologiques avant de partir à l’aventure et improviser. Des inondations, des coulées de boue et glissements de terrain peuvent aussi se produire, engendrant des dégâts matériels et des coupures de courant. Il ne faut évidemment pas s’aventurer dans des zones à risque lorsqu’il pleut très fort et longtemps.
Le Costa Rica est une terre sismique active, c’est d’ailleurs pour cela qu’on vient visiter ses volcans ! Le risque de tremblement de terre et de tsunami sur les côtes par la suite existe aussi. Les autorités sont employées à prévenir et protéger les populations et habituées aux exercices de scénarios catastrophes pour les anticiper. Concernant les volcans actifs – Arenal, Poás, Irazú, Rincón de la Vieja et Turrialba – des éruptions peuvent se produire à tout moment. Ici aussi, les autorités nationales et les centres de surveillances émettent des consignes d’évacuation en cas de danger.
Avec une voiture de location.
Si vous louez un véhicule, il ne faut rien laisser de visible, les effractions de voitures étant fréquentes. Il est important de faire surveiller sa voiture par des gardiens qu’on rétribue entre 200 et 300 colones et de stationner dans un parking fermé la nuit, à l’hôtel. Lorsque vous êtes en voiture, il faut garder les portes et fenêtres fermées.

Il peut faire chaud au Costa Rica : les randonnées dans les parcs nationaux de volcans et de forêts demandent un certain effort physique, avec des chemins sinueux et parfois escarpé, et une humidité élevée.

Il est interdit d’entrer avec des objets en plastique à usage unique dans les parcs nationaux, comme des pailles, des couverts ou gobelets jetables, des contenants de restauration rapide, de la vaisselle en plastique, des sacs en plastique non réutilisables, des bouteilles en plastique jetables et des emballages.
Évitez de vous faire aider par des inconnus quand vous n’avez pas spécifiquement demandé de l’aide : le service devra être rétribué et il peut parfois s’agir d’intentions peu claires et potentiellement dangereuses.

On vient surtout photographier la nature au Costa Rica ! Pensez à prendre un appareil muni d’un zoom stable, particulièrement pour les oiseaux et reptiles furtifs ou cachés dans la forêt.

Les excursions et les visites en ville sont bien encadrées dans les villes. En randonnée dans les parcs nationaux, l’observation des animaux dans leur habitat naturel n’est jamais garantie : c’est le jeu du hasard et de la chance. Bien que l’itinéraire soit établi en fonction de la richesse de la faune, aucune garantie ou promesse ne peut être donnée quant à l’observation d’une espèce en particulier.

Bagages

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Votre valise devra être aussi polyvalente que vous ! Prévoyez des affaires de plages (maillot de bain, paréo, tongs) et des tenues ultra légères dans la vallée centrale, sur les côtes caraïbe et pacifique, où il fait très chaud et humide. Idem dans les forêts primaires à basse altitude. En revanche, dès que vous grimpez près des sommets, l’air se rafraîchit, surtout pendant la soirée et au matin : pensez donc à prendre un pull et un pantalon.
Pour vous protéger des moustiques, pensez à prendre des vêtements longs pour les soirées. N’oubliez pas des vêtements de randonnée, comme des chaussettes qui évitent les ampoules, des tee-shirts anti-transpirants et des chaussures de marche fermées. Emportez également des vêtements de pluie (de type poncho, particulièrement pendant la saison humide), un chapeau ou une casquette.

Prévoyez des lunettes de soleil, de la crème solaire, des répulsifs anti-moustiques pour zones tropicales, une petite lampe de poche pour observer la nature de nuit et votre matériel de snorkeling (palme, masque, tuba) si vous avez prévu d’explorer les mondes sous-marins du pays. Un petit sac à dos pour les excursions et randonnées sera utile.

Une petite trousse à pharmacie suffira : des pansements contre les ampoules, une crème pour les brûlures et coup de soleil, des lingettes désinfectantes, des compresses et des pansements, du paracétamol, et des anti-diarrhéique en cas de tourista. Sachez que les pharmacies locales sont très bien approvisionnées.

Climat

Il règne un climat tropical au Costa Rica caractérisé par une humidité constante, avec des températures qui ne descendent jamais sous les 17 °C, qui oscillent à 25°C, et qui peuvent grimper à 30°C facilement (voire plus). Le pays connaît des microclimats très contrastés de la côte Pacifique à la côte Caraïbes, de la vallée centrale aux montagnes et volcans en altitude. La saison sèche s’étale de décembre à avril, la saison humide de mai à novembre.
A San José, il règne ce que les locaux appellent un printemps perpétuel : l’air est tempéré et agréable toute l’année, entre 20 et 25°C. Les soirées sont toujours fraîches. La côte Pacifique connaît un vrai contraste des deux saisons, avec un été chaud et sec et une mousson abondante. La côte Caraïbes, pluvieuse toute l’année, connaît des journées plus ensoleillées en février-mars et septembre-octobre, avec des pluies maximales de novembre à janvier et en juin-juillet. Dans le Guanacaste et la péninsule de Nicoya, le climat est plus aride et les températures peuvent tutoyer 35°C. À l’inverse, dans les régions en altitude – dans les montagnes du Costa Rica et vers Arenal – il peut faire même froid. En décembre et janvier, la moyenne est de 12 °C, contre 24°C en saison sèche.

Conduire

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On conduit à droite au Costa Rica, et il est facile de se déplacer en voiture. Les Costariciens roulent plutôt tranquillement, car les limitations de vitesse sont assez strictes. Néanmoins, l’Inter-American, la route qui traverse tout le pays et qui est asphaltée, est étroite et très fréquentée par les poids-lourds, ce qui la rend plus dangereuse.
Arrivez avant la nuit et prévoyez donc des temps de trajets raisonnables sur les grandes distances. Il faut rester prudent sur les pistes (qui représentent 50% du réseau routier) et conduire lentement.
Au Costa Rica, le conducteur doit être âgé de 21 ans minimum. Il doit être titulaire d’un permis de conduire depuis plus d’un an. Le permis de conduire international n’est pas obligatoire.

Dans l’ensemble, le réseau routier est bien développé et de qualité si l’on emprunte les réseaux principaux (route interaméricaine par exemple), si ce n’est quelques nids de poules. Les routes secondaires sont des pistes, qui sont en plus ou moins bon état selon leur importance et leur relief. Un 4×4 est donc obligatoire pour explorer le pays. Les pistes en voiture sont aussi très boueuses en saison des pluies et certaines sont carrément impraticables.

On loue un 4×4 au Costa Rica pour pouvoir sortir des routes principales, en boîte automatique ou manuelle. Si un camion ou une voiture que vous suivez met son clignotant, il peut vouloir dire que la voie est libre pour doubler.

Le pays n’est pas très grand, mais le relief peut allonger les trajets ! De San José, au centre, au Rincón de la Vieja, au nord, il y a 4 h 30 de route environ ; il y en a autant pour aller à Nicoya, au nord-ouest, et 5 h 30 pour rejoindre le parc national du Corcovado, au sud-ouest.

La limitation de vitesse est de 90 km/h sur les autoroutes et voies rapides, 60 à 80 km/h hors agglomération sur les routes normales, 20 à 40 km/h en ville ou villages et 25 km/h sur les pistes. Il y a des radars fixes et des radars mobiles, principalement autour de San José.

Ils coûtent entre 0,50 et 2 USD, à la sortie de San José.

Les parcs nationaux, les hôtels et restaurants proposent un “parqueo publico” surveillé. Il est d’usage de donner 200 à 300 colones au gardien.

En dehors des villes, les stations-services sont rares : il faut donc être prévoyant et remplir votre réservoir dès que vous le pouvez aux abords des villes.

Si vous avez réservé une location de véhicule, en l’occurrence un 4×4, auprès de notre partenaire, le bon d’échange vous est remis dans votre carnet de voyage.
Important : une empreinte de carte de crédit différé obligatoire au nom du conducteur principal vous sera demandée lors de la prise en charge du véhicule (la mention crédit doit être mentionnée sur votre carte bancaire). Il est indispensable de disposer du plafond nécessaire sur la carte de crédit du conducteur afin de sécuriser l’acompte au loueur, correspondant au montant de la location.
À savoir : la date de prise du véhicule détermine le prix applicable à l’intégralité de la location. Il n’y a pas de remboursement en cas de location partiellement utilisée.
L’heure de prise en charge du véhicule détermine son heure de retour. Un supplément sera à régler sur place en cas de retard. La réservation d’une catégorie de voiture porte sur une catégorie de véhicules et non sur un modèle précis. Toute option souscrite au moment de la prise en charge de la voiture sera facturée et taxée sur place. Toute personne ayant eu une suspension de permis de conduire peut louer un véhicule en respectant un délai d’un an minimum après la récupération du permis. Les frais de péage et les frais de stationnement sont à régler sur place. Tout conducteur contrevenant s’expose à une amende à laquelle le loueur peut ajouter des frais administratifs. Les conditions sont données à titre indicatif et peuvent être modifiées sans préavis.

Contacts utiles

Ambassade de France au Costa Rica
Après le concessionnaire Mitsubishi, 200 m au sud et 25 m à l’ouest, San José
Téléphone : (506) 2234-4201
www.cr.ambafrance.org
Section consulaire : san-jose.consulat@diplomatie.gouv.fr
En cas d’urgence en dehors des horaires d’ouverture : (506) 8820-6017

Office de tourisme
Le site officiel de l’office de tourisme du Costa Rica existe en français : www.visitcostarica.com/fr

Décalage horaire

Au Costa Rica, le décalage horaire est de – 8 h en été et de – 7 h en hiver.
Quand il est midi au Costa Rica, il est 20 h en été en France métropolitaine et 19 h en hiver.

Électricité

Le courant au Costa Rica est de 110 volts, et les prises de type A, comme aux USA. Un adaptateur est à prévoir au départ de France et la charge est un peu plus lente qu’en Europe.

Formalités

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Les formalités d’entrée et conditions d’obtention détaillées ci-dessous ne s’appliquent que pour les ressortissants français. Pour les Français avec double nationalité et les autres nationalités, nous consulter. Les renseignements communiqués sont donnés à titre indicatif et susceptibles de modifications.

Aucun visa n’est nécessaire pour les séjours de moins de 6 mois depuis 2023 (contre 3 mois auparavant). Il est en revanche obligatoire d’être en possession d’un passeport dont la validité doit être d’un jour après la date de retour en France. Le passeport doit également avoir 2 pages vierges successives.
Attention : les voyageurs qui transitent par un aéroport américain pour se rendre au Costa Rica doivent se tenir informés de la législation concernant les conditions d’entrée aux États-Unis. Il faut en particulier posséder un Esta, une autorisation d’entrer sur le sol américain qui coûte 21 USD, qui s’obtient en ligne en quelques jours et qui est valable 2 ans. Se reporter aux formalités des États-Unis.

Les enfants doivent disposer d’un passeport personnel quel que soit leur âge. L’autorisation de sortie de territoire (AST) est obligatoire pour les mineurs français ou étranger résidant en France, voyageant hors du territoire national, non accompagnés par une personne exerçant l’autorité parentale. Le formulaire d’autorisation de sortie de territoire est accessible sur le site : www.service-public.fr
Une photocopie de la pièce d’identité du parent signataire sera demandée. Si l’enfant est accompagné d’un parent portant un autre nom que le sien, il devra être muni d’un document (livret de famille) prouvant la filiation.

Nous vous demandons de vérifier le nom de famille sous lequel vous vous êtes inscrits. Le nom doit impérativement correspondre à celui mentionné sur les papiers d’identité qui seront demandés à l’embarquement et à l’entrée dans le pays.

Les formalités sanitaires restent sous l’entière responsabilité du client.
Aucune vaccination n’est obligatoire, mais les vaccins DT Polio à jour et vaccins contre l’hépatite A, l’hépatite B, le tétanos et la typhoïde sont recommandés au Costa Rica.
Les voyageurs en provenance de pays où il existe un risque de transmission de la fièvre jaune doivent être en mesure de présenter, lors de leur arrivée, un certificat international de vaccination antiamarile (fièvre jaune). Cette obligation s’applique à tous les voyageurs en provenance de ces zones, y compris après n’y avoir effectué qu’un simple transit de plus de 12 h.

Hébergement

Les hôtels 3 ou 4 étoiles sélectionnés par Kuoni pour les circuits sont tous dotés d’une jolie piscine et d’un confort conforme aux standards internationaux. Les restaurants proposent des plats de cuisine locale et internationale. Les structures sont familiales et les services garantis : sécurité 24 h/24, taxis, etc. Les hôtels sur la côte sont en général situés directement sur la plage. Pour les autotours, se référer à son agent de voyage pour connaître les options d’hébergement.

Une taxe touristique de 13% non incluse dans le prix est à prévoir sur le prix de la chambre, demandée sur place.

Les lodges costariciens sont des structures investies dans le développement durable environnemental, une particularité du Costa Rica. En général situés dans les parcs nationaux, ils ont beaucoup de charme, sont enserrés en harmonie avec la nature, et le bois y est roi.

Internet & téléphone

Les hôtels, lodges, restaurants et même certains cafés sont équipés de wifi. Le réseau est en revanche souvent limité à la réception et pas toujours des plus rapides. Pour les addicts et ceux qui conduisent avec le GPS du téléphone, le mieux est d’acheter une carte sim locale et de charger du crédit internet chez des opérateurs comme Claro ou ICE/Kolbi. Les cartes e-sim ne sont pas compétitives sur cette destination et les opérateurs français ne proposent pas de forfaits internet en package au Costa Rica. Le roaming est bien sûr hors de prix (pensez à désactiver l’option “Données à l’étranger” avant d’atterrir à San José pour ne pas vous faire facturer).

La couverture téléphone en 3G ou 4G est bonne dans le pays, si ce n’est au cœur des parcs nationaux ou à Tortuguero. L’indicatif téléphonique au Costa Rica est + 506.

Langues

La langue officielle des “Ticos” est l’espagnol, parlé par 90% de la population. Si vous le maîtrisez, vous n’aurez aucun problème pour communiquer dans les hôtels comme dans les villages reculés. Néanmoins, dans les structures touristiques et les stations balnéaires ou les parcs nationaux, tout le personnel parle anglais, et seule la côte caribéenne n’est pas très anglophone. Les langues indiennes originelles (le maleku, le cabécar, le bribri, le brunca…) disparaissent petit à petit, faute de locuteurs.

Quand partir ?

Logiquement, la meilleure saison pour partir au Costa Rica est la saison sèche, de décembre à avril. Lorsque le temps est sec, la faune se déplace davantage pour trouver de l’eau et peut être observée plus facilement. Les voyages qui ont attrait à la nature et la découverte de la biodiversité animale du pays sont souvent réalisés durant cette période. Il fait un temps ensoleillé, sec et chaud, plus facile pour marcher sur les chemins de randonnée que lorsqu’ils sont boueux. Néanmoins, les prix pendant la haute saison sont élevés, clientèle américaine majoritaire oblige, et les parcs très fréquentés. Pour plus d’exclusivité, préférez les mois de mai (fin de saison sèche toujours optimale pour l’observation des animaux) et novembre – des mois de transition alternant soleil et pluie. En saison humide, la nature est verdoyante, les fleurs colorent les paysages et les matinées sont ensoleillées, permettant des randonnées. Evitez néanmoins le cœur de la saison des pluies
Sur la côte Caraïbe, humide toute l’année, c’est en février-mars et en septembre-octobre que le temps est le plus ensoleillé et agréable pour profiter des plages de rêve et surtout observer les tortues marines à Tortuguero. Pour l’observation des baleines au large de la péninsule d’Osa, il existe deux périodes optimales : de janvier à avril et de juillet à octobre.

Restauration & repas

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Les horaires des repas sont sensiblement les mêmes qu’en France, par contre les portions y sont plus généreuses. 

Les restaurants locaux sont très abordables, avec des plats à moins de 10 € dans les petites gargotes qu’on appelle ici « soda », et jusqu’à 20 ou 25 € par personne dans les tables touristiques gastronomiques ou dans les hôtels internationaux chics.

Le riz et les haricots noirs constituent la base de la cuisine costaricienne. Le plat national est le gallo pinto, servi principalement au petit déjeuner mais qui peut être dévoré à tout moment de la journée. Il est composé de riz, haricots noirs, poivrons, oignons et de sa sauce typique, le lizano. Les patacones sont des bananes plantains frites, qui accompagnent souvent les plats comme le gallo pinto. Le lait condensé sucré est commun dans les desserts, comme dans toute l’Amérique latine. Le café local, 100% arabica, est délicieux.

La pension complète est prévue, sauf indication de quelques dates particulières, dans les circuits Kuoni. Pour les autotours, seul le petit déjeuner est compris dans le prix.

Santé

Une gourde isotherme pour éviter d’acheter des bouteilles en plastique et conserver son eau toujours fraîche. L’eau est potable dans la majeure partie du pays et il y a des fontaines à eau dans presque tous les hôtels.

Les risques de transmission de maladie par les moustiques sont accrus pendant la saison des pluies, de mai à novembre.
La malaria est endémique au Costa Rica, il faudra donc dormir sous une moustiquaire, utiliser des répulsifs contre les moustiques tropicaux, porter des vêtements longs dès la fin d’après-midi et le matin. La dengue est aussi endémique au Costa Rica, véhiculée par le moustique tigre qui pique en journée. Les virus chikungunya et Zika, également transmis par le même moustique tigre, sont aussi présents au Costa Rica. Les répulsifs sont obligatoires pour s’en protéger. Les accidents de type morsures de serpents et araignées sont très rares.
La propreté des installations et l’hygiène sont bien respectées au Costa Rica, mais attraper la turista est possible en mangeant dans des petits “sodas” à l’hygiène pas toujours impeccable. Ces infections d’origine bactérienne se traitent avec des médicaments que vous pouvez demander en pharmacie.

Transports

À San José, préférez passer par une application de smartphone qui garantit une sécurité et le prix de la course (Uber est présent), un taxi commandé par votre hôtel ou un taxi officiel (orange) plutôt que les transports en commun : cela ne coûte pas grand-chose pour un européen (avec le compteur en marche appelé “la maria”). Ne montez pas dans n’importe quel taxi clandestin.

Il est très facile de se déplacer en avion au Costa Rica, notamment pour limiter les temps de trajet dans une région très montagneuse et sauvage, aux routes sinueuses. Les vols internes sont compris dans les circuits qui en prévoient. Les compagnies aériennes sont sûres, les horaires respectés la plupart du temps, et les avions des petits porteurs de type Cessna d’une capacité de 15 personnes. Les prix sont élevés mais les temps de trajet records.

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